mercredi 21 janvier 2015

Projet Sonita 17 – phrases 366-373

Pero no hay nadie. Mira el cielo. Todo se ve gris: una niebla espesa y sucia. Comprende: no puede salir del puente peatonal, no puede aventarse al paso de los carros, ninguna otra persona pasa por aquí. Es una pesadilla, ¿qué más? Se recarga y sienta. Nervioso espera ahora el fin del sueño. Descubrió el juego; ya nada importa. Sólo cabe esperar.

Traduction temporaire :
Mais il n'y a personne. Il regarde le ciel. Tout est gris : un brouillard épais et sale. Il comprend : il ne peut pas sortir du pont piéton, il ne peut pas se jeter sur les voitures, il n'y a personne dans les parages. Ça ne peut-être qu'un cauchemar, quoi d'autre, sinon ? Il s'appuie contre les grillages et s'assied. Nerveux, il n'attend plus que la fin du rêve. Il a découvert le petit manège ; plus rien n'a d'importance. Il ne reste plus qu'à attendre.

6 commentaires:

Sonita a dit…

Mais il n'y a personne. Tout est gris : un brouillard épais et sale. Il comprend alors : il ne peut pas sortir du pont piéton, il ne peut pas se jeter sur les voitures, personne d'autre ne passe par là. Ça ne peut-être qu'un cauchemar, quoi d'autre, sinon ? Il s'adosse et s'assied. Nerveux, il n'attend plus que le rêve finisse. Il a découvert le jeu ; plus rien n'importe. Il ne reste plus qu'à attendre.

Tradabordo a dit…

Mais il n'y a personne. [IL TE MANQUE UNE PHRASE] Tout est gris : un brouillard épais et sale. Il comprend alors [ajout nécessaire ?] : il ne peut pas sortir du pont piéton, il ne peut pas se jeter sur les voitures, personne d'autre ne passe par là [« dans les parages » ?]. Ça ne peut-être qu'un cauchemar, quoi d'autre, sinon ? Il s'adosse [bof] et s'assied. Nerveux, il n'attend plus que le rêve finisse [passe par « fin »]. Il a découvert le jeu [« en quoi consiste » ? Est-ce l'idée ?] ; plus rien n'importe [mal dit]. Il ne reste plus qu'à attendre.

Sonita a dit…

Mais il n'y a personne. Il regarde le ciel. Tout est gris : un brouillard épais et sale. Il comprend : il ne peut pas sortir du pont piéton, il ne peut pas se jeter sur les voitures, il n'y a personne dans les parages. Ça ne peut-être qu'un cauchemar, quoi d'autre, sinon ? Il s'appuie contre les grillages et s'assied. Nerveux, il n'attend plus que le rêve prenne fin. Il a découvert le petit manège ; plus rien n'a d'importance. Il ne reste plus qu'à attendre.

Tradabordo a dit…

Mais il n'y a personne. Il regarde le ciel. Tout est gris : un brouillard épais et sale. Il comprend : il ne peut pas sortir du pont piéton, il ne peut pas se jeter sur les voitures, il n'y a personne dans les parages. Ça ne peut-être qu'un cauchemar, quoi d'autre, sinon ? Il s'appuie contre les grillages et s'assied. Nerveux, il n'attend plus que le rêve prenne fin [passe par « fin » dans le sens de « la fin »]. Il a découvert le petit manège ; plus rien n'a d'importance. Il ne reste plus qu'à attendre.

Sonita a dit…

Mais il n'y a personne. Il regarde le ciel. Tout est gris : un brouillard épais et sale. Il comprend : il ne peut pas sortir du pont piéton, il ne peut pas se jeter sur les voitures, il n'y a personne dans les parages. Ça ne peut-être qu'un cauchemar, quoi d'autre, sinon ? Il s'appuie contre les grillages et s'assied. Nerveux, il n'attend plus que la fin du rêve. Il a découvert le petit manège ; plus rien n'a d'importance. Il ne reste plus qu'à attendre.

Tradabordo a dit…

Mais il n'y a personne. Il regarde le ciel. Tout est gris : un brouillard épais et sale. Il comprend : il ne peut pas sortir du pont piéton, il ne peut pas se jeter sur les voitures, il n'y a personne dans les parages. Ça ne peut-être qu'un cauchemar, quoi d'autre, sinon ? Il s'appuie contre les grillages et s'assied. Nerveux, il n'attend plus que la fin du rêve. Il a découvert le petit manège ; plus rien n'a d'importance. Il ne reste plus qu'à attendre.

OK.