samedi 24 septembre 2016

Projet Sonita / Alexia – phrases 158-164

De antemano hay que decir que todo salió mal. O que salió como salen las cosas que no tienen profundidad ni sentido.
No nos dio tiempo a limpiar el hangar pero metimos en él una mesa larga, un montón de sillas y de carteles, una expendedora de dulces y bebidas, potecitos de pastillas diversas, grabadoras, cámaras, micrófonos, maniquíes, juegos de luces, etc.
Stephen King fue el primer día, saludó a todos, habló de todo, autografió hasta libros que no eran suyos (uno de Harold Bloom, recuerdo) y no volvió a aparecer por el hangar hasta el último día.
Pero aquello siguió andando. Y yo no pude ser el anfitrión real de King durante aquella semana (por las noches iba a buscarlo al Free Havana y siempre estaba durmiendo o no estaba) porque todos los participantes, incluso los extranjeros, veían en mí a un supuesto coordinador en jefe.
Hubo lecturas.

Traduction temporaire :
D'emblée, il faut dire que tout est allé de travers. Ou que ça s’est passé de la manière dont se passent les choses qui n’ont pas de profondeur ni de sens.
On n’avait pas eu le temps de nettoyer le hangar, on y avait juste installé une longue table, un tas de chaises et de posters, un distributeur de friandises et boissons, des petits tubes de comprimés variés, des enregistreurs, des appareils photo, des mannequins, des jeux de lumière, etc.
Stephen King n'a montré son nez que le premier jour, a salué chacune des personnes présentes, a parlé de tout et de rien, a même signé des autographes de livres qui n’étaient pas à lui (l’un était de Harold Bloom, je m’en souviens) et n'est réapparu au hangar que le dernier jour.
Mais l’événement a suivi son cours. Je n’ai pas pu être véritablement un amphitryon pour King durant cette semaine-là (les soirs, j’allais le chercher au Free Havana et, soit il était toujours en train de dormir, soit il n’y était pas) parce que tous les participants, même les étrangers voyaient en moi un supposé coordinateur en chef.

13 commentaires:

Sonita a dit…

Tout d'abord, il faut dire que tout est allé de travers. Ou que ça s’est passé de la manière dont se passent les choses qui n’ont pas de profondeur ni aucun sens.
On n’a pas eu le temps de nettoyer le hangar, mais on y a mis une longue table, un tas de chaises et de posters, un distributeur de friandises et boissons, des petits tubes de comprimés variés, des enregistreurs, des appareils photo, des mannequins, des jeux de lumière, etc.
Stephen King s’y est présenté le premier jour, a salué tout le monde, a parlé de tout, a même autographié des livres qui n’étaient pas à lui (l’un d’eux était de Harold Bloom, je m’en souviens) et n'est réapparu dans le hangar que le dernier jour.
Mais l’évènement a suivi son cours. Je n’ai pas pu être le véritable hôte de King durant cette semaine-là. Les soirs, j’allais le chercher au Free Havana et, soit il était toujours en train de dormir, soit il n’y était pas, parce que tous les participants, même les étrangers voyaient en moi un supposé coordinateur en chef.
Il y a eu des lectures.

Sonita a dit…

et moi, et moi ?

Tradabordo a dit…

Tout d'abord [passe par « d'emblée » et mets-le après], il faut dire que tout est allé de travers. Ou que ça s’est passé de la manière dont se passent les choses qui n’ont pas de profondeur ni aucun [texte ?] sens.
On n’a pas eu [ou au PQP ? J'hésite… Ton avis, par rapport à ce qui précède et à ce qui suit ?] le temps de nettoyer le hangar, mais on y a mis une longue table, un tas de chaises et de posters, un distributeur de friandises et boissons, des petits tubes de comprimés variés, des enregistreurs, des appareils photo, des mannequins, des jeux de lumière, etc.
Stephen King s’y est présenté le premier jour, a salué tout le monde, a parlé de tout, a même autographié des livres qui n’étaient pas à lui (l’un d’eux était de Harold Bloom, je m’en souviens) et n'est réapparu dans le hangar que le dernier jour.
Mais l’évènement a suivi son cours. Je n’ai pas pu être le véritable hôte de King durant cette semaine-là. Les soirs, j’allais le chercher au Free Havana et, soit il était toujours en train de dormir, soit il n’y était pas, parce que tous les participants, même les étrangers voyaient en moi un supposé coordinateur en chef.

