— Alejandra Pizarnik... Esos Poemas, los del Árbol de Diana...
— Esos, ¿Qué?
— Eh, no, nada, adelante, estás en tu casa.
— Victoria Ocampo, 42 años, recién habías fundado « Sur », pero, ¿por qué te diste el lujo de negarte tanto a entrar a la Academia?
— ¿Qué?
— María Luisa. Sí, qué bella, supongo que te amabas demasiado, te comprendo, lo sé. Sé exactamente lo que es querer matar por amor.
— Emily, ¿por qué tan sólo dos obras? ¿Por qué?
Traduction temporaire :
— Alejandra Pizarnik… Ces Poèmes, de l’Arbre de Diane…
— Ces quoi ?
— Hein ? Non, rien, entre, fais comme chez toi.
— Victoria Ocampo, quarante-deux ans. Tu venais de fonder « Sur ». Mais pourquoi t’être payé le luxe de refuser d’entrer à l’Académie ?
— Comment ?
— María Luisa. Oui, qu’est-ce que tu es belle ! Je suppose que tu t’aimais trop. Je te comprends, je le sais. Je sais exactement ce que c’est que de vouloir tuer par amour.
— Emily, pourquoi seulement deux œuvres ? Pourquoi ?
— Alejandra Pizarnik… Ces Poèmes, de l’Arbre de Diane…
— Ces quoi ?
— Hein ? Non, rien, entre, fais comme chez toi.
— Victoria Ocampo, quarante-deux ans. Tu venais de fonder « Sur ». Mais pourquoi t’être payé le luxe de refuser d’entrer à l’Académie ?
— Comment ?
— María Luisa. Oui, qu’est-ce que tu es belle ! Je suppose que tu t’aimais trop. Je te comprends, je le sais. Je sais exactement ce que c’est que de vouloir tuer par amour.
— Emily, pourquoi seulement deux œuvres ? Pourquoi ?
15 commentaires:
— Alejandra Pisarnik… Ces Poèmes, ceux de l’Arbre de Diane…
— Ces quoi ?
— Hein ? Non, rien, entre, fais comme chez toi.
— Victoria Ocampo, quarante-deux ans, tu avais récemment fondé « Sur », mais pourquoi t’être donné le luxe de t’obstiner à refuser d’entrer à l’Académie ?
— Comment ?
— María Luisa. Oui, qu’est-ce que tu es belle, je suppose que tu t’aimais trop, je te comprends, je le sais. Je sais exactement ce que c’est de vouloir tuer par amour.
— Emily, pourquoi deux petites œuvres seulement ? Pourquoi ?
— Alejandra Pisarnik… Ces Poèmes, ceux [supprime « , ceux »] de l’Arbre de Diane…
— Ces quoi ?
— Hein ? Non, rien, entre, fais comme chez toi.
— Victoria Ocampo, quarante-deux ans, [point ?] tu avais récemment [ou « venais de » ?] fondé « Sur », [point ?] mais pourquoi t’être donné [« payé »] le luxe de t’obstiner à refuser [« à tout prix »] d’entrer à l’Académie ?
— Comment ?
— María Luisa. Oui, qu’est-ce que tu es belle, [point d'exclamation] je suppose que tu t’aimais trop, je te comprends, je le sais. Je sais exactement ce que c’est de vouloir tuer par amour.
— Emily, pourquoi deux petites œuvres seulement [avance-le] ? Pourquoi ?
— Alejandra Pisarnik… Ces Poèmes, de l’Arbre de Diane…
— Ces quoi ?
— Hein ? Non, rien, entre, fais comme chez toi.
— Victoria Ocampo, quarante-deux ans. Tu venais de fonder « Sur ». Mais pourquoi t’être payé le luxe de refuser tout prix d’entrer à l’Académie ?
— Comment ?
— María Luisa. Oui, qu’est-ce que tu es belle ! Je suppose que tu t’aimais trop, je te comprends, je le sais. Je sais exactement ce que c’est de vouloir tuer par amour.
— Emily, pourquoi seulement deux petites œuvres ? Pourquoi ?
Je me pose juste une question : "payer" et "à tout prix" juste après, ce n'est pas dérangeant ?
