mardi 27 janvier 2015

Projet Hélène 4 – phrases 4-9


El camino a casa era muy largo, demasiado largo. Le gustaba caminar por la ciudad de noche, era algo que siempre hacía cuando se sentía deprimido. Se sentía feliz en las calles, las calles eran su casa, los homeless, sus hermanos, él era un homeless más y feliz, sonreía como nunca, sabía desde muy pequeño que tenía razón, pero la noche casi siempre se lo confirmaba. La noche de la ciudad con sus edificios, su puentes, sus veredas, sus 7-Eleven. En un lado, la policía, del otro lado, él y los que eran como él. Así tenía que ser.

Traduction temporaire :
Le chemin menant chez lui était très long, trop long. Il aimait déambuler dans la ville de nuit : une habitude qu’il avait chaque fois qu’il était déprimé. Il se sentait heureux dans les rues, les rues étaient sa maison, les SDF ses frères ; il était un SDF parmi d'autres et ravi. Il souriait comme jamais auparavant, il savait depuis petit qu’il avait raison. Or, la nuit le lui confirmait presque immanquablement. L’obscurité de l'endroit, avec ses bâtiments, ses ponts, ses trottoirs, ses 7-Eleven. D’un côté, la police, de l’autre, lui et ses semblables. C’est ainsi que ça devait se passer.

6 commentaires:

Hélène a dit…

Le chemin menant chez lui était long, trop long. La nuit, il aimait déambuler dans la ville : une habitude qu’il avait prise chaque fois qu’il était déprimé. Il se sentait heureux dans les rues, les rues étaient sa maison, les SDF ses frères, il était un SDF de plus et heureux. Il souriait comme jamais auparavant, il savait depuis tout petit qu’il avait raison. Or, la nuit lui confirmait presque toujours. L’obscurité de la ville avec ses bâtiments, ses ponts, ses trottoirs, ses 7-Eleven. D’un côté, la police, de l’autre, lui et ses semblables. C’est ainsi que ça devait se passer.

Tradabordo a dit…

Le chemin menant chez lui était [« muy » ?] long, trop long. La nuit, il aimait déambuler dans la ville [pourquoi tu changes ?] : une habitude qu’il avait prise chaque fois qu’il était déprimé. Il se sentait heureux dans les rues, les rues étaient sa maison, les SDF ses frères, [point-virgule ? Comme tu veux] il était un SDF de plus et heureux. Il souriait comme jamais auparavant, il savait depuis tout petit qu’il avait raison. Or, la nuit [« le » ?] lui confirmait presque toujours. L’obscurité de la ville avec ses bâtiments, ses ponts, ses trottoirs, ses 7-Eleven. D’un côté, la police, de l’autre, lui et ses semblables. C’est ainsi que ça devait se passer.

Hélène a dit…

Le chemin menant chez lui était très long, trop long. Il aimait déambuler dans la ville de nuit : une habitude qu’il avait prise chaque fois qu’il était déprimé. Il se sentait heureux dans les rues, les rues étaient sa maison, les SDF ses frères ; il était un SDF de plus et heureux. Il souriait comme jamais auparavant, il savait depuis tout petit qu’il avait raison. Or, la nuit le lui confirmait presque toujours. L’obscurité de la ville avec ses bâtiments, ses ponts, ses trottoirs, ses 7-Eleven. D’un côté, la police, de l’autre, lui et ses semblables. C’est ainsi que ça devait se passer.

Hélène a dit…

Le chemin menant chez lui était très long, trop long. Il aimait déambuler dans la ville de nuit : une habitude qu’il avait prise chaque fois qu’il était déprimé. Il se sentait heureux dans les rues, les rues étaient sa maison, les SDF ses frères ; il était un SDF parmi d'autres et heureux. Il souriait comme jamais auparavant, il savait depuis petit qu’il avait raison. Or, la nuit le lui confirmait presque immanquablement. L’obscurité de l'endroit avec ses bâtiments, ses ponts, ses trottoirs, ses 7-Eleven. D’un côté, la police, de l’autre, lui et ses semblables. C’est ainsi que ça devait se passer.

Tradabordo a dit…

Le chemin menant chez lui était très long, trop long. Il aimait déambuler dans la ville de nuit : une habitude qu’il avait prise [supprime le « prise »; sinon, relis et tu vas voir, le sens est bizarre… Comme si l'avait prise chaque fois…] chaque fois qu’il était déprimé. Il se sentait heureux dans les rues, les rues étaient sa maison, les SDF ses frères ; il était un SDF parmi d'autres et heureux [un moyen de ne pas répéter ?]. Il souriait comme jamais auparavant, il savait depuis petit qu’il avait raison. Or, la nuit le lui confirmait presque immanquablement. L’obscurité de l'endroit [virgule] avec ses bâtiments, ses ponts, ses trottoirs, ses 7-Eleven. D’un côté, la police, de l’autre, lui et ses semblables. C’est ainsi que ça devait se passer.

Tradabordo a dit…

Le chemin menant chez lui était très long, trop long. Il aimait déambuler dans la ville de nuit : une habitude qu’il avait chaque fois qu’il était déprimé. Il se sentait heureux dans les rues, les rues étaient sa maison, les SDF ses frères ; il était un SDF parmi d'autres et ravi. Il souriait comme jamais auparavant, il savait depuis petit qu’il avait raison. Or, la nuit le lui confirmait presque immanquablement. L’obscurité de l'endroit, avec ses bâtiments, ses ponts, ses trottoirs, ses 7-Eleven. D’un côté, la police, de l’autre, lui et ses semblables. C’est ainsi que ça devait se passer.

OK.