samedi 24 janvier 2015

Projet Sonita 17 – phrases 388-393

Ya ronco y lloroso, al final, levanta la mirada. Calla por fin. Lejos ve cómo el sol se pone. La noche se adensa y cae como un bulto pesado sobre la Ciudad, la avenida, el puente, su piel. Los autos siguen, y ahora él ve cómo la celda se va haciendo más pequeña, ve sus oscurecidos contornos acercarse a su cuerpo. Grita, no se escucha a sí mismo: sólo los autos abajo, una jauría de hienas hambrientas.

Traduction temporaire :
La voix rauque et en pleurs, il lève les yeux et se tait enfin. Au loin, il regarde le soleil se coucher. La nuit devient plus dense et tombe tel un ballot sur la Ville, sur l'avenue, sur le pont, sur sa peau. Les voitures continuent leur chemin et lui, il voit comment la cellule est de plus en plus petite, il voit ses sombres contours se rapprocher de son corps. Il crie, il ne s'entend pas lui-même : il entend uniquement les voitures en bas, une meute de hyènes affamées.

9 commentaires:

Sonita a dit…

Déjà rauque et en pleurs sur la fin, il lève les yeux. Il se tait enfin. Au loin, il regarde comment le soleil se couche. La nuit se fait plus dense et tombe tel un ballot sur la ville, sur l'avenue, sur le pont, sur sa peau. Les voitures continuent leur chemin et lui, il voit comment la cellule devient de plus en plus petite, il voit ses sombres contours se rapprocher de son corps. Il crie, il ne s'écoute pas : il entend uniquement les voitures en bas, une meute de hyènes affamées.

Tradabordo a dit…

Déjà rauque et en pleurs sur la fin [très maladroit ; il va falloir reprendre ça… quitte à s'éloigner de la V.O.], il lève les yeux. Il se tait enfin. Au loin, il regarde comment le soleil se couche [simplifie]. La nuit se fait [il y a mieux] plus dense et tombe tel un ballot sur la ville [la majuscule], sur l'avenue, sur le pont, sur sa peau. Les voitures continuent leur chemin et lui, il voit comment [construction que tu as déjà dans la section d'avant…] la cellule devient de plus en plus petite, il voit ses sombres contours se rapprocher de son corps. Il crie, il ne s'écoute pas : il entend uniquement les voitures en bas, une meute de hyènes affamées.

Sonita a dit…

Rauque et en pleurs, il lève finalement les yeux. Il se tait enfin. Au loin, il regarde le coucher du soleil. La nuit devient plus dense et tombe tel un ballot sur la Ville, sur l'avenue, sur le pont, sur sa peau. Les voitures continuent leur chemin et lui, il voit comment la cellule est de plus en plus petite, il voit ses sombres contours se rapprocher de son corps. Il crie, il ne s'écoute pas : il entend uniquement les voitures en bas, une meute de hyènes affamées.

Tradabordo a dit…

Rauque [il faut un substantif pour aller avec…] et en pleurs, il lève finalement les yeux. Il [nécessaire ?] se tait enfin. Au loin, il regarde le coucher du soleil [mets-le quand même avec un verbe…]. La nuit devient plus dense et tombe tel un ballot sur la Ville, sur l'avenue, sur le pont, sur sa peau. Les voitures continuent leur chemin et lui, il voit comment la cellule est de plus en plus petite, il voit ses sombres contours se rapprocher de son corps. Il crie, il ne s'écoute pas [CS ici] : il entend uniquement les voitures en bas, une meute de hyènes affamées.

Sonita a dit…

La voix rauque et en pleurs, il lève finalement les yeux et se tait enfin. Au loin, il regarde le soleil se coucher. La nuit devient plus dense et tombe tel un ballot sur la Ville, sur l'avenue, sur le pont, sur sa peau. Les voitures continuent leur chemin et lui, il voit comment la cellule est de plus en plus petite, il voit ses sombres contours se rapprocher de son corps. Il crie, il ne s'entend pas : il entend uniquement les voitures en bas, une meute de hyènes affamées.

Tradabordo a dit…

La voix rauque et en pleurs, il lève finalement [supprime ; ça fait doublon avec le » enfin » d'après] les yeux et se tait enfin. Au loin, il regarde le soleil se coucher. La nuit devient plus dense et tombe tel un ballot sur la Ville, sur l'avenue, sur le pont, sur sa peau. Les voitures continuent leur chemin et lui, il voit comment la cellule est de plus en plus petite, il voit ses sombres contours se rapprocher de son corps. Il crie, il ne s'entend pas [« a si mismo »] : il entend uniquement les voitures en bas, une meute de hyènes affamées.

Sonita a dit…

La voix rauque et en pleurs, il lève les yeux et se tait enfin. Au loin, il regarde le soleil se coucher. La nuit devient plus dense et tombe tel un ballot sur la Ville, sur l'avenue, sur le pont, sur sa peau. Les voitures continuent leur chemin et lui, il voit comment la cellule est de plus en plus petite, il voit ses sombres contours se rapprocher de son corps. Il crie, il ne s'entend pas lui-même : il entend uniquement les voitures en bas, une meute de hyènes affamées.

Sonita a dit…

Et moi ? *.*

Tradabordo a dit…

La voix rauque et en pleurs, il lève les yeux et se tait enfin. Au loin, il regarde le soleil se coucher. La nuit devient plus dense et tombe tel un ballot sur la Ville, sur l'avenue, sur le pont, sur sa peau. Les voitures continuent leur chemin et lui, il voit comment la cellule est de plus en plus petite, il voit ses sombres contours se rapprocher de son corps. Il crie, il ne s'entend pas lui-même : il entend uniquement les voitures en bas, une meute de hyènes affamées.

OK.