vendredi 21 novembre 2014

Projet Émilie 5 – phrases 286-300

Calle abajo pasó una ambulancia con la sirena puesta. La señora Ema levantó la vista, contó los pisos y miró los vidrios de su balcón. Brillaban en la noche, reflejando la ciudad iluminada. Marilén los había pulido a la perfección. La señora Ema sonrió. No había nada mejor que un trabajo bien hecho. Se masajeó un poco las rodillas, se incorporó y cruzó la calle. El guardia de seguridad le abrió la puerta. Mientras llegaba el ascensor charlaron un minuto sobre la próxima reunión de consorcio.
Después la señora Ema entró en su casa, se desnudó, se dio un baño y se pasó desinfectante por las picaduras. Comió una fruta y se acostó. Sólo entonces, quieta en su cama y con los ojos cerrados, pensó en el olor de la piel del tigre, en los ojos del viejo papión. Recordó el sombrero de paja. Lo había olvidado en la jaula de perezoso.
Mañana vuelvo a buscarlo, se dijo a sí misma antes de dormirse.
Mañana paso por el banco, saco más plata y vuelvo a buscarlo, dijo y se durmió.

Traduction temporaire :

Une ambulance descendit la rue en faisant retentir sa sirène. Madame Ema leva les yeux, compta les étages et regarda les vitres de son balcon. Elles brillaient dans la nuit, reflétant les lumières de la ville. Marilén les avaient nettoyées à la perfection. Madame Ema sourit. Rien de mieux qu’un travail bien fait. Elle massa un peu ses genoux, se leva et traversa la rue. Le gardien lui ouvrit la porte. En attendant l’ascenseur, ils discutèrent une minute de la prochaine réunion de copropriété.
Ensuite, madame Ema rentra chez elle, se dévêtit, prit un bain et désinfecta ses piqûres. Elle mangea un fruit et alla se coucher. Ce n’est qu’une fois au lit, bien au calme et les yeux clos, qu’elle pensa à l’odeur de la peau du tigre, aux yeux du vieux babouin. Elle se souvint du chapeau de paille. Elle l’avait oublié dans la cage du paresseux.
Demain, je retourne le chercher, se promit-elle avant de s’endormir.
Demain, je passe à la banque, je retire plus d’argent et je retourne le chercher, décida-t-elle, et elle s’endormit.

6 commentaires:

Emilie a dit…

Une ambulance descendit la rue en faisant retentir sa sirène. Madame Ema leva les yeux, compta les étages et regarda les vitres de son balcon. Elles brillaient dans la nuit, reflétant la ville illuminée. Marilén les avaient nettoyées à la perfection. Madame Ema sourit. Il n’y avait rien de mieux qu’un travail bien fait. Elle massa un peu ses genoux, se leva et traversa la rue. Le gardien de la sécurité lui ouvrit la porte. En attendant l’ascenseur, ils discutèrent une minute de la prochaine réunion de copropriété.
Ensuite, madame Ema rentra chez elle, se dévêtit, prit un bain et désinfecta ses piqûres. Elle mangea un fruit et alla se coucher. Ce n’est qu’une fois au lit, bien au calme et les yeux clos, qu’elle pensa à l’odeur de la peau du tigre, aux yeux du vieux babouin. Elle se souvint du chapeau de paille. Elle l’avait oublié dans la cage du paresseux.
Demain, je retourne le chercher, se promit-elle avant de s’endormir.
Demain, je passe à la banque, je retire plus d’argent et je retourne le chercher, déclara-t-elle avant de s’endormir.

Emilie a dit…

Je suis allée un peu vite sur la fin. 2ème tentative :

Une ambulance descendit la rue en faisant retentir sa sirène. Madame Ema leva les yeux, compta les étages et regarda les vitres de son balcon. Elles brillaient dans la nuit, reflétant la ville illuminée. Marilén les avaient nettoyées à la perfection. Madame Ema sourit. Il n’y avait rien de mieux qu’un travail bien fait. Elle massa un peu ses genoux, se leva et traversa la rue. Le gardien de la sécurité lui ouvrit la porte. En attendant l’ascenseur, ils discutèrent une minute de la prochaine réunion de copropriété.
Ensuite, madame Ema rentra chez elle, se dévêtit, prit un bain et désinfecta ses piqûres. Elle mangea un fruit et alla se coucher. Ce n’est qu’une fois au lit, bien au calme et les yeux clos, qu’elle pensa à l’odeur de la peau du tigre, aux yeux du vieux babouin. Elle se souvint du chapeau de paille. Elle l’avait oublié dans la cage du paresseux.
Demain, je retourne le chercher, se promit-elle avant de s’endormir.
Demain, je passe à la banque, je retire plus d’argent et je retourne le chercher, déclara-t-elle, et elle s’endormit.

