dimanche 14 octobre 2012

Projet Perrine / Ricardo – phrase 12

Su esposa, con el cabello corto y pelirrojo, y una minifalda propia de finales de los sesenta, justificado, según su esposo, por el intenso calor de aquel verano, intensificó sus visitas al taller. 

Traduction temporaire :
Son épouse multiplia ses visites à l’atelier. Elle avait les cheveux courts et roux, portait une mini-jupe typique de la fin des années soixante qui, selon son mari, se justifiait pleinement étant donné la chaleur intense de cet été-là.

12 commentaires:

perrine a dit…

Son épouse, qui portait les cheveux courts et roux, une mini-jupe typique de la fin des années soixante justifiée, selon son mari, par la chaleur intense de cet été-là, multiplia ses visites à l’atelier.

Tradabordo a dit…

Su esposa, con el cabello corto y pelirrojo, y una minifalda propia de finales de los sesenta, justificado, según su esposo, por el intenso calor de aquel verano, intensificó sus visitas al taller.

Son épouse, qui portait [« porter » ne va pas très bien avec « roux » ; il faut que tu cherches une autre solution pour ce morceau de phrase] les cheveux courts et roux, une mini-jupe typique de la fin des années soixante [j'ajouterais une cheville ; on comprenne mieux l'histoire du mari] justifiée, selon son mari, par la chaleur intense de cet été-là, multiplia ses visites à l’atelier.

perrine a dit…

Son épouse, qui arborait des cheveux courts et roux, une mini-jupe typique de la fin des années soixante que l'on pouvait justifier, selon son mari, par la chaleur intense de cet été-là, multiplia ses visites à l’atelier.

Tradabordo a dit…

Son épouse, qui arborait [mal adapté ; crois-tu qu'on soit obligées de mettre un verbe pour les cheveux ?] des cheveux courts et roux, [portait] une mini-jupe typique de la fin des années soixante que l'on pouvait justifier [« qui, selon son mari, se justifiait » ?], selon son mari, par la chaleur intense de cet été-là, multiplia ses visites à l’atelier.

perrine a dit…

Son épouse, les cheveux courts et roux, portant une mini-jupe typique de la fin des années soixante qui, selon son mari, se justifiait par la chaleur intense de cet été-là, multiplia ses visites à l’atelier.

Tradabordo a dit…

Son épouse, les cheveux courts et roux, portant une mini-jupe typique de la fin des années soixante qui, selon son mari, se justifiait par la chaleur intense de cet été-là, multiplia ses visites à l’atelier.

Là, il manque quelque chose ; est-ce que ça, ça résout le pb ?

Son épouse, dont les cheveux étaient courts et roux, portait une mini-jupe typique de la fin des années soixante et qui, selon son mari, se justifiait pleinement étant donné la chaleur intense de cet été-là, multiplia ses visites à l’atelier.

perrine a dit…

En fait je pense qu'il faut mettre une incise, sinon on perd trop le fil entre le début et la fin de la phrase. Et l'imparfait du verbe "porter" ne va pas, j'ai l'impression ça coupe la phrase.

Son épouse – dont les cheveux étaient courts et roux, vêtue d'une mini-jupe typique de la fin des années soixante qui, selon son mari, se justifiait pleinement étant donné la chaleur intense de cet été-là – multiplia ses visites à l’atelier.

Tradabordo a dit…

Son épouse – dont les cheveux étaient courts et roux, vêtue d'une mini-jupe typique de la fin des années soixante qui, selon son mari, se justifiait pleinement étant donné la chaleur intense de cet été-là – multiplia ses visites à l’atelier.

Non, ça ne va pas… Tu vas surtout faire deux phrases.

perrine a dit…

Son épouse multiplia ses visites à l’atelier. Elle avaient les cheveux courts et roux, portait une mini-jupe typique de la fin des années soixante qui, selon son mari, se justifiait pleinement étant donné la chaleur intense de cet été-là.

Tradabordo a dit…

Voilà ! Je pense que c'est beaucoup mieux.

perrine a dit…

Je corrige juste une énorme faute de grammaire :

Son épouse multiplia ses visites à l’atelier. Elle avait les cheveux courts et roux, portait une mini-jupe typique de la fin des années soixante qui, selon son mari, se justifiait pleinement étant donné la chaleur intense de cet été-là.

Tradabordo a dit…

;-)