vendredi 21 novembre 2014

Projet Justine / Joana – phrases 244-249

Cada semana me contaba algo distinto. Cecilia dejaba ver en esas historias que le temía a la soledad por sobre todas las cosas. En algún momento empecé a sentirme enamorado, y por lo mismo vulnerado por sus historias, por su tono de voz, por cómo dormía sobre mí después de acostarnos. El murió porque yo lo maldije confesó y se quedó dormida después de lagrimear un poco. Volví a escribir, casi compulsivamente. Ya Cecilia se quedaba casi todos los días en mi cuarto.

Traduction temporaire :
Chaque semaine, elle me racontait un truc différent. Dans ces histoires, Cecilia laissait transparaître que ce qu'elle craignait par dessus-tout, c'était la solitude. À un moment donné, j'ai commencé à tomber amoureux, à être touché par ses propos, par le ton de sa voix, par la manière qu'elle avait de dormir sur moi quand nous étions couchés. Il est mort parce que je l'ai maudit, a-t-elle avoué, et après avoir versé quelques larmes, elle s'est endormie. Je me suis remis à écrire, presque compulsivement. Désormais, Cecilia passait quasiment toutes ses journées dans ma chambre.

4 commentaires:

Justine a dit…

Chaque semaine, elle me racontait un truc différent. Dans ces histoires, Cecilia donnait à voir que ce qu'elle craignait par dessus-tout, c'était la solitude. À un moment, j'ai commencé à tomber amoureux, à être touché par ses histoires, par le ton de sa voix, par la manière qu'elle avait de dormir sur moi quand nous étions couchés. Il est mort parce que je l'ai maudit, a-t-elle avoué, et après avoir versé quelques larmes, elle s'est endormie. Je me suis remis à écrire, presque compulsivement. Désormais, Cecilia restait quasiment tous les jours dans ma chambre.

Tradabordo a dit…

Chaque semaine, elle me racontait un truc différent. Dans ces histoires, Cecilia donnait à voir [« transparaître » ?] que ce qu'elle craignait par dessus-tout, c'était la solitude. À un moment [« donné » ?], j'ai commencé à tomber amoureux, à être touché par ses histoires [essaie de ne pas répéter], par le ton de sa voix, par la manière qu'elle avait de dormir sur moi quand nous étions couchés. Il est mort parce que je l'ai maudit, a-t-elle avoué, et après avoir versé quelques larmes, elle s'est endormie. Je me suis remis à écrire, presque compulsivement [ça existe ? Vérifie]. Désormais, Cecilia restait quasiment tous les jours dans ma chambre [naturel ?].

Justine a dit…

« Compulsivement » existe, Le Robert en témoigne.

Chaque semaine, elle me racontait un truc différent. Dans ces histoires, Cecilia laissait transparaître que ce qu'elle craignait par dessus-tout, c'était la solitude. À un moment donné, j'ai commencé à tomber amoureux, à être touché par ses propos, par le ton de sa voix, par la manière qu'elle avait de dormir sur moi quand nous étions couchés. Il est mort parce que je l'ai maudit, a-t-elle avoué, et après avoir versé quelques larmes, elle s'est endormie. Je me suis remis à écrire, presque compulsivement. Désormais, Cecilia passait quasiment toutes ses journées dans ma chambre.

Tradabordo a dit…

Si Bobby le dit, je m'incline ;-)

Chaque semaine, elle me racontait un truc différent. Dans ces histoires, Cecilia laissait transparaître que ce qu'elle craignait par dessus-tout, c'était la solitude. À un moment donné, j'ai commencé à tomber amoureux, à être touché par ses propos, par le ton de sa voix, par la manière qu'elle avait de dormir sur moi quand nous étions couchés. Il est mort parce que je l'ai maudit, a-t-elle avoué, et après avoir versé quelques larmes, elle s'est endormie. Je me suis remis à écrire, presque compulsivement. Désormais, Cecilia passait quasiment toutes ses journées dans ma chambre.

OK.