Envejecer esta noche.
[tu verras si tu traduis tout de suite, ou non, le titre]
Domingo 28 de marzo de 1967. Historia de una noche, de una sola noche. Como si se pudiera ir envejeciendo rápido, rápido, desde que se es niño y adolescente y recién casado, hasta ahora (podría hacerse, experimentalmente, un cuento en el cual un niño, desde que le acostaron sus padres al atardecer hasta el otro día en la mañana temprano, transcurrió toda su vida, pasando por la niñez, la adolescencia, la juventud, la madurez, la vejez, hasta que lo sacan de la cuna, con sus panales deformes, con su cuerpo deforme y viejo y se muere, junto a sus padres jóvenes), en que son las 3, las 4 de la mañana y estas ya viejo y la memoria tan lejana y la boca estupefacta y a las 8 de la mañana ya esta tocando a muerte la campana de la iglesia de la calle Lira o de la calle Placer.
Traduction temporaire :
Dimanche 28 mars 1967. Histoire d’une nuit, d’une seule nuit. Comme s’il était possible de vieillir à toute vitesse, à toute vitesse, depuis que l’on est enfant, puis adolescent, puis jeune marié, jusqu’à maintenant (on pourrait écrire, de manière expérimentale, une nouvelle dans laquelle un enfant aurait, entre le moment où ses parents l’auraient bordé, au crépuscule, et le lendemain matin, vécu sa vie entière, en passant par l’enfance, l’adolescence, la jeunesse, la maturité, la vieillesse… Jusqu’à ce qu’ils l’aient sorti du berceau, ses langes difformes, son corps difforme et vieux… Et il mourrait, près de ses jeunes parents), alors qu’il est trois, quatre heures du matin et que tu es déjà vieux, la mémoire, si lointaine et la bouche stupéfaite ; mais dès huit heures, le glas de l’église de la Calle Lira ou de la Calle Placer sonne.
Traduction temporaire :
Dimanche 28 mars 1967. Histoire d’une nuit, d’une seule nuit. Comme s’il était possible de vieillir à toute vitesse, à toute vitesse, depuis que l’on est enfant, puis adolescent, puis jeune marié, jusqu’à maintenant (on pourrait écrire, de manière expérimentale, une nouvelle dans laquelle un enfant aurait, entre le moment où ses parents l’auraient bordé, au crépuscule, et le lendemain matin, vécu sa vie entière, en passant par l’enfance, l’adolescence, la jeunesse, la maturité, la vieillesse… Jusqu’à ce qu’ils l’aient sorti du berceau, ses langes difformes, son corps difforme et vieux… Et il mourrait, près de ses jeunes parents), alors qu’il est trois, quatre heures du matin et que tu es déjà vieux, la mémoire, si lointaine et la bouche stupéfaite ; mais dès huit heures, le glas de l’église de la Calle Lira ou de la Calle Placer sonne.
14 commentaires:
Dimanche 28 mars 1967. L’histoire d’une nuit, d’une seule nuit. Comme si l’on pouvait vieillir rapidement, rapidement, depuis que l’on est enfant, puis adolescent, puis jeune marié, jusqu’à maintenant (On pourrait écrire un conte, de manière expérimentale, dans lequel un enfant, entre le moment où l’ont bordé ses parents, à la tombée de la nuit, et le lendemain, au petit matin, a vécu toute sa vie, en passant par l’enfance, l’adolescence, la jeunesse, la maturité, la vieillesse, jusqu’à ce qu’ils le sortent de son berceau, avec ses langes difformes, avec son corps difforme et vieux, puis il meurt, près de ses jeunes parents), maintenant, il est trois, quatre heures du matin et tu es déjà vieux, et la mémoire, si lointaine, et la bouche, stupéfaite, puis à huit heure du matin sonne déjà le glas de l’église de la calle Lira ou de la calle Placer.
J'ai hésité pour traduire tous ces "Y"...
Dimanche 28 mars 1967.
OK
L’histoire d’une nuit, d’une seule nuit.
J'hésite pour le « l' »
Comme si l’on pouvait vieillir rapidement, rapidement,
Pas besoin de « l' ».