Sonita a dit…

Il faut dire que tout est allé de travers, d'emblée. Ou que ça s’est passé de la manière dont se passent les choses qui n’ont pas de profondeur ni de sens.
On n’avait pas eu le temps de nettoyer le hangar, mais on y avait mis une longue table, un tas de chaises et de posters, un distributeur de friandises et boissons, des petits tubes de comprimés variés, des enregistreurs, des appareils photo, des mannequins, des jeux de lumière, etc.
Stephen King s’y est présenté le premier jour, a salué tout le monde, a parlé de tout, a même autographié des livres qui n’étaient pas à lui (l’un d’eux était de Harold Bloom, je m’en souviens) et n'est réapparu dans le hangar que le dernier jour.
Mais l’évènement a suivi son cours. Je n’avais pas pu être le véritable hôte de King durant cette semaine-là. Les soirs, j’allais le chercher au Free Havana et, soit il était toujours en train de dormir, soit il n’y était pas, parce que tous les participants, même les étrangers voyaient en moi un supposé coordinateur en chef.

Tradabordo a dit…

Il faut dire que tout est allé de travers, d'emblée [mets-le avant]. Ou que ça s’est passé de la manière dont se passent les choses qui n’ont pas de profondeur ni de sens.
On n’avait pas eu le temps de nettoyer le hangar, mais on y avait mis [« on y avait juste », sans le « mais »] [« mis » n'est pas super… avec certains éléments de l'énumération, ça ne marche pas très bien] une longue table, un tas de chaises et de posters, un distributeur de friandises et boissons, des petits tubes de comprimés variés, des enregistreurs, des appareils photo, des mannequins, des jeux de lumière, etc.
Stephen King s’y est présenté [bof] le premier jour, a salué tout le monde, a parlé de tout [tu viens de le mettre], a même autographié [mal dit] des livres qui n’étaient pas à lui (l’un d’eux [nécessaire ?] était de Harold Bloom, je m’en souviens) et n'est réapparu dans le hangar que le dernier jour.
Mais l’évènement [avec deux accents aigus] a suivi son cours. Je n’avais pas pu [temps ?] être le véritable hôte de King durant cette semaine-là. Les [entre parenthèses en V.O.] soirs, j’allais le chercher au Free Havana et, soit il était toujours en train de dormir, soit il n’y était pas, parce que tous les participants, même les étrangers voyaient en moi un supposé coordinateur en chef.

Sonita a dit…

D'emblée, il faut dire que tout est allé de travers. Ou que ça s’est passé de la manière dont se passent les choses qui n’ont pas de profondeur ni de sens.
On n’avait pas eu le temps de nettoyer le hangar, on y avait installé une longue table, un tas de chaises et de posters, un distributeur de friandises et boissons, des petits tubes de comprimés variés, des enregistreurs, des appareils photo, des mannequins, des jeux de lumière, etc.
Stephen King y est allé [J'avais voulu éviter la répétition d'"aller" qu'on a juste avant. Je pense aussi à "se pointer", mais je ne suis pas sûre qu'on puisse utiliser ce registre de langue, ici...] le premier jour, a salué tout le monde, a parlé de chaque chose, a même donné des autographes de livres qui n’étaient pas à lui (l’un était de Harold Bloom, je m’en souviens) et n'est réapparu dans le hangar que le dernier jour.
Mais l’événement a suivi son cours. Je n’ai pas pu être le véritable hôte de King durant cette semaine-là (les soirs, j’allais le chercher au Free Havana et, soit il était toujours en train de dormir, soit il n’y était pas) parce que tous les participants, même les étrangers voyaient en moi un supposé coordinateur en chef.