Se escribe Pizarnik con zeta
Se escribe Pizarnik con zeta
Sí, claro, Ramiro… ¡ Gracias ! Lo vamos a corregir.
— Alejandra Pizarnik… Ces Poèmes, [cheville : « là » ?] de l’Arbre de Diane…
— Ces quoi ?
— Hein ? Non, rien, entre, fais comme chez toi.
— Victoria Ocampo, quarante-deux ans. Tu venais de fonder « Sur ». Mais pourquoi t’être payé le luxe de refuser tout prix [supprime tout court] d’entrer à l’Académie ?
— Comment ?
— María Luisa. Oui, qu’est-ce que tu es belle ! Je suppose que tu t’aimais trop, [point ?] je te comprends, je le sais. Je sais exactement ce que c’est [cheville : « que » ?] de vouloir tuer par amour.
— Emily, pourquoi seulement deux petites œuvres ? Pourquoi ?
¡Muchas gracias Ramiro!
J'hésite pour le "là", ça donne un ton péjoratif alors que les Poèmes sont en majuscules...
— Alejandra Pizarnik… Ces Poèmes, [cheville : « là » ?] de l’Arbre de Diane…
— Ces quoi ?
— Hein ? Non, rien, entre, fais comme chez toi.
— Victoria Ocampo, quarante-deux ans. Tu venais de fonder « Sur ». Mais pourquoi t’être payé le luxe de refuser d’entrer à l’Académie ?
— Comment ?
— María Luisa. Oui, qu’est-ce que tu es belle ! Je suppose que tu t’aimais trop. Je te comprends, je le sais. Je sais exactement ce que c’est que de vouloir tuer par amour.
— Emily, pourquoi seulement deux petites œuvres ? Pourquoi ?
— Alejandra Pizarnik… Ces Poèmes, de l’Arbre de Diane…
— Ces quoi ?
— Hein ? Non, rien, entre, fais comme chez toi.
— Victoria Ocampo, quarante-deux ans. Tu venais de fonder « Sur ». Mais pourquoi t’être payé le luxe de refuser d’entrer à l’Académie ?
— Comment ?
— María Luisa. Oui, qu’est-ce que tu es belle ! Je suppose que tu t’aimais trop. Je te comprends, je le sais. Je sais exactement ce que c’est que de vouloir tuer par amour.
— Emily, pourquoi seulement deux petites œuvres ? Pourquoi ?
OK.
De nada. Por otra parte,con relación a la traduccción. Le quitaría el adjetivo petites a deux petites œuvres, porque en el texto en español no se habla del tamaño de la obra, sino de la cantidad. Se agrega un sentido que en español no está explícito, ni tampoco sugerido. besos.
Me encanta su trabajo!!!!!
Muchas gracias Ramiro (otra vez), ¡voy a pensar en tu propuesta!
J'hésite par rapport à la proposition de Ramiro, j'avais ajouté "petites" pour insister, comme le "tan" espagnol, qu'en penses-tu, Caroline ?
Gracias otra vez, Ramiro ; a ver lo que opina Manon sobre « petites » ;-)
Ah, Manon, nos commentaires se sont croisés. Je comprends ton raisonnement… Étape 1 pour répondre : regarde le nombre de pages que font concrètement ces œuvres. Si elles sont volumineuses, la question est tranchée… car ce serait ridicule. Réponds à ça et on voit après.
OK, je n'ai pas regardé les Poèmes, mais rien que Les hauts de Hurlevent, c'est colossal... Pues sigo el consejo de Ramiro :)
— Alejandra Pizarnik… Ces Poèmes, de l’Arbre de Diane…
— Ces quoi ?
— Hein ? Non, rien, entre, fais comme chez toi.
— Victoria Ocampo, quarante-deux ans. Tu venais de fonder « Sur ». Mais pourquoi t’être payé le luxe de refuser d’entrer à l’Académie ?
— Comment ?
— María Luisa. Oui, qu’est-ce que tu es belle ! Je suppose que tu t’aimais trop. Je te comprends, je le sais. Je sais exactement ce que c’est que de vouloir tuer par amour.
— Emily, pourquoi seulement deux œuvres ? Pourquoi ?
Je corrige…
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