dimanche 11 septembre 2016

Projet Jennifer (AI) – titre + phrases 1-4

Eduardo Cerdán (Mexique)

El otro parque

Basado en “Continuidad de los parques”, de Julio Cortázar

Llegó a su casa tras caminar un rato en el terreno contiguo, lleno de robles. Éste era un hombre alto, con las cejas unidas y con grandes manos que colgaban al tiempo que subía los peldaños, respirando lenta y regularmente. Subía las escaleras con una precisión casi ritual: lo hacía siempre de la misma forma, como si siguiera una suerte de instrucciones. Cuando llegó al último escalón, se apoyó en el barandal para dar el impulso final y se dirigió a su habitación, que miraba hacia la calle.

Traduction temporaire :

Eduardo Cerdán (Méxique)

L’autre parc

Basé sur “Continuité des parcs”, de Julio Cortázar (Argentine)

Il arriva chez lui après avoir marché un moment dans le terrain voisin, peuplé de chênes. Cet homme était grand, ses sourcils se rejoignaient et ses grandes mains pendaient tandis qu’il montait les marches, le souffle lent et régulier. Il montait l’escalier avec une précision quasi rituelle : il le faisait toujours de la même manière, comme s’il suivait une sorte de mode d’emploi. Lorsqu’il atteignit la dernière marche, il s’appuya sur la rambarde afin de se donner l’impulsion finale, et il se dirigea vers sa chambre qui avait vue sur la rue.

10 commentaires:

Jennifer VB a dit…

L’autre parc
Basé sur “Continuité des parcs”, de Julio Cortázar

Il arriva chez lui après avoir marché un moment dans le terrain voisin, rempli de chênes. Cet homme était grand, ses sourcils étaient unis et ses grandes mains se balançaient pendant qu’il montait les marches avec une respiration lente et régulière. Il montait l’escalier avec une précision quasi rituelle : il le faisait toujours de la même manière, comme s’il suivait un mode d’emploi. Lorsqu’il atteignit la dernière marche, il s’appuya sur la rambarde afin de prendre l’impulsion finale, puis il se dirigea vers sa chambre qui donnait sur la rue.

Tradabordo a dit…

Nom de l'auteur + pays

L’autre parc

Basé sur “Continuité des parcs”, de Julio Cortázar

Il arriva chez lui après avoir marché un moment dans le terrain voisin, rempli [pas génial ici] de chênes. Cet homme était grand, ses sourcils étaient [nécessaire ?] unis [peu clair… Sans la V.O. à côté, on ne comprend pas bien ou alors ça peut prêter à confusion] et ses grandes mains se balançaient [texte] pendant qu’[ou avec « tandis que », ici ?]il montait les marches avec une respiration [bonne idée de passer par un substantif, mais il y a mieux que « respiration »] lente et régulière. Il montait l’escalier avec une précision quasi [« presque » ? Je vous laisse trancher] rituelle : il le faisait toujours de la même manière, comme s’il suivait un [et la « una suerte » de la V.O. ?] mode d’emploi. Lorsqu’il atteignit la dernière marche, il s’appuya sur la rambarde afin de prendre [moyen… Je sais que vous essayez d'éviter la répétition avec le « donner » que vous avez après, mais ça n'est pas très réussi] l’impulsion finale, puis il [nécessaire ?] se dirigea vers sa chambre qui donnait sur la rue.

Jennifer VB a dit…

Eduardo Cerdán (Méxique)

L’autre parc

Basé sur “Continuité des parcs”, de Julio Cortázar (Argentine)

Il arriva chez lui après avoir marché un moment dans le terrain voisin, peuplé de chênes. Cet homme était grand, ses sourcils liés et ses grandes mains suspendues tandis qu’il montait les marches avec un souffle lent et régulier. Il montait l’escalier avec une précision quasi rituelle : il le faisait toujours de la même manière, comme s’il suivait une sorte de mode d’emploi. Lorsqu’il atteignit la dernière marche, il s’appuya sur la rambarde afin de donner l’impulsion finale en direction de sa chambre qui avait vue sur la rue.

Tradabordo a dit…

Eduardo Cerdán (Méxique)

L’autre parc

Basé sur “Continuité des parcs”, de Julio Cortázar (Argentine)

Il arriva chez lui après avoir marché un moment dans le terrain voisin, peuplé de chênes. Cet homme était grand, ses sourcils liés [sens ?] et ses grandes mains suspendues [FS ici] tandis qu’il montait les marches avec un [non, pas « avec un » / mal dit] souffle lent et régulier. Il montait l’escalier avec une précision quasi rituelle : il le faisait toujours de la même manière, comme s’il suivait une sorte de mode d’emploi. Lorsqu’il atteignit la dernière marche, il s’appuya sur la rambarde afin de [« se »] donner l’impulsion finale en [vous avez trop raccourci] direction de sa chambre qui avait vue sur la rue.