Tradabordo a dit…

D'emblée, il faut dire que tout est allé de travers. Ou que ça s’est passé de la manière dont se passent les choses qui n’ont pas de profondeur ni de sens.
On n’avait pas eu le temps de nettoyer le hangar, on y avait [cheville : « juste » ?] installé une longue table, un tas de chaises et de posters, un distributeur de friandises et boissons, des petits tubes de comprimés variés, des enregistreurs, des appareils photo, des mannequins, des jeux de lumière, etc.
Stephen King y est allé [J'avais voulu éviter la répétition d'"aller" qu'on a juste avant. Je pense aussi à "se pointer", mais je ne suis pas sûre qu'on puisse utiliser ce registre de langue, ici... // « n'a montré son nez »] le premier jour, a salué tout le monde, a parlé de chaque chose [?], a même donné [pas le bon verbe] des autographes de livres qui n’étaient pas à lui (l’un était de Harold Bloom, je m’en souviens) et n'est réapparu dans le [non] hangar que le dernier jour.
Mais l’événement a suivi son cours. Je n’ai pas pu être le véritable hôte [mal dit] de King durant cette semaine-là (les soirs, j’allais le chercher au Free Havana et, soit il était toujours en train de dormir, soit il n’y était pas) parce que tous les participants, même les étrangers voyaient en moi un supposé coordinateur en chef.

Sonita a dit…

D'emblée, il faut dire que tout est allé de travers. Ou que ça s’est passé de la manière dont se passent les choses qui n’ont pas de profondeur ni de sens.
On n’avait pas eu le temps de nettoyer le hangar, on y avait juste installé une longue table, un tas de chaises et de posters, un distributeur de friandises et boissons, des petits tubes de comprimés variés, des enregistreurs, des appareils photo, des mannequins, des jeux de lumière, etc.
Stephen King n'a montré son nez que le premier jour, a salué chacune des personnes présentes, a parlé de tout, a même signé des autographes de livres qui n’étaient pas à lui (l’un était de Harold Bloom, je m’en souviens) et n'est réapparu au hangar que le dernier jour.
Mais l’événement a suivi son cours. Je n’ai pas pu être le véritable amphitryon de King durant cette semaine-là (les soirs, j’allais le chercher au Free Havana et, soit il était toujours en train de dormir, soit il n’y était pas) parce que tous les participants, même les étrangers voyaient en moi un supposé coordinateur en chef.

Tradabordo a dit…

D'emblée, il faut dire que tout est allé de travers. Ou que ça s’est passé de la manière dont se passent les choses qui n’ont pas de profondeur ni de sens.
On n’avait pas eu le temps de nettoyer le hangar, on y avait juste installé une longue table, un tas de chaises et de posters, un distributeur de friandises et boissons, des petits tubes de comprimés variés, des enregistreurs, des appareils photo, des mannequins, des jeux de lumière, etc.
Stephen King n'a montré son nez que le premier jour, a salué chacune des personnes présentes, a parlé de tout [cheville : « et de rien »], a même signé des autographes de livres qui n’étaient pas à lui (l’un était de Harold Bloom, je m’en souviens) et n'est réapparu au hangar que le dernier jour.
Mais l’événement a suivi son cours. Je n’ai pas pu être le véritable [passe par l'adverbe ; je pense que ce sera mieux] amphitryon de King durant cette semaine-là (les soirs, j’allais le chercher au Free Havana et, soit il était toujours en train de dormir, soit il n’y était pas) parce que tous les participants, même les étrangers voyaient en moi un supposé coordinateur en chef.

