mardi 9 octobre 2012

Les Lituma – phrase 72

Cualquier motivo para dejar de recordar era suficiente en ese entonces cuando, poco a poco, la luz del amanecer entraba sucia y mortecina por entre las ventanas y algo parecido a una araña entumecida se replegaba en mi estómago.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

12 commentaires:

Sonita a dit…

À cette époque-là, n’importe quelle raison était suffisante pour ne plus me souvenir quand, petit à petit, la lumière du lever du jour entrait, sale et mourante, à travers les fenêtres et quelque chose qui ressemblait à une araignée engourdie se repliait dans mon estomac.

***
Ce "cuando", même en español, me gêne... Je ne comprends pas très bien ce que l'auteur a voulu dire en articulant la phrase ainsi...

Elodie a dit…

À cette époque-là, n’importe quelle raison était suffisante pour ne plus se souvenir; quand, petit à petit, la lumière du lever du jour entrait, sale et mourante, à travers les fenêtres et quelque chose qui ressemblait à une araignée engourdie se repliait dans mon estomac.


J'ai repris la phrase de Sonita en apportant une petite modification, j'ai mis "se" à la place de "me". J'ai l'impression qu'il parle de manière générale, de cette tristesse que l'on ressent le matin au réveil lorsqu'on a l'habitude de vivre seul. Non?

Tradabordo a dit…

Non, je crois que ça le concerne vraiment lui… mais c'est mal formulé. Reprenons, pas à pas.

À cette époque-là, n’importe quelle raison était suffisante pour ne plus me souvenir quand, petit à petit, la lumière du lever du jour entrait, sale et mourante, à travers les fenêtres et quelque chose qui ressemblait à une araignée engourdie se repliait dans mon estomac.

Tu vas reprendre la syntaxe initiale… Un changement trop lourd pour pouvoir maîtriser la phrase.

+ Passe « motif à »

Sonita a dit…

À cette époque-là, n’importe quel motif suffisait à ne plus me souvenir quand, petit à petit, la lumière du lever du jour entrait, sale et mourante, à travers les fenêtres et quelque chose qui ressemblait à une araignée engourdie se repliait dans mon estomac.

Tradabordo a dit…

À cette époque-là, n’importe quel motif suffisait à ne plus me souvenir quand, petit à petit, la lumière du lever du jour entrait, sale et mourante, à travers les fenêtres et quelque chose qui ressemblait à une araignée engourdie se repliait dans mon estomac.

Non, passe par « tout était motif à »

Sonita a dit…

À cette époque-là, tout était motif à ne plus me souvenir quand, petit à petit, la lumière du lever du jour entrait, sale et mourante, à travers les fenêtres et quelque chose qui ressemblait à une araignée engourdie se repliait dans mon estomac.

Tradabordo a dit…

À cette époque-là, tout était motif à ne plus me souvenir (est-ce qu'on ne devrait pas directement aller à « oublier » ? J'hésite parce qu'en même temps, je me dis que c'est sans doute volontaire et que ce serait un peu une torsion… mais dans le même temps… Bref, donne-moi ton avis) quand, petit à petit, la lumière du lever du jour entrait [ou « pénétrait » ?], sale et mourante, à travers les fenêtres et [« que » ?] quelque chose qui ressemblait [avec un adjectif ?] à une araignée engourdie [je n'aime pas trop… Vois si tu trouves autre chose] se repliait dans mon estomac.

Sonita a dit…

J'ai l'impression qu'en traduisant avec "à ne plus me souvenir" on reste plus proches de l'idée que le narrateur est hanté par Claire, par son souvenir.

À cette époque-là, tout était motif à ne plus me souvenir quand, petit à petit, la lumière du lever du jour pénétrait, sale et mourante, à travers les fenêtres et que quelque chose ressemblant à une araignée ankylosée se repliait dans mon estomac.

Tradabordo a dit…

À cette époque-là, tout était motif à ne plus me souvenir quand, petit à petit, la lumière du lever du jour pénétrait, sale et mourante, à travers les fenêtres et que quelque chose ressemblant à une araignée ankylosée se repliait dans mon estomac.

Essaie de contourner le « du » + « du ».

OK pour le reste… C'est pas mal.

Sonita a dit…

À cette époque-là, tout était motif à ne plus me souvenir quand, petit à petit, la lumière de l'aube pénétrait, sale et mourante, à travers les fenêtres et que quelque chose ressemblant à une araignée ankylosée se repliait dans mon estomac.

Tradabordo a dit…

À cette époque-là, tout était motif à ne plus me souvenir quand, petit à petit, la lumière de l'aube pénétrait, sale et mourante, à travers les fenêtres et que quelque chose ressemblant à une araignée ankylosée se repliait dans mon estomac.

Parfait.

Validation d'une autre Lituma, svp.

Justine a dit…

À cette époque-là, tout était motif à ne plus me souvenir quand, petit à petit, la lumière de l'aube pénétrait, sale et mourante, à travers les fenêtres et que quelque chose ressemblant à une araignée ankylosée se repliait dans mon estomac.

OK.