« rapidement » ou « à toute vitesse » ?
depuis que l’on est enfant, puis adolescent, puis jeune marié, jusqu’à maintenant
OK.
(On pourrait écrire un conte,
Pourquoi une majuscule au début de la parenthèse ?
de manière expérimentale,
Remets la syntaxe de la V.O.
1) Je pense que c'est mieux… On verra chemin faisant.
2) Quand on commence le travail, je te conseille de faire un premier jet très littéral, sous peine de vite défigurer le texte en V.O.
Occupe-toi déjà de ça ; comme la phrase est longue, il vaut mieux avancer progressivement.
dans lequel un enfant, entre le moment où l’ont bordé ses parents, à la tombée de la nuit, et le lendemain, au petit matin, a vécu toute sa vie, en passant par l’enfance, l’adolescence, la jeunesse, la maturité, la vieillesse, jusqu’à ce qu’ils le sortent de son berceau, avec ses langes difformes, avec son corps difforme et vieux, puis il meurt, près de ses jeunes parents), maintenant, il est trois, quatre heures du matin et tu es déjà vieux, et la mémoire, si lointaine, et la bouche, stupéfaite, puis à huit heure du matin sonne déjà le glas de l’église de la calle Lira ou de la calle Placer.
Dimanche 28 mars 1967. Histoire d’une nuit, d’une seule nuit. Comme si on pouvait vieillir à toute vitesse, à toute vitesse, depuis que l’on est enfant, puis adolescent, puis jeune marié, jusqu’à maintenant (on pourrait écrire un conte, expérimentalement, dans lequel un enfant, entre le moment où l’ont bordé ses parents, à la tombée de la nuit, et le lendemain, au petit matin, a vécu toute sa vie, en passant par l’enfance, l’adolescence, la jeunesse, la maturité, la vieillesse, jusqu’à ce qu’ils le sortent de son berceau, avec ses langes difformes, avec son corps difforme et vieux, et il meurt, près de ses jeunes parents), maintenant, il est trois, quatre heures du matin et tu es déjà vieux, et la mémoire, si lointaine, et la bouche, stupéfaite, et à huit heure du matin sonne déjà le glas de l’église de la calle Lira ou de la calle Placer.
En effet c'est mieux sans le "l'" à "histoire".
"A toute vitesse" est en effet plus harmonieux, même si la répétition est un peu plus lourde.
Pour le titre j'hésite entre "vieillir" ou" décliner", j'attends d'avancer dans le texte.
Ne t'inquiète pas des lourdeurs de certaines répétitions – elles participent à la construction du sens…
Dimanche 28 mars 1967. Histoire d’une nuit, d’une seule nuit. Comme si on pouvait vieillir à toute vitesse, à toute vitesse, depuis que l’on est enfant, puis adolescent, puis jeune marié, jusqu’à maintenant (on pourrait écrire un conte, expérimentalement [place-le avant « conte », comme en V.O. + je crois que c'était mieux ton « de manière… »],
dans lequel un enfant, entre le moment où l’ont bordé ses parents, à la tombée de la nuit, et le lendemain, au petit matin, a vécu toute sa vie, en passant par l’enfance, l’adolescence, la jeunesse, la maturité, la vieillesse, jusqu’à ce qu’ils le sortent de son berceau, avec ses langes difformes, avec son corps difforme et vieux, et il meurt, près de ses jeunes parents),
J'hésite beaucoup sur la syntaxe… Comment trouves-tu ? Est-ce que tu ne crois pas qu'on devrait déplacer le « enfant du début ». Le doute que j'ai est le suivant : je pense que ce sera mieux, mais je me demande si on trahirait « l'intention de l'auteur ». Donne-moi ton avis et, le cas échéant, faisons un test.
On verra la suite après.
Dis donc, tu n'as pas choisi la plus facile ;-)
maintenant, il est trois, quatre heures du matin et tu es déjà vieux, et la mémoire, si lointaine, et la bouche, stupéfaite, et à huit heure du matin sonne déjà le glas de l’église de la calle Lira ou de la calle Placer.
