vendredi 30 septembre 2016

Projet Sabrina / Hadjer – phrases 204-210

— Nos citamos por el blog, respondió David. Fuimos a tomar café en el bar del cine Ocho y Medio, en La Floresta. Juro que cuando su hijo sonreía, no podía pensar en otra cosa que en su sonrisa cortada y repleta de sangre. Luego, por insistencia mía, fuimos a mi despacho, quería indicarle la novela de Bill Denbrough que pensaba reescribir. Su hijo se tendió en el diván, acariciaba el lomo del libro con ternura y reía como un niño, nunca había visto un ejemplar de la primera edición de IT. Al verlo así recordé la parte de la novela de Denbrough que trata sobre “la sonrisa del payaso”. Y las voces regresaron: “córtame, córtame, córtame”, decían.

Traduction temporaire :
— On s’est donné rendez-vous sur le blog, poursuivit David. Nous sommes allés prendre un café au bar du ciné Ocho y medio, à La Floresta. Je vous promets que lorsque votre fils souriait, je ne pouvais penser à autre chose qu’à son sourire tailladé et dégoulinant de sang. Puis j’ai insisté pour que nous nous rendions à mon bureau. Je voulais lui montrer le roman de Bill Denbrough qu’il avait en tête de réécrire. Votre fils s’est étendu sur le divan. Il caressait le dos du livre avec tendresse et riait comme un enfant. Il n’avait jamais vu d’exemplaire de la première édition de Ça. En le voyant ainsi, je me suis souvenu de la partie du roman de Denbrough sur « le sourire du clown ». Et les voix sont alors revenues. « Taillade-moi, taillade-moi, taillade-moi », répétaient-elles.

4 commentaires:

Sabrina a dit…

— On s’est donné rendez-vous sur le blog, poursuivit David. Nous sommes allés prendre un café au bar du cine Ocho y medio, à La Floresta. Je vous promets que lorsque votre fils souriait, je ne pouvais penser à autre chose qu’à son sourire tailladé et gorgé de sang. Puis j’ai insisté pour que nous nous rendions à mon bureau. Je voulais lui montrer le roman de Bill Denbrough qu’il pensait réécrire. Votre fils s’est étendu sur le divan. Il caressait le dos du livre avec tendresse et riait comme un enfant. Il n’avait jamais vu d’exemplaire de la première édition de Ça. En le voyant ainsi, je me suis souvenu de la partie du roman de Denbrough sur « le sourire du clown ». Et les voix sont alors revenues. « Taillade-moi, taillade-moi, taillade-moi », répétaient-elles.

Tradabordo a dit…

— On s’est donné rendez-vous sur le blog, poursuivit David. Nous sommes allés prendre un café au bar du cine [c'est quoi, le cine ?] Ocho y medio, à La Floresta. Je vous promets que lorsque votre fils souriait, je ne pouvais penser à autre chose qu’à son sourire tailladé et gorgé [« dégoulinant » ?] de sang. Puis j’ai insisté pour que nous nous rendions à mon bureau. Je voulais lui montrer le roman de Bill Denbrough qu’il pensait [« avait en tête » ? Comme tu préfères] réécrire. Votre fils s’est étendu sur le divan. Il caressait le dos du livre avec tendresse et riait comme un enfant. Il n’avait jamais vu d’exemplaire de la première édition de Ça. En le voyant ainsi, je me suis souvenu de la partie du roman de Denbrough sur « le sourire du clown ». Et les voix sont alors revenues. « Taillade-moi, taillade-moi, taillade-moi », répétaient-elles.

Sabrina a dit…

Ah oui, c'est 1000 fois mieux "dégoulinant" ! Merci :). Je penserai à le remettre partout où j'ai mis "gorgé".
Et très bien aussi pour "avait en tête" :)

— On s’est donné rendez-vous sur le blog, poursuivit David. Nous sommes allés prendre un café au bar du ciné Ocho y medio, à La Floresta. Je vous promets que lorsque votre fils souriait, je ne pouvais penser à autre chose qu’à son sourire tailladé et dégoulinant de sang. Puis j’ai insisté pour que nous nous rendions à mon bureau. Je voulais lui montrer le roman de Bill Denbrough qu’il avait en tête de réécrire. Votre fils s’est étendu sur le divan. Il caressait le dos du livre avec tendresse et riait comme un enfant. Il n’avait jamais vu d’exemplaire de la première édition de Ça. En le voyant ainsi, je me suis souvenu de la partie du roman de Denbrough sur « le sourire du clown ». Et les voix sont alors revenues. « Taillade-moi, taillade-moi, taillade-moi », répétaient-elles.

Tradabordo a dit…

— On s’est donné rendez-vous sur le blog, poursuivit David. Nous sommes allés prendre un café au bar du ciné Ocho y medio, à La Floresta. Je vous promets que lorsque votre fils souriait, je ne pouvais penser à autre chose qu’à son sourire tailladé et dégoulinant de sang. Puis j’ai insisté pour que nous nous rendions à mon bureau. Je voulais lui montrer le roman de Bill Denbrough qu’il avait en tête de réécrire. Votre fils s’est étendu sur le divan. Il caressait le dos du livre avec tendresse et riait comme un enfant. Il n’avait jamais vu d’exemplaire de la première édition de Ça. En le voyant ainsi, je me suis souvenu de la partie du roman de Denbrough sur « le sourire du clown ». Et les voix sont alors revenues. « Taillade-moi, taillade-moi, taillade-moi », répétaient-elles.

OK.