samedi 9 mai 2015

Projet Sabrina 3 – phrases 83-85

Y una vez extinguida, el niño se volvió hacia sus padres y el aya que, apiñados junto a la puerta abierta de par en par, no cabían en sí de admiración, sin saber si lo que habían visto era bueno o malo, feo o hermoso, amable o digno de rechazo, en fin, sumidos en la confusión. Sólo atinaron a recibir en sus brazos al niño que, en cuanto los vio, salió corriendo hacia ellos y cansado de tantas emociones se durmió al instante. Cerraron la puerta con serenidad inconcebible y tras ella ya no sé qué ocurrió.

Traduction temporaire :
Quand elle fut anéantie, l'enfant se tourna vers ses parents et sa gouvernante ; serrés près de la porte grande ouverte, ils ne pouvaient contenir leur étonnement, sans savoir si ce qu'ils avaient vu était bon ou mauvais, laid ou beau, digne d'être aimé ou rejeté ; bref, ils nageaient en pleine confusion. Ils ne furent capables que d'accueillir l'enfant à bras ouverts. Dès qu'il les vit, il se précipita vers eux et, épuisé par tant d'émotions, s'endormit aussitôt. Ils refermèrent la porte, incroyablement sereins ; derrière, je ne sais plus ce qui arriva.

10 commentaires:

Sabrina a dit…

Une fois qu'elle fut anéantie, l'enfant se tourna vers ses parents et sa gouvernante qui, collés près de la porte grande ouverte, ne pouvaient contenir leur admiration, sans savoir si ce qu'ils avaient vu était bon ou mauvais, laid ou beau, digne d'être aimé ou écarté ; finalement, ils nageaient en pleine confusion. Ils ne furent capables que d'accueillir l'enfant à bras ouverts. Dès qu'il les vit, il sortit en courant vers eux et épuisé par tant d'émotions, il s'endormit aussitôt. Ils refermèrent la porte, incroyablement sereins ; et derrière celle-ci, je ne sais plus ce qui arriva.

Tradabordo a dit…

Une fois qu'[« Quand » ?] elle fut anéantie, l'enfant se tourna vers ses parents et sa gouvernante qui, [ou on supprime ça et on met un point-virgule ?] collés [« entassés » ?] près de la porte grande ouverte, [« ils » ?] ne pouvaient contenir leur admiration [ou alors « étonnement » ?], sans savoir si ce qu'ils avaient vu était bon ou mauvais, laid ou beau, digne d'être aimé ou écarté [« rejeté » ?] ; finalement [« bref » ?], ils nageaient en pleine confusion. Ils ne furent capables que d'accueillir l'enfant à bras ouverts. Dès qu'il les vit, il sortit en courant vers eux [« se précipita vers eux » ?] et [virgule] épuisé par tant d'émotions, il s'endormit aussitôt. Ils refermèrent la porte, incroyablement sereins ; et [nécessaire ?] derrière celle-ci, je ne sais plus ce qui arriva.

Sabrina a dit…

- un grand oui à "quand", c'est 1000 fois mieux, merci :)
- "entassés près de la porte", je trouve ça bizarre
- dans "étonnement", il me semble qu'il n'y a pas la notion d'admiration. Et malgré tout, en lisant la suite de la phrase, il y a une indécision qui irait dans le sens d'"étonnement". Je ne sais pas trop...
- oui à tout le reste :)

Quand elle fut anéantie, l'enfant se tourna vers ses parents et sa gouvernante ; serrés près de la porte grande ouverte, ils ne pouvaient contenir leur admiration, sans savoir si ce qu'ils avaient vu était bon ou mauvais, laid ou beau, digne d'être aimé ou rejeté ; bref, ils nageaient en pleine confusion. Ils ne furent capables que d'accueillir l'enfant à bras ouverts. Dès qu'il les vit, il se précipita vers eux et, épuisé par tant d'émotions, il s'endormit aussitôt. Ils refermèrent la porte, incroyablement sereins ; derrière celle-ci, je ne sais plus ce qui arriva.

Tradabordo a dit…

Quand elle fut anéantie, l'enfant se tourna vers ses parents et sa gouvernante ; serrés près de la porte grande ouverte, ils ne pouvaient contenir leur admiration [mais justement, vu la suite, je ne suis pas certaine que ce ne soit pas l'étonnement // si tu veux, on peut demander à Elena. Qu'en penses-tu ?], sans savoir si ce qu'ils avaient vu était bon ou mauvais, laid ou beau, digne d'être aimé ou rejeté ; bref, ils nageaient en pleine confusion. Ils ne furent capables que d'accueillir l'enfant à bras ouverts. Dès qu'il les vit, il se précipita vers eux et, épuisé par tant d'émotions, il [nécessaire ?] s'endormit aussitôt. Ils refermèrent la porte, incroyablement sereins ; derrière celle-ci [nécessaire ?], je ne sais plus ce qui arriva.

Sabrina a dit…

Oui, je suis tout à fait d'accord. Comme je te le disais, la suite va dans le sens d'étonnement mais le mot-même m'en semble éloigné. Ok pour multiplier les avis et demander à Elena :).
On l'avait fait déjà mais je ne me souviens plus : je lui envoie un mail (j'aurais alors besoin de son adresse) ou tu lui fais signe pour qu'elle prenne part à nos échanges ici ?

Je suis pour enlever "ils" et "celle-ci".

Tradabordo a dit…

Je viens de t'envoyer son mail. Tu la contactes directement.

Sabrina a dit…

Je n'ai rien reçu, ni sur mon mail, ni sur facebook. Tu pourrais me le renvoyer stp ? Je la contacterai.

Tradabordo a dit…

C'est fait ! :-)

Sabrina a dit…

Elena confirme ce que tu disais, c'est bien "étonnement" ;).

Quand elle fut anéantie, l'enfant se tourna vers ses parents et sa gouvernante ; serrés près de la porte grande ouverte, ils ne pouvaient contenir leur étonnement, sans savoir si ce qu'ils avaient vu était bon ou mauvais, laid ou beau, digne d'être aimé ou rejeté ; bref, ils nageaient en pleine confusion. Ils ne furent capables que d'accueillir l'enfant à bras ouverts. Dès qu'il les vit, il se précipita vers eux et, épuisé par tant d'émotions, s'endormit aussitôt. Ils refermèrent la porte, incroyablement sereins ; derrière, je ne sais plus ce qui arriva.

Tradabordo a dit…

Quand elle fut anéantie, l'enfant se tourna vers ses parents et sa gouvernante ; serrés près de la porte grande ouverte, ils ne pouvaient contenir leur étonnement, sans savoir si ce qu'ils avaient vu était bon ou mauvais, laid ou beau, digne d'être aimé ou rejeté ; bref, ils nageaient en pleine confusion. Ils ne furent capables que d'accueillir l'enfant à bras ouverts. Dès qu'il les vit, il se précipita vers eux et, épuisé par tant d'émotions, s'endormit aussitôt. Ils refermèrent la porte, incroyablement sereins ; derrière, je ne sais plus ce qui arriva.

OK.