mercredi 6 mai 2015

Projet Justine 4 – phrase 102


Aquella vez que sudé con gusto al acomodar nuestras pertenencias recién mudadas ingresé al primer cuarto de baño que me pertenecía dispuesto a cantar, a embadurnarme con generosa espuma y a ser enjuagado con las caricias de esa ducha importada que la señora Carmen había mandado instalar allí, qué señora tan buena gente, la donna e movile cual piuma al vento, hasta que el jabón entró en mis ojos, el escozor desesperó a mis manos que trataban de abrir más las llaves, con el mismo resultado inútil: la lluvia detenida, apagada hasta el día siguiente.

Traduction temporaire :
Après avoir transpiré avec plaisir en rangeant nos affaires récemment déménagées, j'étais rentré pour la première fois dans ma salle de bains, prêt à chanter, à m'enduire généreusement de mousse et à être rincé par les caresses de la douche coûteuse que Madame Carmen y avait fait installer – brave femme ! – la donna e movile cual piuma al vento, jusqu'à ce que le savon entre dans mes yeux, que mes mains brûlent de désespoir en essayant d'ouvrir plus les robinets, en vain : la pluie arrêtée, tarie jusqu'au lendemain.

14 commentaires:

Justine a dit…

Je me rappelle cette fameuse fois où j'ai transpiré avec plaisir en rangeant nos affaires récemment déménagées, je suis rentré dans la première salle de bains qui m'appartenait, prêt à chanter, à m'enduire généreusement de mousse et à être rincé par les caresses de cette douche coûteuse que Madame Carmen avait ordonné d'y installer – quelle gentille femme ! – la donna e movile cual piuma al vento, jusqu'à ce que le savon entre dans mes yeux, que mes mains brûlent de désespoir en essayant d'ouvrir plus les robinets, mais en vain : la pluie arrêtée, tarie jusqu'au lendemain.

Tradabordo a dit…

Je me rappelle [je ne le trouve pas ça… mais vu la longueur de la phrase, il se peut qu'il m'échappe // ou est-ce un ajout de ta part ?] cette fameuse fois où j'ai transpiré avec plaisir en rangeant nos affaires récemment déménagées, je suis rentré dans la première salle de bains qui m'appartenait, prêt à chanter, à m'enduire généreusement de mousse et à être rincé par les caresses de cette douche coûteuse que Madame Carmen avait ordonné d'y installer – quelle gentille femme ! – la donna e movile cual piuma al vento, jusqu'à ce que le savon entre dans mes yeux, que mes mains brûlent de désespoir en essayant d'ouvrir plus les robinets, mais en vain : la pluie arrêtée, tarie jusqu'au lendemain.

Justine a dit…

Oui, c'est un ajout, ça me paraît bizarre sans rien, regarde :

Cette fameuse fois où j'ai transpiré avec plaisir en rangeant nos affaires récemment déménagées, je suis rentré dans la première salle de bains qui m'appartenait, prêt à chanter, à m'enduire généreusement de mousse et à être rincé par les caresses de cette douche coûteuse que Madame Carmen avait ordonné d'y installer – quelle gentille femme ! – la donna e movile cual piuma al vento, jusqu'à ce que le savon entre dans mes yeux, que mes mains brûlent de désespoir en essayant d'ouvrir plus les robinets, mais en vain : la pluie arrêtée, tarie jusqu'au lendemain.

Tradabordo a dit…

Attends, mais vérifie ce qu'il y a avant et vois si ça ne suit pas une certaine logique. Regarde et dis-moi.

Justine a dit…

J'avais vérifié et n'en voyais pas, voilà la phrase précédente :

L'immeuble où nous luttons pour survivre s'élève sur quinze étages, sans compter l'appartement-terrasse en bois qui couronne le béton. Vue d'en haut, la construction a la forme d'un L. Mon appartement est situé sur la partie la plus courte, tandis que le segment le plus long compte une série d'appartements beaucoup plus grands qui, au fil du temps, se sont retrouvés morcelés en d'autres logements plus petits, revendus par leurs premiers propriétaires. Comme le dit si bien ma femme, en biens-fonds, trois petits appartements doivent avoir plus de valeur qu'un grand. Raison pour laquelle si lors de son inauguration l'immeuble disposait de trente appartements au total, au moment où j'ai emménagé, leur nombre avait doublé. Ce qui a aussi réduit de moitié les moyens pour les entretenir.

Suivie de : Cette fameuse fois où j'ai transpiré avec plaisir en rangeant nos affaires récemment déménagées, je suis rentré dans la première salle de bains qui m'appartenait, prêt à chanter, à m'enduire généreusement de mousse et à être rincé par les caresses de cette douche coûteuse que Madame Carmen avait ordonné d'y installer – quelle gentille femme ! – la donna e movile cual piuma al vento, jusqu'à ce que le savon entre dans mes yeux, que mes mains brûlent de désespoir en essayant d'ouvrir plus les robinets, mais en vain : la pluie arrêtée, tarie jusqu'au lendemain.

Tradabordo a dit…

Demande son avis à Elena.

Justine a dit…

La fois où j'avais transpiré avec plaisir en rangeant nos affaires récemment déménagées, j'étais rentré dans la première salle de bains qui m'appartenait, prêt à chanter, à m'enduire généreusement de mousse et à être rincé par les caresses de cette douche coûteuse que Madame Carmen avait ordonné d'y installer – quelle gentille femme ! – la donna e movile cual piuma al vento, jusqu'à ce que le savon entre dans mes yeux, que mes mains brûlent de désespoir en essayant d'ouvrir plus les robinets, mais en vain : la pluie arrêtée, tarie jusqu'au lendemain.

