vendredi 9 septembre 2016

Projet Marjorie / Maïté – phrases 14-20

-No es extraño la turbación de usted; lo mismo sucede a todos; pero, perdone usted que no puedo entretenerme, y si quiere ver maravillas no deje de ir esta noche a mi casa.
En efecto, llegué a ella de los primeros, y después de aguardar cerca de dos horas, se corrió una cortina, y empezó la función por mi pregunta, que había sido la primera, después de un rato de música de pito y tamboril,
-Muchacho -dijo el charlatán-, métete dentro del diablo.
Así llamaba una cara disforme, mal pintada en un lienzo blanco, detrás del cual se metió el asqueroso muchacho.
-¿Estás ya listo?
-Sí, señor, ya estoy dentro.
-Vamos, pues; dime lo que ves; prosiguió el maestro, a guisa de magnetizador.

Traduction temporaire :
— Votre confusion n’est pas surprenante. Cela nous arrive à tous. Mais, pardonnez-moi, je ne peux m’attarder. Si vous voulez voir des merveilles, n’oubliez pas de venir chez moi ce soir.
En effet, je m’y suis rendu, j’étais dans les premiers, et après avoir attendu près de deux heures, le rideau s’ouvrit et le spectacle commença avec ma question, après une pause musicale de flûte et de tambourin.
— Gamin, dit le charlatan, mets-toi dans la peau du diable.
Voilà comment il nommait un visage difforme, mal peint sur une toile blanche derrière laquelle ce gosse repoussant se glissa.
— Bon, tu es prêt ?
— Oui, monsieur, je suis dedans.
— Alors on y va, décris-moi ce que tu vois, continua le maître, à la façon d’un magnétiseur.

12 commentaires:

Maymay a dit…

— Votre confusion n’est pas surprenante; cela nous arrive à tous ; mais, pardonnez-moi, je ne peux m’attarder sur votre cas et si vous voulez voir des merveilles, n’oubliez pas de venir chez moi ce soir.
En effet, je m’y suis rendu, j’étais dans les premiers et après avoir attendu près de deux heures, le rideau se leva et le spectacle commença avec ma question qui avait été la première, à la suite d’une pause musicale faite de sifflements et de tambourin.
— Gamin - dit le charlatan -, mets-toi dans la peau du diable
C’est ainsi qu’il nommait un visage difforme, mal peint sur une toile blanche derrière laquelle se glissa le repoussant gamin.
— C’est bon, tu es prêt?
— Oui, monsieur, je suis dedans.
— Alors c’est parti, dis-moi ce que tu vois ; continua le maître, en faisant le magnétiseur.

Maïté

Tradabordo a dit…

Rétablis tes espaces.

Maymay a dit…

— Votre confusion n’est pas surprenante; cela nous arrive à tous ; mais, pardonnez-moi, je ne peux m’attarder sur votre cas et si vous voulez voir des merveilles, n’oubliez pas de venir chez moi ce soir.
En effet, je m’y suis rendu, j’étais dans les premiers et après avoir attendu près de deux heures, le rideau se leva et le spectacle commença avec ma question qui avait été la première, à la suite d’une pause musicale faite de sifflements et de tambourin.
— Gamin - dit le charlatan -, mets-toi dans la peau du diable
C’est ainsi qu’il nommait un visage difforme, mal peint sur une toile blanche derrière laquelle se glissa le repoussant gamin.
— C’est bon, tu es prêt ?
— Oui, monsieur, je suis dedans.
— Alors c’est parti, dis-moi ce que tu vois ; continua le maître, en faisant le magnétiseur.

