jeudi 11 octobre 2012

Les Lituma – phrase 74

Aquel final que ambos nos resistimos a creer pero hacia el cual nos precipitamos con nuestros silencios y también con nuestros gritos. Una mañana cuando regresé del trabajo ya no las encontré.

Traduction temporaire :
Fin à laquelle tous deux nous refusâmes de croire, mais où nous nous précipitâmes avec nos silences, et aussi avec nos cris. Un matin, lorsque je revins du travail, elles n'étaient plus là.

12 commentaires:

Sonita a dit…

Cette fin que tous deux nous refusâmes de croire mais vers laquelle nous nous sommes précipités avec nos silences et aussi nos cris. Un matin, en revenant du travail, je ne les retrouvai plus là.

Tradabordo a dit…

Passe par « à laquelle ».

Sonita a dit…

Cette fin que tous deux nous refusâmes de croire mais à laquelle nous nous sommes précipités avec nos silences et aussi nos cris. Un matin, en revenant du travail, je ne les retrouvai plus là.

Tradabordo a dit…

Cette fin que tous deux nous refusâmes de croire mais à laquelle nous nous sommes précipités avec nos silences et aussi nos cris. Un matin, en revenant du travail, je ne les retrouvai plus là.

Ah non, « à laquelle » était pour le début.

Sonita a dit…

Fin à laquelle tous deux nous refusâmes de croire mais c'est vers elle que nous nous sommes précipités avec nos silences et aussi nos cris. Un matin, en revenant du travail, je ne les retrouvai plus là.

***
J'ai un peu réécrit "hacia el cual" afin d'éviter la répétition de "laquelle".

Tradabordo a dit…

Fin à laquelle tous deux nous refusâmes de croire [virgule] mais c'est vers elle [très maladroit. Fais simple : « où »] que nous nous sommes précipités avec nos silences [virgule] et aussi [avec] nos cris. Un matin, en revenant du travail, je ne les retrouvai plus là [dernière phrase à reprendre… Peu naturelle].

Sonita a dit…

Fin à laquelle tous deux nous refusâmes de croire, mais où nous nous sommes précipités avec nos silences, et aussi avec nos cris. Un matin, en revenant du travail, elles n'étaient plus là.

Tradabordo a dit…

Fin à laquelle tous deux nous refusâmes de croire, mais où nous nous sommes précipités avec nos silences, et aussi avec nos cris. Un matin, en revenant du travail [je crois qu'il vaut mieux dire que c'est lui], elles n'étaient plus là.

Sonita a dit…

Fin à laquelle tous deux nous refusâmes de croire, mais où nous nous sommes précipités avec nos silences, et aussi avec nos cris. Un matin, lorsque je revenai du travail, elles n'étaient plus là.

Tradabordo a dit…

Fin à laquelle tous deux nous refusâmes de croire, mais où nous nous sommes précipités avec nos silences, et aussi avec nos cris. Un matin, lorsque je revenai du travail, elles n'étaient plus là.

Au fait pb de temps : ton premier verbe est au passé simple et l'autre au passé composé… Or en trad, il faut systématiser ; c'est l'un ou l'autre. On était à quel temps jusque-là ?

« REVENAI » ; grammaire !!!!!!!!!

Sonita a dit…

On a utilisé le passé simple pour le temps du récit.
Oui, je me tape sur les doigts !!!!

***
Fin à laquelle tous deux nous refusâmes de croire, mais où nous nous précipitâmes avec nos silences, et aussi avec nos cris. Un matin, lorsque je revins du travail, elles n'étaient plus là.

Justine a dit…

Fin à laquelle tous deux nous refusâmes de croire, mais où nous nous précipitâmes avec nos silences, et aussi avec nos cris. Un matin, lorsque je revins du travail, elles n'étaient plus là.