Ne t'inquiète pas des lourdeurs de certaines répétitions – elles participent à la construction du sens…
Dimanche 28 mars 1967. Histoire d’une nuit, d’une seule nuit. Comme si on pouvait vieillir à toute vitesse, à toute vitesse, depuis que l’on est enfant, puis adolescent, puis jeune marié, jusqu’à maintenant (on pourrait écrire un conte, expérimentalement [place-le avant « conte », comme en V.O. + je crois que c'était mieux ton « de manière… »],
dans lequel un enfant, entre le moment où l’ont bordé ses parents, à la tombée de la nuit, et le lendemain, au petit matin, a vécu toute sa vie, en passant par l’enfance, l’adolescence, la jeunesse, la maturité, la vieillesse, jusqu’à ce qu’ils le sortent de son berceau, avec ses langes difformes, avec son corps difforme et vieux, et il meurt, près de ses jeunes parents),
J'hésite beaucoup sur la syntaxe… Comment trouves-tu ? Est-ce que tu ne crois pas qu'on devrait déplacer le « enfant du début ». Le doute que j'ai est le suivant : je pense que ce sera mieux, mais je me demande si on trahirait « l'intention de l'auteur ». Donne-moi ton avis et, le cas échéant, faisons un test.
On verra la suite après.
Dis donc, tu n'as pas choisi la plus facile ;-)
maintenant, il est trois, quatre heures du matin et tu es déjà vieux, et la mémoire, si lointaine, et la bouche, stupéfaite, et à huit heure du matin sonne déjà le glas de l’église de la calle Lira ou de la calle Placer.
Dimanche 28 mars 1967. Histoire d’une nuit, d’une seule nuit. Comme si on pouvait vieillir à toute vitesse, à toute vitesse, depuis que l’on est enfant, puis adolescent, puis jeune marié, jusqu’à maintenant (on pourrait écrire, expérimentalement, un conte, dans lequel un enfant, entre le moment où l’ont bordé ses parents, à la tombée de la nuit, et le lendemain, au petit matin, a vécu toute sa vie, en passant par l’enfance, l’adolescence, la jeunesse, la maturité, la vieillesse, jusqu’à ce qu’ils le sortent de son berceau, avec ses langes difformes, avec son corps difforme et vieux, et il meurt, près de ses jeunes parents), maintenant, il est trois, quatre heures du matin et tu es déjà vieux, et la mémoire, si lointaine, et la bouche, stupéfaite, et à huit heure du matin sonne déjà le glas de l’église de la calle Lira ou de la calle Placer.
J'ai juste corrigé "expérimentalement".
J'ai essayé de déplacer "enfant" en le mettant devant "a vécu toute sa vie" mais du coup c'est très lourd à cause de "enfance" qui est juste derrière, et je ne vois pas par quoi le remplacer, vu qu'il précède "adolescence", donc finalement, je crois que le plus satisfaisant est de le laisser tel quel. Qu'en pensez-vous?
Voyons :
Dimanche 28 mars 1967. Histoire d’une nuit, d’une seule nuit. Comme si on pouvait vieillir à toute vitesse, à toute vitesse, depuis que l’on est enfant, puis adolescent, puis jeune marié, jusqu’à maintenant (on pourrait écrire, expérimentalement [ou « de manière expérimentale » ? Je t'ai demandé ton avis dans mon com précédent.], un conte, [pas besoin de la virgule] dans lequel un enfant [peut-être qu'on devrait mettre mette « a », c'est-à-dire amorcé le verbe déjà ici… Histoire qu'on comprenne où va la phrase], entre le moment où l’ont bordé ses parents [Là, il y a un net pb de syntaxe], à la tombée de la nuit [simplifie], et le lendemain, au petit matin [simplifie], a vécu toute sa vie, en passant par l’enfance, l’adolescence, la jeunesse, la maturité, la vieillesse, [point-virgule ? ou point de suspension… histoire de faire un peu de repérage ?] jusqu’à ce qu’ils le sortent de son [ne mets pas le possessif pour gérer la suite] berceau, avec [supprime « avec »] ses langes difformes, avec [idem] son corps difforme et vieux, [point de suspension ?] et il meurt, près de ses jeunes parents), maintenant [ne répète pas et fais comme en V.O., comme s'il n'y avait pas eu de parenthèse], il est trois, quatre heures du matin et tu es déjà vieux, et la mémoire, [virgule ? J'hésite] si lointaine, et la bouche, [idem] stupéfaite, et à huit heure du matin sonne déjà le glas de l’église [syntaxe peu naturelle] de la calle [si tu veux laisser, et tu connais mon avis sur le sujet, mets une majuscule] Lira ou de la calle Placer.