Maïté

je ne comprends pas, sur mon fichier, je ne vois pas de problèmes avec les espaces :S

Tradabordo a dit…

espace avant les ;

Maymay a dit…

— Votre confusion n’est pas surprenante ; cela nous arrive à tous ; mais, pardonnez-moi, je ne peux m’attarder sur votre cas et si vous voulez voir des merveilles, n’oubliez pas de venir chez moi ce soir.
En effet, je m’y suis rendu, j’étais dans les premiers et après avoir attendu près de deux heures, le rideau se leva et le spectacle commença avec ma question qui avait été la première, à la suite d’une pause musicale faite de sifflements et de tambourin.
— Gamin - dit le charlatan -, mets-toi dans la peau du diable
C’est ainsi qu’il nommait un visage difforme, mal peint sur une toile blanche derrière laquelle se glissa le repoussant gamin.
— C’est bon, tu es prêt ?
— Oui, monsieur, je suis dedans.
— Alors c’est parti, dis-moi ce que tu vois ; continua le maître, en faisant le magnétiseur.

Maïté

Tradabordo a dit…

— Votre confusion n’est pas surprenante ; [plutôt pas de ; dans les dialogues] cela nous arrive à tous ; [idem] mais, pardonnez-moi, je ne peux m’attarder sur votre cas [ajout nécessaire ?] et [point ?] si vous voulez voir des merveilles, n’oubliez pas de venir chez moi ce soir.
En effet, je m’y suis rendu, j’étais dans les premiers [virgule] et après avoir attendu près de deux heures, le rideau se leva [FS ?] et le spectacle commença avec ma question qui avait été la première [un moyen de ne pas répéter ?], à la suite d’une pause musicale faite de sifflements [sûre ?] et de tambourin.
— Gamin - [supprime + virgule à la place] dit le charlatan - [supprime], mets-toi dans la peau du diable [point !]
C’est [fais sans] ainsi qu’il nommait un visage difforme, mal peint sur une toile blanche derrière laquelle se glissa le repoussant gamin [syntaxe].
— C’est [attention de ne pas les multiplier] bon, tu es prêt ?
— Oui, monsieur, je suis dedans.
— Alors c’est [X3] parti, dis [tu en as déjà un avant ; donc, change l'un des deux]-moi ce que tu vois ; [virgule] continua le maître, en faisant le [bof] magnétiseur.

Maymay a dit…

— Votre confusion n’est pas surprenante. Cela nous arrive à tous. Mais, pardonnez-moi, je ne peux m’attarder. Si vous voulez voir des merveilles, n’oubliez pas de venir chez moi ce soir.
En effet, je m’y suis rendu, j’étais dans les premiers, et après avoir attendu près de deux heures, le rideau s’ouvra et le spectacle commença avec ma question initiale, après une pause musicale de flûte et de tambourin.
— Gamin, dit le charlatan, mets-toi dans la peau du diable.
Voilà comment il nommait un visage difforme, mal peint sur une toile blanche derrière laquelle le repoussant gamin se glissa.
— Bon, tu es prêt ?
— Oui, monsieur, je suis dedans.
— Alors on y va, indique-moi ce que tu vois, continua le maître, en guise de magnétiseur.


Maïté

pd: pour se mettre dans l'ambiance, musique traditionnelle : pito y tamboril en Sevilla !!! !!https://www.youtube.com/watch?v=Ftk014BN3Dk&list=PL-h3MEmGKlWFggIk05nwyj_NBAVm4Dzvx
donc il s'agit bien d'une flûte et d'un tambourin, et apparement, le sens serait le même au Mexique, dans le chiapas, il y a une danse traditionnelle avec les mêmes instruments enfin c'est pas vraiment une flûte mais Ça y ressemble ... en franÇais, je ne vois pas d'autres traductions possibles :S je pense que si on veut traduire, le mieux c'est de laisser flûte sans préciser de quel type de flûte il s'agit car sans connaitre l'auteur ou un portoricain pour nous éclairer sur ce qu'il entend par "pito" qui d'ailleurs a de nombreux sens, Ça devient compliquer ! j'attends tes commentaires sur le sujet. les traductions en chair et en os comme on faisait à Poitiers me manquent :(

Tradabordo a dit…

— Votre confusion n’est pas surprenante. Cela nous arrive à tous. Mais, pardonnez-moi, je ne peux m’attarder. Si vous voulez voir des merveilles, n’oubliez pas de venir chez moi ce soir.
En effet, je m’y suis rendu, j’étais dans les premiers, et après avoir attendu près de deux heures, le rideau s’ouvra [grammaire] et le spectacle commença avec ma question initiale [supprime / de toute façon, je pense qu'avec « commença », c'est assez clair], après une pause musicale de flûte et de tambourin.
— Gamin, dit le charlatan, mets-toi dans la peau du diable.
Voilà comment il nommait un visage difforme, mal peint sur une toile blanche derrière laquelle le repoussant gamin [syntaxe] se glissa.
— Bon, tu es prêt ?
— Oui, monsieur, je suis dedans.
— Alors on y va, indique[« décris » ?]-moi ce que tu vois, continua le maître, en guise de [ça ne va pas…] magnétiseur.

