vendredi 16 septembre 2016

Projet Justine / Déborah / Julie – phrases 652-658

Nuestro cuerpo ha vuelto a ser el de un niño, delgado y enclenque, mientras caminamos por ese sendero que recordamos tan bien, y que conduce a una playa de arenas blancas y bañada por un mar sereno. Nuestro corazón late con la fuerza de la juventud cuando doblamos aquel último recodo y vemos su figura en la orilla, mirando hacia un Sol que se esconde en un horizonte teñido de rojo y púrpura. Ella gira su cabeza, los cabellos flotando en la brisa, su rostro hermoso sin que el tiempo hubiese dejado ninguna huella en él. Sus ojos son grandes y profundos, y en ellos, al igual que en los nuestros, sí que existe la experiencia de incontables desilusiones y esperanzas.
—Luis Javier… —dice ella. Su rostro encendido de alegría incontenible.
—Estela…

Traduction temporaire :
Tandis que nous marchons sur ce sentier dont nous nous souvenons si bien et qui mène à une plage de sable blanc, baignée par une mer calme, notre corps est redevenu celui d'un enfant, maigre et chétif. Notre cœur bat avec la force de la jeunesse quand nous passons ce dernier coude et apercevons sa silhouette sur le rivage, le regard vers un Soleil caché dans un horizon rouge et pourpre. Elle tourne la tête, ses cheveux flottant dans la brise, son beau visage que le temps n'a pas marqué. Ses yeux sont grands et profonds, et dans les siens, comme dans les nôtres, oui, il existe l'expérience d'innombrables désillusions et espoirs.
— Luis Javier…, murmure-t-elle, ses traits éclairés par une joie débordante.
— Estela…

8 commentaires:

Justine a dit…

Tandis que nous marchons sur ce sentier dont nous nous souvenons si bien et qui mène à une plage de sable blanc, baignée par une mer calme, notre corps est redevenu celui d'un enfant, maigre et chétif. Notre cœur bat avec la force de la jeunesse quand nous passons ce dernier coude et apercevons sa silhouette sur le rivage, regardant vers un Soleil qui se cache dans un horizon teinté de rouge et de pourpre. Elle tourne la tête, ses cheveux flottant dans la brise, son beau visage absolument pas marqué par le temps. Ses yeux sont grands et profonds, et dans les siens, comme dans les nôtres, oui, il existe l'expérience d'innombrables désillusions et espoirs.
— Luis Javier… prononce-t-elle, son visage éclairé par une joie débordante.
– Estela…

Tradabordo a dit…

Tiret long pour les dialogues.

Justine a dit…

Tandis que nous marchons sur ce sentier dont nous nous souvenons si bien et qui mène à une plage de sable blanc, baignée par une mer calme, notre corps est redevenu celui d'un enfant, maigre et chétif. Notre cœur bat avec la force de la jeunesse quand nous passons ce dernier coude et apercevons sa silhouette sur le rivage, regardant vers un Soleil qui se cache dans un horizon teinté de rouge et de pourpre. Elle tourne la tête, ses cheveux flottant dans la brise, son beau visage absolument pas marqué par le temps. Ses yeux sont grands et profonds, et dans les siens, comme dans les nôtres, oui, il existe l'expérience d'innombrables désillusions et espoirs.
— Luis Javier… prononce-t-elle, son visage éclairé par une joie débordante.
— Estela…

Tradabordo a dit…

Tandis que nous marchons sur ce sentier dont nous nous souvenons si bien et qui mène à une plage de sable blanc, baignée par une mer calme, notre corps est redevenu celui d'un enfant, maigre et chétif. Notre cœur bat avec la force de la jeunesse quand nous passons ce dernier coude et apercevons sa silhouette sur le rivage, regardant [« le regard » ?] vers un Soleil qui se cache [avec un adjectif ?] dans un horizon teinté de [nécessaire ?] rouge et de pourpre. Elle tourne la tête, ses cheveux flottant dans la brise, son beau visage absolument pas [mal dit] marqué par le temps. Ses yeux sont grands et profonds, et dans les siens, comme dans les nôtres, oui, il existe l'expérience d'innombrables désillusions et espoirs.
— Luis Javier… prononce-t[bof]-elle, son visage [essaie de ne pas répéter] éclairé par une joie débordante.
— Estela…

Justine a dit…

Tandis que nous marchons sur ce sentier dont nous nous souvenons si bien et qui mène à une plage de sable blanc, baignée par une mer calme, notre corps est redevenu celui d'un enfant, maigre et chétif. Notre cœur bat avec la force de la jeunesse quand nous passons ce dernier coude et apercevons sa silhouette sur le rivage, le regard vers un Soleil caché dans un horizon rouge et pourpre. Elle tourne la tête, ses cheveux flottant dans la brise, son beau visage que le temps n'a pas marqué. Ses yeux sont grands et profonds, et dans les siens, comme dans les nôtres, oui, il existe l'expérience d'innombrables désillusions et espoirs.
— Luis Javier… murmure-t-elle, les traits éclairés par une joie débordante.
— Estela…

Tradabordo a dit…

Tandis que nous marchons sur ce sentier dont nous nous souvenons si bien et qui mène à une plage de sable blanc, baignée par une mer calme, notre corps est redevenu celui d'un enfant, maigre et chétif. Notre cœur bat avec la force de la jeunesse quand nous passons ce dernier coude et apercevons sa silhouette sur le rivage, le regard vers un Soleil caché dans un horizon rouge et pourpre. Elle tourne la tête, ses cheveux flottant dans la brise, son beau visage que le temps n'a pas marqué. Ses yeux sont grands et profonds, et dans les siens, comme dans les nôtres, oui, il existe l'expérience d'innombrables désillusions et espoirs.
— Luis Javier…, murmure-t-elle, les [possessif ?] traits éclairés par une joie débordante.
— Estela…

Justine a dit…

Tandis que nous marchons sur ce sentier dont nous nous souvenons si bien et qui mène à une plage de sable blanc, baignée par une mer calme, notre corps est redevenu celui d'un enfant, maigre et chétif. Notre cœur bat avec la force de la jeunesse quand nous passons ce dernier coude et apercevons sa silhouette sur le rivage, le regard vers un Soleil caché dans un horizon rouge et pourpre. Elle tourne la tête, ses cheveux flottant dans la brise, son beau visage que le temps n'a pas marqué. Ses yeux sont grands et profonds, et dans les siens, comme dans les nôtres, oui, il existe l'expérience d'innombrables désillusions et espoirs.
— Luis Javier…, murmure-t-elle, ses traits éclairés par une joie débordante.
— Estela…

Tradabordo a dit…

Tandis que nous marchons sur ce sentier dont nous nous souvenons si bien et qui mène à une plage de sable blanc, baignée par une mer calme, notre corps est redevenu celui d'un enfant, maigre et chétif. Notre cœur bat avec la force de la jeunesse quand nous passons ce dernier coude et apercevons sa silhouette sur le rivage, le regard vers un Soleil caché dans un horizon rouge et pourpre. Elle tourne la tête, ses cheveux flottant dans la brise, son beau visage que le temps n'a pas marqué. Ses yeux sont grands et profonds, et dans les siens, comme dans les nôtres, oui, il existe l'expérience d'innombrables désillusions et espoirs.
— Luis Javier…, murmure-t-elle, ses traits éclairés par une joie débordante.
— Estela…

OK.