Sonita a dit…

D'emblée, il faut dire que tout est allé de travers. Ou que ça s’est passé de la manière dont se passent les choses qui n’ont pas de profondeur ni de sens.
On n’avait pas eu le temps de nettoyer le hangar, on y avait juste installé une longue table, un tas de chaises et de posters, un distributeur de friandises et boissons, des petits tubes de comprimés variés, des enregistreurs, des appareils photo, des mannequins, des jeux de lumière, etc.
Stephen King n'a montré son nez que le premier jour, a salué chacune des personnes présentes, a parlé de tout et de rien, a même signé des autographes de livres qui n’étaient pas à lui (l’un était de Harold Bloom, je m’en souviens) et n'est réapparu au hangar que le dernier jour.
Mais l’événement a suivi son cours. Je n’ai pas pu être véritablement l'amphitryon de King durant cette semaine-là (les soirs, j’allais le chercher au Free Havana et, soit il était toujours en train de dormir, soit il n’y était pas) parce que tous les participants, même les étrangers voyaient en moi un supposé coordinateur en chef.

Tradabordo a dit…

D'emblée, il faut dire que tout est allé de travers. Ou que ça s’est passé de la manière dont se passent les choses qui n’ont pas de profondeur ni de sens.
On n’avait pas eu le temps de nettoyer le hangar, on y avait juste installé une longue table, un tas de chaises et de posters, un distributeur de friandises et boissons, des petits tubes de comprimés variés, des enregistreurs, des appareils photo, des mannequins, des jeux de lumière, etc.
Stephen King n'a montré son nez que le premier jour, a salué chacune des personnes présentes, a parlé de tout et de rien, a même signé des autographes de livres qui n’étaient pas à lui (l’un était de Harold Bloom, je m’en souviens) et n'est réapparu au hangar que le dernier jour.
Mais l’événement a suivi son cours. Je n’ai pas pu être véritablement l'amphitryon de [un amp… pour… ] King durant cette semaine-là (les soirs, j’allais le chercher au Free Havana et, soit il était toujours en train de dormir, soit il n’y était pas) parce que tous les participants, même les étrangers voyaient en moi un supposé coordinateur en chef.

Sonita a dit…

D'emblée, il faut dire que tout est allé de travers. Ou que ça s’est passé de la manière dont se passent les choses qui n’ont pas de profondeur ni de sens.
On n’avait pas eu le temps de nettoyer le hangar, on y avait juste installé une longue table, un tas de chaises et de posters, un distributeur de friandises et boissons, des petits tubes de comprimés variés, des enregistreurs, des appareils photo, des mannequins, des jeux de lumière, etc.
Stephen King n'a montré son nez que le premier jour, a salué chacune des personnes présentes, a parlé de tout et de rien, a même signé des autographes de livres qui n’étaient pas à lui (l’un était de Harold Bloom, je m’en souviens) et n'est réapparu au hangar que le dernier jour.
Mais l’événement a suivi son cours. Je n’ai pas pu être véritablement un amphitryon pour King durant cette semaine-là (les soirs, j’allais le chercher au Free Havana et, soit il était toujours en train de dormir, soit il n’y était pas) parce que tous les participants, même les étrangers voyaient en moi un supposé coordinateur en chef.

Tradabordo a dit…

D'emblée, il faut dire que tout est allé de travers. Ou que ça s’est passé de la manière dont se passent les choses qui n’ont pas de profondeur ni de sens.
On n’avait pas eu le temps de nettoyer le hangar, on y avait juste installé une longue table, un tas de chaises et de posters, un distributeur de friandises et boissons, des petits tubes de comprimés variés, des enregistreurs, des appareils photo, des mannequins, des jeux de lumière, etc.
Stephen King n'a montré son nez que le premier jour, a salué chacune des personnes présentes, a parlé de tout et de rien, a même signé des autographes de livres qui n’étaient pas à lui (l’un était de Harold Bloom, je m’en souviens) et n'est réapparu au hangar que le dernier jour.
Mais l’événement a suivi son cours. Je n’ai pas pu être véritablement un amphitryon pour King durant cette semaine-là (les soirs, j’allais le chercher au Free Havana et, soit il était toujours en train de dormir, soit il n’y était pas) parce que tous les participants, même les étrangers voyaient en moi un supposé coordinateur en chef.

OK.