mercredi 21 septembre 2016

Projet Hadjer / Sabrina – phrases 195-203

— No creerá lo que le voy a decir, señor Ramírez, pero su hijo me recordó a Laura y le tomé cariño. Y es que tengo un grave problema. En cuanto les tomó cariño a las personas, enseguida regresan las voces y empiezo a imaginar sonrisas repletas de sangre. Como me pasó con Laura y con Chispita.
— Sería precisamente en este diván donde mantuvimos la última conversación, suspiró David, posando sus ojos en Ramírez.
Ramírez no podía creer lo que escuchaba. Durante tres meses había compartido con el asesino de su hijo y sin saber había visto su sonrisa colgando en la pared.
—¿Quiere decir que mi hijo estuvo aquí? preguntó Ramírez intranquilo, al borde de perder el control. Sus manos parecían granadas a punto de estallar. 

Traduction temporaire :
— Vous n’allez sans doute pas croire ce que je vais vous dire, monsieur Ramírez, mais votre fils m’a rappelé Laura et je m’y suis attaché. J’ai en fait un grave problème. Dès que je m’attache à une personne, les voix reviennent immédiatement et je me mets à imaginer des sourires gorgés de sang. Comme avec Laura et Petite Étincelle.
— C'est sans doute précisément sur ce divan que nous avons discuté pour la dernière fois, soupira David, arrêtant son regard sur Ramírez.
Celui-ci n’en croyait pas ses oreilles. Pendant trois mois, il avait partagé la même pièce que l’assassin de son fils et sans le savoir, il avait vu son sourire accroché au mur.
— Vous voulez donc dire que mon fils est venu ici ? s’enquit Ramírez, anxieux, sur le point de perdre le contrôle. Ses mains étaient comme des grenades prêtes à exploser.

12 commentaires:

Sabrina a dit…

— Vous n’allez sans doute pas croire ce que je vais vous dire, monsieur Ramírez, mais votre fils m’a rappelé Laura et je m’y suis attaché. Le souci, c’est que j’ai un grave problème : dès que je m’attache à quelqu’un, les voix reviennent immédiatement et je me mets à imaginer des sourires gorgés de sang. Comme avec Laura et Petite Etincelle.
— C'est sans doute précisément sur ce divan que nous avons eu notre dernière conversation, soupira David, arrêtant son regard sur Ramírez. .
Ramírez n’en croyait pas ses oreilles. Pendant trois mois, il avait partagé la même pièce que l’assassin de son fils et sans le savoir, il avait vu son sourire accroché au mur.
Vous voulez donc dire que mon fils est venu ici ? s’enquit Ramírez anxieux, prêt à perdre le contrôle. Ses mains semblaient mûres, comme si elles allaient à éclater.

Tradabordo a dit…

— Vous n’allez sans doute pas croire ce que je vais vous dire, monsieur Ramírez, mais votre fils m’a rappelé Laura et je m’y suis attaché [ou avec « prendre en affection » ? Comme tu veux…]. Le souci [QUE JE NE REVOIS JAMAIS ÇA SOUS TON CLAVIER, OR I KILL YOU, WINGLURB !!!!],

c’est que j’ai un grave problème : dès que je m’attache à quelqu’un, les voix reviennent immédiatement et je me mets à imaginer des sourires gorgés de sang. Comme avec Laura et Petite Etincelle.
— C'est sans doute précisément sur ce divan que nous avons eu notre dernière conversation, soupira David, arrêtant son regard sur Ramírez. .
Ramírez n’en croyait pas ses oreilles. Pendant trois mois, il avait partagé la même pièce que l’assassin de son fils et sans le savoir, il avait vu son sourire accroché au mur.
Vous voulez donc dire que mon fils est venu ici ? s’enquit Ramírez anxieux, prêt à perdre le contrôle. Ses mains semblaient mûres, comme si elles allaient à éclater.

Sabrina a dit…

Hahaha !! Je sens que je vais avoir des soucis moi !! :p
J'avais aussi pensé à "prendre en affection", mais comme l'expression se répète juste après, je trouvais ça un peu lourd et ai cherché plus simple.

