vendredi 23 janvier 2015

Projet Caroline 2 – phrases 185-191


Su padre, Charles Blair Leighton —señaló el lienzo con su cabeza—, fue un artista con mucho talento que llegó a exhibir muchas de sus obras durante su corta carrera; sólo vivió treinta y dos años. Edmund, su hijo, y el hacedor de esta maravilla, tenía sólo dos años cuando murió su progenitor, por lo que éste no pudo contagiar el amor por la pintura a su heredero. Tampoco su familia le ayudó mucho, puesto que no tenían mucho aprecio por el arte, al que consideraban una pérdida de tiempo. Cuando el muchacho tuvo quince años lo pusieron a trabajar en una compañía de té, y sin embargo, ¿sabes qué es lo que hacía él? Se pasaba el día dibujando. Llegó a decir que dibujar era la columna vertebral de todas las cosas.

Traduction temporaire :
— Son père, Charles Blair Leighton (il fit un signe de tête vers la toile) était un artiste très talentueux, qui est parvenu à exposer nombre de ses œuvres pendant sa courte carrière ; il n'a vécu que trente deux ans. Edmund, son fils et auteur de cette merveille, n'était âgé que de deux ans à la mort de son géniteur ; de sorte que le père n'a pas pu transmettre son amour de la peinture à son héritier. Sa famille ne l'a pas beaucoup aidé non plus, puisqu'elle ne tenait pas l'art en grande estime. Elle considérait que c'était une perte de temps. Quand le garçon a fêté ses quinze ans, elle l'a fait engager dans une compagnie de thé. Et pourtant, devine à quoi il s'occupait ? Il passait ses journées à dessiner. Il a même fini par déclarer que dessiner était la colonne vertébrale de toute chose.

4 commentaires:

Caroline a dit…

— Son père, Charles Blair Leighton (il fit un signe de tête vers la toile) était un artiste doté d'un grand talent, qui est parvenu à exposer beaucoup de ses œuvres pendant sa courte carrière ; il n'a vécu que trente deux ans. Edmund, son fils et réalisateur de cette merveille, n'était âgé que de deux ans à la mort de son progéniteur ; par conséquent, celui-ci n'a pas pu transmettre son amour de la peinture à son héritier. Sa famille ne l'a pas beaucoup aidé non plus, puisqu'elle ne tenait pas l'art, qu'elle considérait comme une perte de temps, en grande estime. Quand le garçon a eu quinze ans, elle l'a fait engager dans une compagnie de thé. Et pourtant, devine ce qu'il faisait ? Il passait ses journées à dessiner. Il en est même venu à déclarer que dessiner était la colonne vertébrale de toute chose.

Tradabordo a dit…

— Son père, Charles Blair Leighton (il fit un signe de tête vers la toile) était un artiste doté [j'ai un doute : on le dit vraiment pour le talent ? Vérifiez] d'un grand talent, qui est parvenu à exposer beaucoup [ou avec : « nombre » / « quand » ? D'autant que vous en avez un autre après] de ses œuvres pendant sa courte carrière ; il n'a vécu que trente deux ans. Edmund, son fils et réalisateur [« auteur » ?] de cette merveille, n'était âgé que de deux ans à la mort de son pro[supprimez]géniteur ; par conséquent [« de sorte que » ?], celui-ci [je n'aime pas beaucoup de type de reprise… « père » ?] n'a pas pu transmettre son amour de la peinture à son héritier. Sa famille ne l'a pas beaucoup aidé non plus, puisqu'elle ne tenait pas l'art, qu'elle considérait comme une perte de temps, en grande estime [la syntaxe de cette partie manque de fluidité // faites d'autres assemblages]. Quand le garçon a eu [ou avec « fêter » ?] quinze ans, elle l'a fait engager dans une compagnie de thé. Et pourtant, devine ce qu'il faisait [vous en avez déjà un dans la phrase précédente] ? Il passait ses journées à dessiner. Il en est même venu [on peut simplifiez ?] à déclarer que dessiner était la colonne vertébrale de toute chose.

Caroline a dit…

— Son père, Charles Blair Leighton (il fit un signe de tête vers la toile) était un artiste très talentueux, qui est parvenu à exposer nombre de ses œuvres pendant sa courte carrière ; il n'a vécu que trente deux ans. Edmund, son fils et auteur de cette merveille, n'était âgé que de deux ans à la mort de son géniteur ; de sorte que le père n'a pas pu transmettre son amour de la peinture à son héritier. Sa famille ne l'a pas beaucoup aidé non plus, puisqu'elle ne tenait pas l'art en grande estime. Elle considérait que c'était une perte de temps. Quand le garçon a fêté ses quinze ans, elle l'a fait engager dans une compagnie de thé. Et pourtant, devine à quoi il s'occupait ? Il passait ses journées à dessiner. Il a même fini par déclarer que dessiner était la colonne vertébrale de toute chose.

Tradabordo a dit…

— Son père, Charles Blair Leighton (il fit un signe de tête vers la toile) était un artiste très talentueux, qui est parvenu à exposer nombre de ses œuvres pendant sa courte carrière ; il n'a vécu que trente deux ans. Edmund, son fils et auteur de cette merveille, n'était âgé que de deux ans à la mort de son géniteur ; de sorte que le père n'a pas pu transmettre son amour de la peinture à son héritier. Sa famille ne l'a pas beaucoup aidé non plus, puisqu'elle ne tenait pas l'art en grande estime. Elle considérait que c'était une perte de temps. Quand le garçon a fêté ses quinze ans, elle l'a fait engager dans une compagnie de thé. Et pourtant, devine à quoi il s'occupait ? Il passait ses journées à dessiner. Il a même fini par déclarer que dessiner était la colonne vertébrale de toute chose.

OK.