Dimanche 28 mars 1967. Histoire d’une nuit, d’une seule nuit. Comme si on pouvait vieillir à toute vitesse, à toute vitesse, depuis que l’on est enfant, puis adolescent, puis jeune marié, jusqu’à maintenant (on pourrait écrire, de manière expérimentale, un conte dans lequel un enfant a, entre le moment où l’ont bordé ses parents, au crépuscule, et le lendemain matin, vécu toute sa vie, en passant par l’enfance, l’adolescence, la jeunesse, la maturité, la vieillesse… Jusqu’à ce qu’ils le sortent du berceau, ses langes difformes, son corps difforme et vieux… Et il meurt, près de ses jeunes parents), alors qu’il est trois, quatre heures du matin et que tu es déjà vieux, et la mémoire si lointaine, et la bouche stupéfaite, mais dès huit heure sonne le glas de l’église de la Calle Lira ou de la Calle Placer.
Je ne sais comment exprimer le « en que son las » juste après la parenthèse, d’où la répétition initiale.
« Mais dès huit heure » exprime le « ya » et est moins lourd je trouve.
Pour la parenthèse, j’ai simplifié et ajouté les points de suspension, je ne trouve rien de mieux pour décrire l’espace d’une nuit sans trop changer par rapport à la V.O. par contre...
En effet, pas facile cette première phrase mais je vais y arriver !
Dimanche 28 mars 1967.
OK.
Histoire d’une nuit, d’une seule nuit.
OK.
Comme si on pouvait [« s'il était possible », pour éviter la répétition, involontaire et donc peu heureuse avec le « pouvoir » qui vient après] vieillir à toute vitesse, à toute vitesse, depuis que l’on est enfant, puis adolescent, puis jeune marié, jusqu’à maintenant (on pourrait écrire, de manière expérimentale, un conte [ou « nouvelle » ?] dans lequel un enfant a [ou « aurait » ? J'ai un gros doute… car il se peut que ce soit fait exprès ; je te laisse trancher et je m'en tiendrai à ta décision], entre le moment où l’ont bordé ses parents [inverse ; mets les parents d'abord], au crépuscule, et le lendemain matin, vécu toute sa vie [vie entière ; ça évitera un « toute »], en passant par l’enfance, l’adolescence, la jeunesse, la maturité, la vieillesse… Jusqu’à ce qu’ils le sortent du berceau, ses langes difformes, son corps difforme et vieux… Et il meurt, près de ses jeunes parents), alors qu’il est trois, quatre heures du matin et que tu es déjà vieux, et [faut-il ajouter « et que » ?] la mémoire si lointaine, et la bouche stupéfaite, mais dès huit heure sonne [idem… mets le verbe après… La phrase est déjà assez complexe comme ça] le glas de l’église de la Calle Lira ou de la Calle Placer.
En fonction du temps que tu choisiras, il y aura peut-être d'autres choses à modifier… Voyons déjà cela.
Dans un texte comme ça, on se rend compte de ce que veut dire la traduction par couches ;-)
Dimanche 28 mars 1967. Histoire d’une nuit, d’une seule nuit. Comme s’il était possible de vieillir à toute vitesse, à toute vitesse, depuis que l’on est enfant, puis adolescent, puis jeune marié, jusqu’à maintenant (on pourrait écrire, de manière expérimentale, un conte dans lequel un enfant aurait, entre le moment où ses parents l’auraient bordé, au crépuscule, et le lendemain matin, vécu sa vie entière, en passant par l’enfance, l’adolescence, la jeunesse, la maturité, la vieillesse… Jusqu’à ce qu’ils l’aient sorti du berceau, ses langes difformes, son corps difforme et vieux… Et il mourrait, près de ses jeunes parents), alors qu’il est trois, quatre heures du matin et que tu es déjà vieux, et la mémoire, si lointaine, et la bouche, stupéfaite, mais dès huit heures, le glas de l’église de la Calle Lira ou de la Calle Placer sonne.