Tradabordo a dit…

Aquella vez que sudé con gusto al acomodar nuestras pertenencias recién mudadas ingresé al primer cuarto de baño que me pertenecía dispuesto a cantar, a embadurnarme con generosa espuma y a ser enjuagado con las caricias de esa ducha importada que la señora Carmen había mandado instalar allí, qué señora tan buena gente, la donna e movile cual piuma al vento, hasta que el jabón entró en mis ojos, el escozor desesperó a mis manos que trataban de abrir más las llaves, con el mismo resultado inútil: la lluvia detenida, apagada hasta el día siguiente.

La fois où j'avais transpiré avec plaisir en rangeant nos affaires récemment déménagées, j'étais rentré dans la première salle de bains qui m'appartenait [clair ? Dans quel sens : que c'est la première fois qu'il a une salle de bain ? Ou qu'il en a plusieurs dans cet appartement ?], prêt à chanter, à m'enduire généreusement de mousse et à être rincé par les caresses de cette [« la »] douche coûteuse que Madame Carmen avait ordonné [bof] d'y installer – quelle gentille [« brave » ? ] femme ! – la donna e movile cual piuma al vento, jusqu'à ce que le savon entre dans mes yeux, que mes mains brûlent de désespoir en essayant d'ouvrir plus les robinets, mais en vain : la pluie arrêtée, tarie jusqu'au lendemain.

Justine a dit…

C'est la première fois qu'ils sont propriétaires.

La fois où j'avais transpiré avec plaisir en rangeant nos affaires récemment déménagées, j'étais rentré dans la salle de bains, pour la première fois Ma salle de bains, prêt à chanter, à m'enduire généreusement de mousse et à être rincé par les caresses de la douche coûteuse que Madame Carmen y avait fait installer – quelle brave femme ! – la donna e movile cual piuma al vento, jusqu'à ce que le savon entre dans mes yeux, que mes mains brûlent de désespoir en essayant d'ouvrir plus les robinets, mais en vain : la pluie arrêtée, tarie jusqu'au lendemain.

Tradabordo a dit…

La fois où j'avais transpiré avec plaisir en rangeant nos affaires récemment déménagées, j'étais rentré dans la salle de bains, pour la première fois Ma [coquille ; relis-toi et fais le ménage] salle de bains, prêt à chanter, à m'enduire généreusement de mousse et à être rincé par les caresses de la douche coûteuse que Madame Carmen y avait fait installer – quelle brave femme ! – la donna e movile cual piuma al vento, jusqu'à ce que le savon entre dans mes yeux, que mes mains brûlent de désespoir en essayant d'ouvrir plus les robinets, mais en vain : la pluie arrêtée, tarie jusqu'au lendemain.

Justine a dit…

La fois où j'avais transpiré avec plaisir en rangeant nos affaires récemment déménagées, j'étais rentré pour la première fois dans ma salle de bains, prêt à chanter, à m'enduire généreusement de mousse et à être rincé par les caresses de la douche coûteuse que Madame Carmen y avait fait installer – quelle brave femme ! – la donna e movile cual piuma al vento, jusqu'à ce que le savon entre dans mes yeux, que mes mains brûlent de désespoir en essayant d'ouvrir plus les robinets, mais en vain : la pluie arrêtée, tarie jusqu'au lendemain.

Tradabordo a dit…

La fois où j'avais [ou : « Après avoir » ? J'hésite, mais c'est qu'à chaque fois, ce début me semble vraiment bizarre… Évalue et tranche] transpiré avec plaisir en rangeant nos affaires récemment déménagées, j'étais rentré pour la première fois dans ma salle de bains, prêt à chanter, à m'enduire généreusement de mousse et à être rincé par les caresses de la douche coûteuse que Madame Carmen y avait fait installer – quelle [supprime] brave femme ! – la donna e movile cual piuma al vento, jusqu'à ce que le savon entre dans mes yeux, que mes mains brûlent de désespoir en essayant d'ouvrir plus les robinets, mais [supprime, c'est redondant] en vain : la pluie arrêtée, tarie jusqu'au lendemain.

Justine a dit…

Après avoir transpiré avec plaisir en rangeant nos affaires récemment déménagées, j'étais rentré pour la première fois dans ma salle de bains, prêt à chanter, à m'enduire généreusement de mousse et à être rincé par les caresses de la douche coûteuse que Madame Carmen y avait fait installer – brave femme ! – la donna e movile cual piuma al vento, jusqu'à ce que le savon entre dans mes yeux, que mes mains brûlent de désespoir en essayant d'ouvrir plus les robinets, en vain : la pluie arrêtée, tarie jusqu'au lendemain.

Tradabordo a dit…

Après avoir transpiré avec plaisir en rangeant nos affaires récemment déménagées, j'étais rentré pour la première fois dans ma salle de bains, prêt à chanter, à m'enduire généreusement de mousse et à être rincé par les caresses de la douche coûteuse que Madame Carmen y avait fait installer – brave femme ! – la donna e movile cual piuma al vento, jusqu'à ce que le savon entre dans mes yeux, que mes mains brûlent de désespoir en essayant d'ouvrir plus les robinets, en vain : la pluie arrêtée, tarie jusqu'au lendemain.

OK.