samedi 10 janvier 2015

Projet Noemi 4 – phrases 16-20

Era como si después de años de lucha se hubiera liberado de unos fuertes grilletes. En la cochera se quitaba el saco, encendía la radio a todo volumen y arrancaba el auto. A diferencia de sus colegas el Contador no se dirigía a casa, ni a una reunión con amigos, ni mucho menos al gimnasio. Desajustándose la corbata emprendía un breve viaje hacia el mar. Luego de recorrer varias avenidas, bajo un cielo que anunciaba el ocaso con heridas naranjas y grises, tomaba la carretera hacia el sur de la ciudad.

Traduction temporaire :
C'était comme si après des années de lutte, il s'était enfin libéré de ses chaînes. Dans le parking, il ôtait sa veste, démarrait la voiture, et allumait la radio à fond. À la différence de ses collègues, le Comptable ne rentrait pas chez lui, ne retrouvait pas des amis, n'allait pas non plus à la salle de sport. Dénouant sa cravate, il entreprenait un rapide voyage vers la mer. Après avoir parcouru plusieurs avenues, sous un ciel qui annonçait un crépuscule zébré de orange et de gris, il prenait la route ; direction le sud de la ville.

6 commentaires:

Unknown a dit…

C'était comme si après des années de lutte, il s'était enfin libéré de ses chaînes. Dans le parking, il quittait sa veste, allumait la radio à fond et démarrait la voiture. À la différence de ses collègues, le Comptable ne rentrait pas chez lui, ne rejoignait pas non plus des amis, et se rendait encore moins à la salle de sport. Tout en défaisant sa cravate, il entreprenait un brève voyage vers la mer. Après avoir parcouru plusieurs avenues, sous un ciel qui annonçait un crépuscule zébré d' orange et de gris, il prenait la route, direction le sud de la ville.

Tradabordo a dit…

C'était comme si après des années de lutte, il s'était enfin [ajout nécessaire ? J'hésite… comme tu veux] libéré de ses chaînes. Dans le parking, il quittait [« ôtait » ?] sa veste, allumait la radio à fond et démarrait la voiture [ou avec « mettre le contact » ? Comme tu veux…]. À la différence de ses collègues, le Comptable ne rentrait pas chez lui, ne rejoignait [naturel ?] pas non plus des amis, et se rendait encore moins [pas très naturel… N'oublie pas de te demander comment toi, tu le dirais en français] à la salle de sport. Tout en défaisant [ou « dénouant » ?] sa cravate, il entreprenait un brève [?] voyage vers la mer. Après avoir parcouru plusieurs avenues, sous un ciel qui annonçait un crépuscule zébré d' [plutôt « de »]orange et de gris, il prenait la route, [point-virgule ?] direction le sud de la ville.

Unknown a dit…

C'était comme si après des années de lutte, il s'était enfin [comme je n'ai pas traduit littéralement “unos fuertes grilletos”, je trouve que ça amplifie bien ce sentiment de libération ] libéré de ses chaînes. Dans le parking, il ôtait sa veste, mettait le contact à la voiture, et allumait la radio à fond. À la différence de ses collègues, le Comptable ne rentrait pas chez lui, ne retrouvait pas ses amis, et n'allait pas non plus à la salle de sport. Tout en dénouant sa cravate, il entreprenait un rapide voyage vers la mer. Après avoir parcouru plusieurs avenues, sous un ciel qui annonçait un crépuscule zébré de orange et de gris, il prenait la route; direction le sud de la ville.

Tradabordo a dit…

C'était comme si après des années de lutte, il s'était enfin libéré de ses chaînes. Dans le parking, il ôtait sa veste, mettait le contact à la voiture [non ; remets ce que tu avais au début… ça reste mieux], et allumait la radio à fond. À la différence de ses collègues, le Comptable ne rentrait pas chez lui, ne retrouvait pas ses [« des » ?] amis, et [nécessaire ?] n'allait pas non plus à la salle de sport. Tout en [nécessaire ?] dénouant sa cravate, il entreprenait un rapide voyage vers la mer. Après avoir parcouru plusieurs avenues, sous un ciel qui annonçait un crépuscule zébré de orange et de gris, il prenait la route[espace]; direction le sud de la ville.

Unknown a dit…

C'était comme si après des années de lutte, il s'était enfin libéré de ses chaînes. Dans le parking, il ôtait sa veste, démarrait la voiture, et allumait la radio à fond. À la différence de ses collègues, le Comptable ne rentrait pas chez lui, ne retrouvait pas des amis, il n'allait pas non plus à la salle de sport. Dénouant sa cravate, il entreprenait un rapide voyage vers la mer. Après avoir parcouru plusieurs avenues, sous un ciel qui annonçait un crépuscule zébré de orange et de gris, il prenait la route ; direction le sud de la ville.

Tradabordo a dit…

C'était comme si après des années de lutte, il s'était enfin libéré de ses chaînes. Dans le parking, il ôtait sa veste, démarrait la voiture, et allumait la radio à fond. À la différence de ses collègues, le Comptable ne rentrait pas chez lui, ne retrouvait pas des amis, n'allait pas non plus à la salle de sport. Dénouant sa cravate, il entreprenait un rapide voyage vers la mer. Après avoir parcouru plusieurs avenues, sous un ciel qui annonçait un crépuscule zébré de orange et de gris, il prenait la route ; direction le sud de la ville.

OK.