Voilà ce que ça donne avec « aurait ». C’est plus fluide, je trouve, même si on s'éloigne un peu.
J’ai hésité pour le temps de « Sortir » du berceau, présent ou passé du subj ?
J’ai remis les virgules à mémoire et bouche pour na pas ajouter de « et que ».
Quant à "conte", je le préfère à "nouvelle", j'avais pensé à "histoire" mais avec "histoire" au début, c'est impossible...
J’ai tellement lu cette phrase que j’ai l’impression de ne plus discerner ce qui est correct ou non !
Dimanche 28 mars 1967. Histoire d’une nuit, d’une seule nuit. Comme s’il était possible de vieillir à toute vitesse, à toute vitesse, depuis que l’on est enfant, puis adolescent, puis jeune marié, jusqu’à maintenant (on pourrait écrire, de manière expérimentale, un conte dans lequel un enfant aurait, entre le moment où ses parents l’auraient bordé, au crépuscule, et le lendemain matin, vécu sa vie entière, en passant par l’enfance, l’adolescence, la jeunesse, la maturité, la vieillesse… Jusqu’à ce qu’ils l’aient sorti du berceau, ses langes difformes, son corps difforme et vieux… Et il mourrait, près de ses jeunes parents), alors qu’il est trois, quatre heures du matin et que tu es déjà vieux, et la mémoire, si lointaine, et la bouche, stupéfaite, mais dès huit heures, le glas de l’église de la Calle Lira ou de la Calle Placer sonne.
Voilà ce que ça donne avec « aurait ». C’est plus fluide, je trouve, même si on s'éloigne un peu.
J’ai hésité pour le temps de « Sortir » du berceau, présent ou passé du subj ?
J’ai remis les virgules à mémoire et bouche pour na pas ajouter de « et que ».
Quant à "conte", je le préfère à "nouvelle", j'avais pensé à "histoire" mais avec "histoire" au début, c'est impossible...
J’ai tellement lu cette phrase que j’ai l’impression de ne plus discerner ce qui est correct ou non !
Ah oui, lire, relire, re-relire jusqu'à n'y plus voir clair, ça t'arrivera souvent ;-)
Dimanche 28 mars 1967. Histoire d’une nuit, d’une seule nuit. Comme s’il était possible de vieillir à toute vitesse, à toute vitesse, depuis que l’on est enfant, puis adolescent, puis jeune marié, jusqu’à maintenant (on pourrait écrire, de manière expérimentale, une nouvelle dans laquelle un enfant aurait, entre le moment où ses parents l’auraient bordé, au crépuscule, et le lendemain matin, vécu sa vie entière, en passant par l’enfance, l’adolescence, la jeunesse, la maturité, la vieillesse… Jusqu’à ce qu’ils l’aient sorti du berceau, ses langes difformes, son corps difforme et vieux… Et il mourrait, près de ses jeunes parents), alors qu’il est trois, quatre heures du matin et que tu es déjà vieux, la mémoire, si lointaine et la bouche stupéfaite ; mais dès huit heures, le glas de l’église de la Calle Lira ou de la Calle Placer sonne.
J'ai fait quelques légères modifs… Dis-moi si tu es ok et on pourra passer à la suite – en espérant que ce sera aussi facile ;-)
En effet la fin est mieux comme ça, sans le "et" devant mémoire.
D'accord pour "nouvelle", c'est vrai que "conte" en français a peut être une nuance fantastique ou merveilleuse que "cuento" n'a pas en espagnol...
Donc OK pour moi, et merci!
(PS: Je travaille le samedi de 18h à 23h donc je répondrai à la suite assez tard ou demain, je préfère vous prévenir...)
Parfait !
Bon courage pour le boulot.
Je te mets la suite, de toute façon.
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