lundi 19 septembre 2016

Projet Hélène 5 – phrases 307-311

Los que más sufren, en este caso, no son ni los soldados ni la gente de Sendero, sino la pobre gente del pueblo que se encuentra atrapada entre dos fuegos, utilizada por uno y otro bando como escudo contra el adversario y, de hecho, el grueso de los muertos lo ponen los civiles, los que no han pedido esta guerra y que no saben cómo salir de ella. Yo no veía las cosas así, dijo el hombre, cada vez más interesado. ¿Pero es una democracia, no? No, para nada, respondió. Nunca lo ha sido y, menos, ahora. 

Traduction temporaire :
Ceux qui souffrent le plus, ce ne sont ni les soldats ni les membres de Sentier, mais bien les pauvres gens du peuple, qui se retrouvent coincés entre deux feux, utilisés par l’un ou l’autre camp comme bouclier contre l’adversaire. D’ailleurs, le gros des morts se compte parmi les civils, ceux qui n’ont pas voulu cette guerre et ne savent pas comment en sortir. Moi,je ne voyais pas les choses de cette manière, intervint l’homme, de plus en plus intéressé. C’est un pays démocratique, non ? Non, pas du tout, répondit-il. Ça ne l’a jamais été, encore moins aujourd’hui.

4 commentaires:

Hélène a dit…

En l’occurrence, ceux qui souffrent le plus, ce ne sont ni les soldats ni les membres de Sentier, mais bien les pauvres gens qui se retrouvent coincés entre deux feux, utilisés par l’un ou l’autre camp comme bouclier contre l’adversaire. D’ailleurs, le gros des morts se compte parmi les civils, ceux qui n’ont pas voulu cette guerre et qui ne savent pas comment en sortir. Je ne voyais pas les choses de cette manière, indiqua l’homme, de plus en plus intéressé. Mais c’est une démocratie, non ? Non, pas du tout, répondit-il. Ça ne l’a jamais été, encore moins aujourd’hui.

Tradabordo a dit…

En l’occurrence [nécessaire ?], ceux qui souffrent le plus, ce ne sont ni les soldats ni les membres de Sentier, mais bien les pauvres gens [« del pubelo » ?] [virgule ?] qui se retrouvent coincés entre deux feux, utilisés par l’un ou l’autre camp comme bouclier contre l’adversaire. D’ailleurs, le gros des morts se compte parmi les civils, ceux qui n’ont pas voulu cette guerre et qui [nécessaire ?] ne savent pas comment en sortir. [«Moi, » ?] Je ne voyais pas les choses de cette manière, indiqua [« intervint » ?] l’homme, de plus en plus intéressé. Mais c’est une [naturel ?] démocratie, non ? Non, pas du tout, répondit-il. Ça ne l’a jamais été, encore moins aujourd’hui.

Hélène a dit…

Ceux qui souffrent le plus, ce ne sont ni les soldats ni les membres de Sentier, mais bien les pauvres gens du peuple, qui se retrouvent coincés entre deux feux, utilisés par l’un ou l’autre camp comme bouclier contre l’adversaire. D’ailleurs, le gros des morts se compte parmi les civils, ceux qui n’ont pas voulu cette guerre et ne savent pas comment en sortir. Moi,je ne voyais pas les choses de cette manière, intervint l’homme, de plus en plus intéressé. C’est un pays démocratique, non ? Non, pas du tout, répondit-il. Ça ne l’a jamais été, encore moins aujourd’hui.

Tradabordo a dit…

Ceux qui souffrent le plus, ce ne sont ni les soldats ni les membres de Sentier, mais bien les pauvres gens du peuple, qui se retrouvent coincés entre deux feux, utilisés par l’un ou l’autre camp comme bouclier contre l’adversaire. D’ailleurs, le gros des morts se compte parmi les civils, ceux qui n’ont pas voulu cette guerre et ne savent pas comment en sortir. Moi,je ne voyais pas les choses de cette manière, intervint l’homme, de plus en plus intéressé. C’est un pays démocratique, non ? Non, pas du tout, répondit-il. Ça ne l’a jamais été, encore moins aujourd’hui.

OK.