lundi 24 novembre 2014

Projet Justine / Joana – phrases 263-267

Ella salía temprano por las mañanas y no regresaba hasta muy tarde en la noche. Yo me sentía el espectador de una bomba de tiempo, pero todo me importaba muy poco. Mis vecinos preguntaban quién era la chica bonita que vivía conmigo y que despreciaba a todos. Nunca respondí otra cosa que no fuera un movimiento de cigarrillo en mi boca. Siempre fui callado.

Traduction temporaire :
Elle partait tôt le matin et rentrait très tard le soir. J'avais l'impression d'être spectateur devant une bombe à retardement, mais je m'en fichais. Mes voisins demandaient qui était la jolie fille qui vivait avec moi et méprisait tout le monde. Je n'ai jamais répondu autrement qu'en faisant bouger ma cigarette dans ma bouche. Je me suis toujours tu.

4 commentaires:

Justine a dit…

Elle partait tôt le matin et rentrait très tard le soir. J'avais l'impression d'être spectateur face à une bombe à retardement, mais cela m'importait bien peu. Mes voisins demandaient qui était la jolie fille qui vivait avec moi et méprisait tout le monde. Je n'ai jamais répondu autrement que par un mouvement de cigarette dans ma bouche. Je me suis toujours tu.

Tradabordo a dit…

Elle partait tôt le matin et rentrait très tard le soir. J'avais l'impression d'être spectateur face à [« devant » ?] une bombe à retardement, mais cela m'importait bien peu [naturel ?]. Mes voisins demandaient qui était la jolie fille qui vivait avec moi et méprisait tout le monde. Je n'ai jamais répondu autrement que par un mouvement de cigarette dans ma bouche [naturel ?]. Je me suis toujours tu.

Justine a dit…

Elle partait tôt le matin et rentrait très tard le soir. J'avais l'impression d'être spectateur devant une bombe à retardement, mais je m'en fichais. Mes voisins demandaient qui était la jolie fille qui vivait avec moi et méprisait tout le monde. Je n'ai jamais répondu autrement qu'en faisant bouger ma cigarette dans ma bouche. Je me suis toujours tu.

Tradabordo a dit…

Elle partait tôt le matin et rentrait très tard le soir. J'avais l'impression d'être spectateur devant une bombe à retardement, mais je m'en fichais. Mes voisins demandaient qui était la jolie fille qui vivait avec moi et méprisait tout le monde. Je n'ai jamais répondu autrement qu'en faisant bouger ma cigarette dans ma bouche. Je me suis toujours tu.

OK.