Jennifer VB a dit…

Eduardo Cerdán (Méxique)

L’autre parc
Basé sur “Continuité des parcs”, de Julio Cortázar (Argentine)

Il arriva chez lui après avoir marché un moment dans le terrain voisin, peuplé de chênes. Cet homme était grand, ses sourcils étaient joints et ses grandes mains restaient immobiles tandis qu’il montait les marches dans un souffle lent et régulier. Il montait l’escalier avec une précision quasi rituelle : il le faisait toujours de la même manière, comme s’il suivait une sorte de mode d’emploi. Lorsqu’il atteignit la dernière marche, il s’appuya sur la rambarde afin de se donner l’impulsion finale, il se dirigea à chambre qui avait vue sur la rue.

Tradabordo a dit…

Eduardo Cerdán (Méxique)

L’autre parc
Basé sur “Continuité des parcs”, de Julio Cortázar (Argentine)

Il arriva chez lui après avoir marché un moment dans le terrain voisin, peuplé de chênes. Cet homme était grand, ses sourcils étaient joints [« se rejoignaient »… Sinon, essayez de voir sur internet comment ça se dit / car on voit bien de quoi il s'agit ;-)] et ses grandes mains restaient immobiles [« pendaient »] tandis qu’il montait les marches dans [incorrect] un souffle lent et régulier. Il montait l’escalier avec une précision quasi rituelle : il le faisait toujours de la même manière, comme s’il suivait une sorte de mode d’emploi. Lorsqu’il atteignit la dernière marche, il s’appuya sur la rambarde afin de se donner l’impulsion finale, [« et »] il se dirigea à [incorrect] chambre qui avait vue sur la rue.

Jennifer VB a dit…

Eduardo Cerdán (Méxique)

L’autre parc
Basé sur “Continuité des parcs”, de Julio Cortázar (Argentine)

Il arriva chez lui après avoir marché un moment dans le terrain voisin, peuplé de chênes. Cet homme était grand, ses sourcils se rejoignaient et ses grandes mains pendaient tandis qu’il montait les marches d’un souffle lent et régulier. Il montait l’escalier avec une précision quasi rituelle : il le faisait toujours de la même manière, comme s’il suivait une sorte de mode d’emploi. Lorsqu’il atteignit la dernière marche, il s’appuya sur la rambarde afin de se donner l’impulsion finale, et il se dirigea vers sa chambre qui avait vue sur la rue.

Tradabordo a dit…

Eduardo Cerdán (Méxique)

L’autre parc

Basé sur “Continuité des parcs”, de Julio Cortázar (Argentine)

Il arriva chez lui après avoir marché un moment dans le terrain voisin, peuplé de chênes. Cet homme était grand, ses sourcils se rejoignaient et ses grandes mains pendaient tandis qu’il montait les marches d’un [« , le »] souffle lent et régulier. Il montait l’escalier avec une précision quasi rituelle : il le faisait toujours de la même manière, comme s’il suivait une sorte de mode d’emploi. Lorsqu’il atteignit la dernière marche, il s’appuya sur la rambarde afin de se donner l’impulsion finale, et il se dirigea vers sa chambre qui avait vue sur la rue.

Jennifer VB a dit…

Eduardo Cerdán (Méxique)

L’autre parc

Basé sur “Continuité des parcs”, de Julio Cortázar (Argentine)

Il arriva chez lui après avoir marché un moment dans le terrain voisin, peuplé de chênes. Cet homme était grand, ses sourcils se rejoignaient et ses grandes mains pendaient tandis qu’il montait les marches, le souffle lent et régulier. Il montait l’escalier avec une précision quasi rituelle : il le faisait toujours de la même manière, comme s’il suivait une sorte de mode d’emploi. Lorsqu’il atteignit la dernière marche, il s’appuya sur la rambarde afin de se donner l’impulsion finale, et il se dirigea vers sa chambre qui avait vue sur la rue.

Tradabordo a dit…

Eduardo Cerdán (Méxique)

L’autre parc

Basé sur “Continuité des parcs”, de Julio Cortázar (Argentine)

Il arriva chez lui après avoir marché un moment dans le terrain voisin, peuplé de chênes. Cet homme était grand, ses sourcils se rejoignaient et ses grandes mains pendaient tandis qu’il montait les marches, le souffle lent et régulier. Il montait l’escalier avec une précision quasi rituelle : il le faisait toujours de la même manière, comme s’il suivait une sorte de mode d’emploi. Lorsqu’il atteignit la dernière marche, il s’appuya sur la rambarde afin de se donner l’impulsion finale, et il se dirigea vers sa chambre qui avait vue sur la rue.

OK.