Tradabordo a dit…

Une ambulance descendit la rue en faisant retentir sa sirène. Madame Ema leva les yeux, compta les étages et regarda les vitres de son balcon. Elles brillaient dans la nuit, reflétant la ville illuminée [ou « les lumières de la ville » ?]. Marilén les avaient nettoyées à la perfection. Madame Ema sourit. Il n’y avait [nécessaire ? Comme tu veux] rien de mieux qu’un travail bien fait. Elle massa un peu ses genoux, se leva et traversa la rue. Le gardien de la sécurité [redondant ?] lui ouvrit la porte. En attendant l’ascenseur, ils discutèrent une minute de la prochaine réunion de copropriété.
Ensuite, madame Ema rentra chez elle, se dévêtit, prit un bain et désinfecta ses piqûres. Elle mangea un fruit et alla se coucher. Ce n’est qu’une fois au lit, bien au calme et les yeux clos, qu’elle pensa à l’odeur de la peau du tigre, aux yeux du vieux babouin. Elle se souvint du chapeau de paille. Elle l’avait oublié dans la cage du paresseux.
Demain, je retourne le chercher, se promit-elle avant de s’endormir.
Demain, je passe à la banque, je retire plus d’argent et je retourne le chercher, déclara[« décida » ?]-t-elle, et elle s’endormit.

Emilie a dit…

Une ambulance descendit la rue en faisant retentir sa sirène. Madame Ema leva les yeux, compta les étages et regarda les vitres de son balcon. Elles brillaient dans la nuit, reflétant les lumières de la ville. Marilén les avaient nettoyées à la perfection. Madame Ema sourit. Rien de mieux qu’un travail bien fait. Elle massa un peu ses genoux, se leva et traversa la rue. Le gardien lui ouvrit la porte. En attendant l’ascenseur, ils discutèrent une minute de la prochaine réunion de copropriété.
Ensuite, madame Ema rentra chez elle, se dévêtit, prit un bain et désinfecta ses piqûres. Elle mangea un fruit et alla se coucher. Ce n’est qu’une fois au lit, bien au calme et les yeux clos, qu’elle pensa à l’odeur de la peau du tigre, aux yeux du vieux babouin. Elle se souvint du chapeau de paille. Elle l’avait oublié dans la cage du paresseux.
Demain, je retourne le chercher, se promit-elle avant de s’endormir.
Demain, je passe à la banque, je retire plus d’argent et je retourne le chercher, décida-t-elle, et elle s’endormit.

Tradabordo a dit…

Une ambulance descendit la rue en faisant retentir sa sirène. Madame Ema leva les yeux, compta les étages et regarda les vitres de son balcon. Elles brillaient dans la nuit, reflétant les lumières de la ville. Marilén les avaient nettoyées à la perfection. Madame Ema sourit. Rien de mieux qu’un travail bien fait. Elle massa un peu ses genoux, se leva et traversa la rue. Le gardien lui ouvrit la porte. En attendant l’ascenseur, ils discutèrent une minute de la prochaine réunion de copropriété.
Ensuite, madame Ema rentra chez elle, se dévêtit, prit un bain et désinfecta ses piqûres. Elle mangea un fruit et alla se coucher. Ce n’est qu’une fois au lit, bien au calme et les yeux clos, qu’elle pensa à l’odeur de la peau du tigre, aux yeux du vieux babouin. Elle se souvint du chapeau de paille. Elle l’avait oublié dans la cage du paresseux.
Demain, je retourne le chercher, se promit-elle avant de s’endormir.
Demain, je passe à la banque, je retire plus d’argent et je retourne le chercher, décida-t-elle, et elle s’endormit.

OK.

Tradabordo a dit…

Cette fois, si je ne me trompe pas, c'est fini. Tu peux relire. Envoie quand c'est prêt. Remets la mise en page initiale.