Derrumbada la ilusión de un país distinto, los peruanos que llegamos después nos repartimos por el mundo para encontrar otras tierras, otros horizontes, donde poder formular, tímidamente, el sueño que gente como esos dos peruanos se dedicó, de un modo o de otro, a despilfarrar.
Traduction temporaire :
L'illusion de construire un pays différent anéantie, nous, les Péruviens qui sommes venus après, nous nous sommes dispersés de par le monde pour trouver d’autres terres, d’autres horizons, où formuler, timidement, le rêve que des personnes tels ces deux Péruviens se sont évertués à détruire d’une façon ou d’une autre.
L'illusion de construire un pays différent anéantie, nous, les Péruviens qui sommes venus après, nous nous sommes dispersés de par le monde pour trouver d’autres terres, d’autres horizons, où formuler, timidement, le rêve que des personnes tels ces deux Péruviens se sont évertués à détruire d’une façon ou d’une autre.
21 commentaires:
Une fois l’illusion d’un pays différent abattue, les péruviens qui sommes arrivés après, nous sommes dispersés pour trouver d’autres terres, d’autres horizons, où l’on pourrait formuler, timidement, le rêve que des personnes comme ces deux péruviens, se sont attachées, d’une manière ou d’une autre, à gaspiller.
« Une fois l’illusion d’un pays différent abattue » ; maladroit + « abattue » ne va pas du tout.
LES Péruviens = MAJUSCULE !!!!
« les péruviens qui sommes arrivés après, » ; à reprendre pour justifier « les Péruviens » + « nous ».
« por el mundo » ???????
« où l’on pourrait formuler, » ; plus près de la V.O.
Reprends la fin…
Anéantie l'illusion d'un pays différent, nous les Péruviens qui sommes arrivés après, nous sommes dispersés à travers le monde pour trouver d’autres terres, d’autres horizons, où l’on formulerait, timidement, le rêve que des gens comme ces deux Péruviens, se sont adonnés, d’une manière ou d’une autre, à dilapider.
Quand il n'y a plus eu d'illusions à se faire sur un pays différent, nous, les Péruviens qui sommes arrivés après, nous nous sommes dispersés à travers le monde pour trouver d’autres terres, d’autres horizons, où pouvoir formuler, timidement, le rêve que des personnes tels ces deux Péruviens, se sont attachées, d’une manière ou d’une autre, à gaspiller.
« Anéantie l'illusion d'un pays différent, » ; tu ne peux pas construire comme ça en français.
Justine,
Nos commentaires se sont croisés… mais ton amorce est aussi à reprendre car tu t'es trop éloignée de la V.O.
Lorsque le l'illusion d'un pays différent a été anéantie, nous, les Péruviens qui sommes arrivés après, nous nous sommes dispersés à travers le monde pour trouver d’autres terres, d’autres horizons, où on formulerait, timidement, le rêve que des personnes comme ces deux Péruviens, se sont attachées, d’une manière ou d’une autre, à gaspiller.
L'illusion d'un pays différent anéantie, nous, les Péruviens qui sommes arrivés après, nous nous sommes dispersés à travers le monde pour trouver d’autres terres, d’autres horizons, où pouvoir formuler, timidement, le rêve que des personnes tels ces deux Péruviens, se sont attachées, d’une manière ou d’une autre, à gaspiller.
L'illusion d' [une cheville ici ; peut-être un verbe…] un pays différent anéantie, nous, les Péruviens qui sommes arrivés [je ne pense pas que ce verbe soit adapté] après, nous nous sommes dispersés à travers [de par ?] le monde pour trouver d’autres terres, d’autres horizons, où pouvoir [à supprimer] formuler, timidement, le rêve que des personnes tels ces deux Péruviens, se sont attachées [« attachées » ne va pas du tout], d’une manière ou d’une autre, à gaspiller [pour un rêve… Peu adapté].
L'illusion d'avoir un pays différent anéantie, nous, les Péruviens qui sommes venus après, nous nous sommes dispersés de par le monde pour trouver d’autres terres, d’autres horizons, où formuler, timidement, le rêve que des personnes tels ces deux Péruviens, se sont adonnés d’une façon ou d’une autre, à détruire.
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On a déjà "d'une manière ou d'une autre",à la phrase 54 ; j'ai changé à "d'une façon ou d'une autre".
L'illusion d'avoir [ou « construire » ?] un pays différent anéantie, nous, les Péruviens qui sommes venus après, nous nous sommes dispersés de par le monde pour trouver d’autres terres, d’autres horizons, où formuler, timidement, le rêve que des personnes tels ces deux Péruviens se sont adonnés [ça ne va pas… Je t'aide : « évertués »] d’une façon ou d’une autre [place-le à la fin de la phrase], à détruire.
L'illusion de devenir un pays différent anéantie, nous, les Péruviens qui sommes venus après, nous nous sommes dispersés de par le monde pour trouver d’autres terres, d’autres horizons, où formuler, timidement, le rêve que des personnes tels ces deux Péruviens, se sont chargées, d’une manière ou d’une autre, de briser.
L'illusion de construire un pays différent anéantie, nous, les Péruviens qui sommes venus après, nous nous sommes dispersés de par le monde pour trouver d’autres terres, d’autres horizons, où formuler, timidement, le rêve que des personnes tels ces deux Péruviens se sont évertués à détruire d’une façon ou d’une autre.
« devenir » ou « construire » ? Je vous laisse trancher.
Pour moi, c'est bon "construire".
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L'illusion de construire un pays différent anéantie, nous, les Péruviens qui sommes venus après, nous nous sommes dispersés de par le monde pour trouver d’autres terres, d’autres horizons, où formuler, timidement, le rêve que des personnes tels ces deux Péruviens se sont évertués à détruire d’une façon ou d’une autre.
Justine, tu préfères quoi ?
J'aurais choisi « devenir », car ils espéraient faire évoluer leur pays, mais OK pour « construire » :
L'illusion de construire un pays différent anéantie, nous, les Péruviens qui sommes venus après, nous nous sommes dispersés de par le monde pour trouver d’autres terres, d’autres horizons, où formuler, timidement, le rêve que des personnes tels ces deux Péruviens se sont évertués à détruire d’une façon ou d’une autre.
Sonita,
Cela te pose-t-il pb qu'on mette « devenir » ? Attention, il ne s'agit pas de se faire des politesses, mais avant tout de s'interroger sur la manière d'être le plus près possible du sens… La seule chose qui compte ;-)
Aussi bien l'un que l'autre me semblent corrects.
Un pays peut évoluer et, dans ce sens-là, "devenir" est approprié.
Nous savons que l'auteur parle de l'après indépendance, période pendant laquelle le pays a été détruit. Il faut alors construire pour aboutir à la formation du pays maintenant indépendant.
Je pense que "construire" est mieux adapté dans notre contexte.
Pas faux…
Du coup, à moins que vraiment vraiment vraiment tu t'y opposes, Justine, on va mettre « construire ». OK ? ;-)
Je n'ai ni objection, ni meilleur argument, OK pour « construire » ;-)
L'illusion de construire un pays différent anéantie, nous, les Péruviens qui sommes venus après, nous nous sommes dispersés de par le monde pour trouver d’autres terres, d’autres horizons, où formuler, timidement, le rêve que des personnes tels ces deux Péruviens se sont évertués à détruire d’une façon ou d’une autre.
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