vendredi 26 avril 2013

Projet Manon 2 – phrase 199

Su mujer no pudo hacer lo que quiso en vida, ahora debe estar pudriéndose o completamente comida por unos gusanos, él debe hacer todo lo que quiera en vida.

Traduction temporaire :
Vu que sa femme, elle,  n'avait pu faire ce dont elle avait eu envie de son vivant, et que maintenant, il ne lui restait plus qu'à pourrir ou à être complètement dévorée par les vers, lui, il doit faire tout ce qu'il veut de son vivant.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Su mujer no pudo hacer lo que quiso en vida, ahora debe estar pudriéndose o completamente comida por unos gusanos, él debe hacer todo lo que quiera en vida.

Sa femme n'a pu faire ce qu'elle a voulu de son vivant, maintenant elle doit être en train de pourrir ou être complètement mangée par des vers, lui doit faire tout ce qu'il veut de son vivant.

Tradabordo a dit…

[cheville devant : « Vu que » ?] Sa femme [« , elle » ?] n'a pu [PQP ?] faire ce qu'elle a voulu [idem ?] de son vivant, [« et » ?] maintenant elle doit être en train de pourrir ou être [il faudrait trouver une solution sans les deux « être » ; moins un pb lié à la répétition qu'un décalage…] complètement mangée [« dévorée » ?] par des vers, lui doit faire tout ce qu'il veut de son vivant.

Unknown a dit…

Comme il y a déjà "maintenant", j'ai enlevé "être en train de" (qui enlève donc un "être") :

Vu que sa femme, elle, n'avait pu faire ce qu'elle avait voulu de son vivant, et que maintenant, elle devait pourrir ou être complètement dévorée par des vers, lui, il doit faire tout ce qu'il veut de son vivant.

Je trouve la fin de la phrase bizarre, non ?

Tradabordo a dit…

Vu que sa femme, elle, n'avait pu faire ce qu'elle avait voulu [« ce dont elle avait eu envie » ?] de son vivant, et que maintenant, elle devait [« il ne lui restait plus qu'à » ?] pourrir ou [« à »] être complètement dévorée par des [« les »] vers, lui, il doit faire tout ce qu'il veut de son vivant.

Unknown a dit…

Vu que sa femme, elle, n'avait pu faire ce dont elle avait eu envie de son vivant, et que maintenant, il ne lui restait plus qu'à pourrir ou à être complètement dévorée par les vers, lui, il doit faire tout ce qu'il veut de son vivant.

Je trouve toujours la fin bizarre : le présent, peut-être ?

Tradabordo a dit…

Vu que sa femme, elle, n'avait pu faire ce dont elle avait eu envie de son vivant et que maintenant, il ne lui restait plus qu'à pourrir ou à être complètement dévorée par les vers, lui, il doit faire tout ce qu'il veut de son vivant.

OK.