vendredi 12 octobre 2012

Les Lituma – phrases 79-80

Recordé la sensación de vacío que me dio su partida, esa incertidumbre que debe tener quien ha sido amputado de un brazo o una pierna sin dejar por ello de sentir el miembro perdido. De ahí la posterior necesidad de viajar a Perú,  siquiera por unas semanas.

Traduction temporaire :
Je me rappelai la sensation de vide que son départ m'avait laissée, l'incertitude que doit ressentir quelqu’un qui a été amputé d’un bras ou d’une jambe et qui continue de sentir son membre perdu. De là mon besoin ultérieur de partir au Pérou, ne serait-ce que pour quelques semaines.

9 commentaires:

Sonita a dit…

Je me rappelai la sensation de vide que me laissa son départ, cette incertitude qu’a quelqu’un qui a été amputé d’un bras ou d’une jambe et qui n'arrête pas pour autant de sentir le membre perdu. C’est de là que vint ensuite le besoin impérieux de partir au Pérou, ne fût-ce que pour quelques semaines.

Tradabordo a dit…

Je me rappelai la sensation de vide que me laissa son départ, cette incertitude qu’a quelqu’un qui a été amputé d’un bras ou d’une jambe et qui n'arrête pas pour autant de sentir le membre perdu. C’est de là que vint ensuite le besoin impérieux de partir au Pérou, ne fût-ce que pour quelques semaines.

Donc… Tout ce qui se rapporte à cet événement doit être au PQP.

Sonita a dit…

Je me rappelai la sensation de vide que son départ m'avait laissé, cette incertitude qu’a quelqu’un qui a été amputé d’un bras ou d’une jambe et qui n'arrête pas pour autant de sentir le membre perdu. C’est de là que était venu ensuite le besoin impérieux de partir au Pérou, même si ce n'était que pour quelques semaines.

Tradabordo a dit…

Je me rappelai la sensation de vide que son départ m'avait laissé[E], cette [encore un démonstratif « abusif »] incertitude qu’a [DEBE !] quelqu’un qui a été amputé d’un bras ou d’une jambe et qui n'arrête pas pour autant de sentir le membre perdu [un peu plus de fluidité dans cette phrase ; simplifie]. C’est [Pas besoin de « c'est »] de là que était venu [Attention QUE + ÉTAIT = qu'était + tu peux supprimer « que était venu ensuite »] le besoin impérieux [ultérieur] de partir au Pérou, même si ce n'était [ne serait-ce] que pour quelques semaines.

Sonita a dit…

Je me rappelai la sensation de vide que son départ m'avait laissée, l'incertitude que doit avoir quelqu’un qui a été amputé d’un bras ou d’une jambe et qui sent toujours le membre perdu. De là, le besoin ultérieur de partir au Pérou, ne serait-ce que pour quelques semaines.

Tradabordo a dit…

Je me rappelai la sensation de vide que son départ m'avait laissée, l'incertitude que doit avoir [ressentir] quelqu’un qui a été amputé d’un bras ou d’une jambe et qui sent toujours [continue de sentir] le [son] membre perdu. De là, le [MON] besoin ultérieur de partir au Pérou, ne serait-ce que pour quelques semaines.

Justine a dit…

Je me rappelai la sensation de vide que son départ m'avait laissée, l'incertitude que doit ressentir quelqu’un qui a été amputé d’un bras ou d’une jambe et qui continue de sentir son membre perdu. De là, mon besoin ultérieur de partir au Pérou, ne serait-ce que pour quelques semaines.

Tradabordo a dit…

Je me rappelai la sensation de vide que son départ m'avait laissée, l'incertitude que doit ressentir quelqu’un qui a été amputé d’un bras ou d’une jambe et qui continue de sentir son membre perdu. De là mon besoin ultérieur de partir au Pérou, ne serait-ce que pour quelques semaines.

J'ai enlevé une virgule…

OK.

Validation d'une autre Lituma, svp.

Sonita a dit…

Je me rappelai la sensation de vide que son départ m'avait laissée, l'incertitude que doit ressentir quelqu’un qui a été amputé d’un bras ou d’une jambe et qui continue de sentir son membre perdu. De là mon besoin ultérieur de partir au Pérou, ne serait-ce que pour quelques semaines.

OK.