— Vous n’allez sans doute pas croire ce que je vais vous dire, monsieur Ramírez, mais votre fils m’a rappelé Laura et je m’y suis attaché. J’ai en fait un grave problème : dès que je m’attache à une personne, les voix reviennent immédiatement et je me mets à imaginer des sourires gorgés de sang. Comme avec Laura et Petite Etincelle.
— C'est sans doute précisément sur ce divan que nous avons eu notre dernière conversation, soupira David, arrêtant son regard sur Ramírez. .
Celui-ci n’en croyait pas ses oreilles. Pendant trois mois, il avait partagé la même pièce que l’assassin de son fils et sans le savoir, il avait vu son sourire accroché au mur.
Vous voulez donc dire que mon fils est venu ici ? s’enquit Ramírez anxieux, prêt à perdre le contrôle. Ses mains semblaient mûres, comme si elles allaient à éclater.

Tradabordo a dit…

— Vous n’allez sans doute pas croire ce que je vais vous dire, monsieur Ramírez, mais votre fils m’a rappelé Laura et je m’y suis attaché. J’ai en fait un grave problème : [pas de : dans les dialogues / WINGLURB !!!!!] dès que je m’attache à une personne, les voix reviennent immédiatement et je me mets à imaginer des sourires gorgés de sang. Comme avec Laura et Petite Etincelle.
— C'est sans doute précisément sur ce divan que nous avons eu notre dernière conversation, soupira David, arrêtant son regard sur Ramírez. .
Celui-ci n’en croyait pas ses oreilles. Pendant trois mois, il avait partagé la même pièce que l’assassin de son fils et sans le savoir, il avait vu son sourire accroché au mur.
Vous voulez donc dire que mon fils est venu ici ? s’enquit Ramírez anxieux, prêt à perdre le contrôle. Ses mains semblaient mûres, comme si elles allaient à éclater.

Sabrina a dit…

Ah oui ?! Tu ne me l'avais jamais dit !! Un peu comme la virgule devant "mais" ! :p (Je cherche les soucis en fait ! :p)

— Vous n’allez sans doute pas croire ce que je vais vous dire, monsieur Ramírez, mais votre fils m’a rappelé Laura et je m’y suis attaché. J’ai un grave problème car dès que je m’attache à une personne, les voix reviennent immédiatement et je me mets à imaginer des sourires gorgés de sang. Comme avec Laura et Petite Etincelle.
— C'est sans doute précisément sur ce divan que nous avons eu notre dernière conversation, soupira David, arrêtant son regard sur Ramírez. .
Celui-ci n’en croyait pas ses oreilles. Pendant trois mois, il avait partagé la même pièce que l’assassin de son fils et sans le savoir, il avait vu son sourire accroché au mur.
Vous voulez donc dire que mon fils est venu ici ? s’enquit Ramírez anxieux, prêt à perdre le contrôle. Ses mains semblaient mûres, comme si elles allaient à éclater.

Tradabordo a dit…

NE MENS PAS !

— Vous n’allez sans doute pas croire ce que je vais vous dire, monsieur Ramírez, mais votre fils m’a rappelé Laura et je m’y suis attaché. J’ai un grave problème car [point + suppression du « car » ?] dès que je m’attache à une personne, les voix reviennent immédiatement et je me mets à imaginer des sourires gorgés de sang. Comme avec Laura et Petite E[accentuez tes majuscules ! Si tu me dis que tu savais pas, va y avoir du sourire gorgé de sang]tincelle.
— C'est sans doute précisément sur ce divan que nous avons eu notre [?] dernière conversation, soupira David, arrêtant son regard sur Ramírez. . [c'est quoi, ce point ?]
Celui-ci n’en croyait pas ses oreilles. Pendant trois mois, il avait partagé la même pièce que l’assassin de son fils et sans le savoir, il avait vu son sourire accroché au mur.
[et le tiret ?]Vous voulez donc dire que mon fils est venu ici ? s’enquit Ramírez [virgule] anxieux, prêt à perdre le contrôle. Ses mains semblaient mûres [?], comme si elles allaient à [non, mais ça va, oui ?] éclater.

Sabrina a dit…

Hahaha !! J'avoue que sur ce fragment, j'y suis allée fort !! Que m'est-il arrivé ?! Désolée, je me reconcentre bien. Je n'ai pas envie de finir accrochée à un mur !! :p

J'avais hésité aussi avec cette option (pt + suppression du "car"). Donc ok :). Je rajoute le "en fait" ? J'aime bien le "en fait" ;).
Ca me semble bizarre "nous avons eu la dernière conversation". Je vais le dire autrement alors.
Je ne suis pas sûre de bien comprendre la dernière phrase : il est tellement en colère qu'il fait une réaction épidermique et des grains apparaissent sur sa peau ?

