(Todo podría nacer de esas lejana clase de botánica que le dio tanto miedo y le obsesiono durante meses, cuando el profesor hablo de aquellas flores de vida tan breve y, no podía entonces explicarlo porque, se sintió, tocado, violado, allanado, como si se hablara de el mismo y estuvo días y días sin hablar, apenas sin comer, y enflaqueció rápidamente.
Traduction temporaire :
(Tout pourrait naître de ce lointain cours de botanique qui lui avait fait tellement peur, et qui l’avait obsédé pendant des mois. Quand le professeur avait parlé de ces fleurs à la vie si courte ; il ne pouvait alors s‘expliquer pourquoi, mais il s’était senti touché, violé, affligé, comme si on parlait de lui, de lui-même, et il avait passé des jours et des jours sans parler, mangeant à peine, et avait maigri rapidement.
(Tout pourrait naître de ce lointain cours de botanique qui lui avait fait tellement peur, et qui l’avait obsédé pendant des mois. Quand le professeur avait parlé de ces fleurs à la vie si courte ; il ne pouvait alors s‘expliquer pourquoi, mais il s’était senti touché, violé, affligé, comme si on parlait de lui, de lui-même, et il avait passé des jours et des jours sans parler, mangeant à peine, et avait maigri rapidement.
9 commentaires:
Tout pourrait naître de cette lointaine classe de botanique qui lui fit si peur, et qui l’obséda pendant des mois. Quand le professeur parla de ces fleurs à la vie si courte, il ne pouvait alors se l’expliquer, mais il se sentit touché, violé, atterré, comme si on parlait de lui, de lui-même, et il passa des jours et des jours sans parler, mangeant à peine, et il maigrit rapidement.
Pas facile non plus cette phrase!
J'ai supposé que le "s" à "esas" était une faute de frappe.
J'ai hésité pour "se l'expliquer". C'est étrange cette forme "explicarlo porque", je ne suis pas sûre d'avoir bien compris, et donc je ne suis pas sûre que le réfléchi soit nécessaire...
(Todo podría nacer de esa(s) lejana clase de botánica que le dio tanto miedo y le obsesiono durante meses,
Tout pourrait naître de cette lointaine classe [« classe » ?] de botanique qui lui fit [le temps ! Même erreur que cet après-midi ;-)] si peur, et qui l’obséda [idem] pendant des mois.
Tout pourrait naître de ce lointain cours de botanique qui lui avait fait si peur, et qui l’avait obsédé pendant des mois. Quand le professeur avait parlé de ces fleurs à la vie si courte, il ne pouvait alors se l’expliquer, mais il s’était senti touché, violé, atterré, comme si on parlait de lui, de lui-même, et il avait passé des jours et des jours sans parler, mangeant à peine, et il avait maigri rapidement.
Tout pourrait naître de ce lointain cours de botanique qui lui avait fait si peur, et qui l’avait obsédé pendant des mois. Quand le professeur avait parlé de ces fleurs à la vie si courte, il ne pouvait alors lui expliquer pourquoi, mais il s’était senti touché, violé, atterré, comme si on parlait de lui, de lui-même, et il avait passé des jours et des jours sans parler, mangeant à peine, et il avait maigri rapidement.
J'ai changé "se l'expliquer" par "lui expliquer pourquoi", j'ai enfin compris qu'il devait s'adresser au professeur...
(Todo podría nacer de esas lejana clase de botánica que le dio tanto miedo y le obsesiono durante meses,
Tout pourrait naître de ce lointain cours de botanique qui lui avait fait si peur, et qui l’avait obsédé pendant des mois.
cuando el profesor hablo de aquellas flores de vida tan breve y, no podía entonces explicarlo porque, se sintió, tocado, violado, allanado, como si se hablara de el mismo y estuvo días y días sin hablar, apenas sin comer, y enflaqueció rápidamente.
Quand le professeur avait parlé de ces fleurs à la vie si courte [ou « dont la vie était si courte » ?], il ne pouvait alors lui [?????] expliquer pourquoi,
Fais déjà ça.
mais il s’était senti touché, violé, atterré, comme si on parlait de lui, de lui-même, et il avait passé des jours et des jours sans parler, mangeant à peine, et il avait maigri rapidement.
Tout pourrait naître de ce lointain cours de botanique qui lui avait fait si peur, et qui l’avait obsédé pendant des mois. Quand le professeur avait parlé de ces fleurs dont la vie était si courte, il ne pouvait alors expliquer pourquoi, mais il s’était senti touché, violé, atterré, comme si on parlait de lui, de lui-même, et il avait passé des jours et des jours sans parler, mangeant à peine, et il avait maigri rapidement.
(Todo podría nacer de esas lejana clase de botánica que le dio tanto miedo y le obsesiono durante meses, cuando el profesor hablo de aquellas flores de vida tan breve y, no podía entonces explicarlo porque, se sintió, tocado, violado, allanado, como si se hablara de el mismo y estuvo días y días sin hablar, apenas sin comer, y enflaqueció rápidamente.
Tout pourrait naître de ce lointain cours de botanique qui lui avait fait si [« tellement » pour éviter la répétition avec le « si » de la phrase d'après ?] peur, et qui l’avait obsédé pendant des mois. Quand le professeur avait parlé de ces fleurs dont la vie était si courte, [point-virgule… car rupture ; il ne faut pas qu'on pense que c'est le prof] il ne pouvait alors expliquer [« s'expliquer » ?] pourquoi, mais il s’était senti touché, violé, atterré [bof], comme si on parlait de lui, de lui-même, et il avait passé des jours et des jours sans parler, mangeant à peine, et il [je supprimerais « et il »] avait maigri rapidement.
Tout pourrait naître de ce lointain cours de botanique qui lui avait fait tellement peur, et qui l’avait obsédé pendant des mois. Quand le professeur avait parlé de ces fleurs à la vie si courte ; il ne pouvait alors s‘expliquer pourquoi, mais il s’était senti touché, violé, affligé, comme si on parlait de lui, de lui-même, et il avait passé des jours et des jours sans parler, mangeant à peine, et avait maigri rapidement.
Je suis donc revenue à "s'expliquer".
"Affligé" me semble plus judicieux.
Tout pourrait naître de ce lointain cours de botanique qui lui avait fait tellement peur, et qui l’avait obsédé pendant des mois. Quand le professeur avait parlé de ces fleurs à la vie si courte ; il ne pouvait alors s‘expliquer pourquoi, mais il s’était senti touché, violé, affligé, comme si on parlait de lui, de lui-même, et il avait passé des jours et des jours sans parler, mangeant à peine, et avait maigri rapidement.
OK.
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