Maymay a dit…

— Votre confusion n’est pas surprenante. Cela nous arrive à tous. Mais, pardonnez-moi, je ne peux m’attarder. Si vous voulez voir des merveilles, n’oubliez pas de venir chez moi ce soir.
En effet, je m’y suis rendu, j’étais dans les premiers, et après avoir attendu près de deux heures, le rideau s’ouvrit et le spectacle commença avec ma question, après une pause musicale de flûte et de tambourin.
— Gamin, dit le charlatan, mets-toi dans la peau du diable.
Voilà comment il nommait un visage difforme, mal peint sur une toile blanche derrière laquelle ce gamin repoussant se glissa.
— Bon, tu es prêt ?
— Oui, monsieur, je suis dedans.
— Alors on y va, décris-moi ce que tu vois, continua le maître, à la façon d’un magnétiseur.

Maïté

Tradabordo a dit…

— Votre confusion n’est pas surprenante. Cela nous arrive à tous. Mais, pardonnez-moi, je ne peux m’attarder. Si vous voulez voir des merveilles, n’oubliez pas de venir chez moi ce soir.
En effet, je m’y suis rendu, j’étais dans les premiers, et après avoir attendu près de deux heures, le rideau s’ouvrit et le spectacle commença avec ma question, après une pause musicale de flûte et de tambourin.
— Gamin, dit le charlatan, mets-toi dans la peau du diable.
Voilà comment il nommait un visage difforme, mal peint sur une toile blanche derrière laquelle ce gamin [au fait, essaie de ne pas répéter « gamin »] repoussant se glissa.
— Bon, tu es prêt ?
— Oui, monsieur, je suis dedans.
— Alors on y va, décris-moi ce que tu vois, continua le maître, à la façon d’un magnétiseur.

Maymay a dit…

— Votre confusion n’est pas surprenante. Cela nous arrive à tous. Mais, pardonnez-moi, je ne peux m’attarder. Si vous voulez voir des merveilles, n’oubliez pas de venir chez moi ce soir.
En effet, je m’y suis rendu, j’étais dans les premiers, et après avoir attendu près de deux heures, le rideau s’ouvrit et le spectacle commença avec ma question, après une pause musicale de flûte et de tambourin.
— Gamin, dit le charlatan, mets-toi dans la peau du diable.
Voilà comment il nommait un visage difforme, mal peint sur une toile blanche derrière laquelle ce gosse repoussant se glissa.
— Bon, tu es prêt ?
— Oui, monsieur, je suis dedans.
— Alors on y va, décris-moi ce que tu vois, continua le maître, à la façon d’un magnétiseur.

Maïté

Tradabordo a dit…

— Votre confusion n’est pas surprenante. Cela nous arrive à tous. Mais, pardonnez-moi, je ne peux m’attarder. Si vous voulez voir des merveilles, n’oubliez pas de venir chez moi ce soir.
En effet, je m’y suis rendu, j’étais dans les premiers, et après avoir attendu près de deux heures, le rideau s’ouvrit et le spectacle commença avec ma question, après une pause musicale de flûte et de tambourin.
— Gamin, dit le charlatan, mets-toi dans la peau du diable.
Voilà comment il nommait un visage difforme, mal peint sur une toile blanche derrière laquelle ce gosse repoussant se glissa.
— Bon, tu es prêt ?
— Oui, monsieur, je suis dedans.
— Alors on y va, décris-moi ce que tu vois, continua le maître, à la façon d’un magnétiseur.

OK.