— Vous n’allez sans doute pas croire ce que je vais vous dire, monsieur Ramírez, mais votre fils m’a rappelé Laura et je m’y suis attaché. J’ai en fait un grave problème. Dès que je m’attache à une personne, les voix reviennent immédiatement et je me mets à imaginer des sourires gorgés de sang. Comme avec Laura et Petite Étincelle.
— C'est sans doute précisément sur ce divan que nous avons discuté pour la dernière fois, soupira David, arrêtant son regard sur Ramírez.
Celui-ci n’en croyait pas ses oreilles. Pendant trois mois, il avait partagé la même pièce que l’assassin de son fils et sans le savoir, il avait vu son sourire accroché au mur.
— Vous voulez donc dire que mon fils est venu ici ? s’enquit Ramírez, anxieux, prêt à perdre le contrôle. Sur ses mains, affleuraient des grains sur le point d'éclater.

Tradabordo a dit…


— Vous n’allez sans doute pas croire ce que je vais vous dire, monsieur Ramírez, mais votre fils m’a rappelé Laura et je m’y suis attaché. J’ai en fait un grave problème. Dès que je m’attache à une personne, les voix reviennent immédiatement et je me mets à imaginer des sourires gorgés de sang. Comme avec Laura et Petite Étincelle.
— C'est sans doute précisément sur ce divan que nous avons discuté pour la dernière fois, soupira David, arrêtant son regard sur Ramírez.
Celui-ci n’en croyait pas ses oreilles. Pendant trois mois, il avait partagé la même pièce que l’assassin de son fils et sans le savoir, il avait vu son sourire accroché au mur.
— Vous voulez donc dire que mon fils est venu ici ? s’enquit Ramírez, anxieux, prêt à perdre le contrôle. Sur ses mains, affleuraient des grains [demande son avis à Elena] sur le point d'éclater.

Sabrina a dit…

J'ai cherché midi à 14h, sans voir l'évidence : granadas = grenades !!!! Le souci, c'est... moi !!!

— Vous n’allez sans doute pas croire ce que je vais vous dire, monsieur Ramírez, mais votre fils m’a rappelé Laura et je m’y suis attaché. J’ai en fait un grave problème. Dès que je m’attache à une personne, les voix reviennent immédiatement et je me mets à imaginer des sourires gorgés de sang. Comme avec Laura et Petite Étincelle.
— C'est sans doute précisément sur ce divan que nous avons discuté pour la dernière fois, soupira David, arrêtant son regard sur Ramírez.
Celui-ci n’en croyait pas ses oreilles. Pendant trois mois, il avait partagé la même pièce que l’assassin de son fils et sans le savoir, il avait vu son sourire accroché au mur.
— Vous voulez donc dire que mon fils est venu ici ? s’enquit Ramírez, anxieux, sur le point de perdre le contrôle. Ses mains étaient comme des grenades prêtes à exploser.

Tradabordo a dit…

Ça, on le sait :-) Rateau d'or = Danny / rateau d'argent : Winglurb.

— Vous n’allez sans doute pas croire ce que je vais vous dire, monsieur Ramírez, mais votre fils m’a rappelé Laura et je m’y suis attaché. J’ai en fait un grave problème. Dès que je m’attache à une personne, les voix reviennent immédiatement et je me mets à imaginer des sourires gorgés de sang. Comme avec Laura et Petite Étincelle.
— C'est sans doute précisément sur ce divan que nous avons discuté pour la dernière fois, soupira David, arrêtant son regard sur Ramírez.
Celui-ci n’en croyait pas ses oreilles. Pendant trois mois, il avait partagé la même pièce que l’assassin de son fils et sans le savoir, il avait vu son sourire accroché au mur.
— Vous voulez donc dire que mon fils est venu ici ? s’enquit Ramírez, anxieux, sur le point de perdre le contrôle. Ses mains étaient comme des grenades prêtes à exploser.

OK.

Sabrina a dit…

Eh oh, ça va hein ! :p Je crois avoir noté des noms nouveaux dans la liste des présents le 28 octobre, je vais pouvoir remettre mon râteau en jeu !! :p

Tradabordo a dit…

L'espoir fait vivre :-)