Cuando alguien busca dejar atrás el pasado, de nada sirve la distancia física, los miles de kilómetros que separan a un continente del otro, si el recuerdo de esa persona nos perseguirá, al final de una calle, en el perfil de una desconocida, en nuestros sueños.
Traduction temporaire :
Quand quelqu’un cherche à laisser son passé derrière lui, la distance physique, les milliers de kilomètres qui séparent un continent de l’autre ne servent à rien si le souvenir de cette personne nous poursuit, au coin d’une rue, dans le visage d’une inconnue, jusque dans nos rêves.
Quand quelqu’un cherche à laisser son passé derrière lui, la distance physique, les milliers de kilomètres qui séparent un continent de l’autre ne servent à rien si le souvenir de cette personne nous poursuit, au coin d’une rue, dans le visage d’une inconnue, jusque dans nos rêves.
18 commentaires:
Quand quelqu’un cherche à laisser son passé derrière lui, la distance physique, les milliers de kilomètres qui séparent un continent de l’autre ne servent à rien si le souvenir de cette personne nous poursuivra, au bout d’une rue, dans le visage d’une inconnue, dans nos rêves.
Quand quelqu’un cherche à laisser son passé derrière lui, la distance physique, les milliers de kilomètres qui séparent un continent de l’autre ne servent à rien si le souvenir de cette personne nous poursuit, au coin d’une rue, dans la silhouette d’une inconnue, jusque dans nos rêves.
1) « silhouette » ou « visage » ?
Quand quelqu’un cherche à laisser son passé derrière lui, la distance physique, les milliers de kilomètres qui séparent un continent de l’autre ne servent à rien si le souvenir de cette personne nous poursuit, au coin d’une rue, dans le visage d’une inconnue, jusque dans nos rêves.
Quand quelqu’un cherche à laisser son passé derrière lui, la distance physique, les milliers de kilomètres qui séparent un continent de l’autre ne servent à rien si le souvenir de cette personne nous poursuit, au coin d’une rue, dans le visage d’une inconnue, jusque dans nos rêves.
Tu as vérifié pour « perfil » ?
Pour "perfil", j'ai regardé à nouveau dans le DRAE, et voici ce qu'il nous dit :
perfil.
(Del prov. perfil, dobladillo).
1. m. Postura en que no se deja ver sino una sola de las dos mitades laterales del cuerpo.
2. m. Conjunto de rasgos peculiares que caracterizan a alguien o algo.
3. m. Cada una de las rayas delgadas que se hacen con la pluma llevada de manera conveniente.
4. m. Adorno sutil y delicado, especialmente el que se pone al canto o extremo de algo.
5. m. Geom. Figura que representa un cuerpo cortado real o imaginariamente por un plano vertical.
6. m. Ingen. Barra metálica obtenida por laminación, forja, estampación o estirado cuya sección transversal tiene diversas formas, tales como simples tes, dobles tes, cuadradas, redondas, rectangulares, triangulares, etc.
7. m. Pint. Contorno aparente de la figura, representado por líneas que determinan la forma de aquella.
8. m. pl. Complementos y retoques con que se remata una obra u otra cosa.
9. m. pl. Miramientos en la conducta o en el trato social.
***
Étant donné notre contexte, un homme obsedé par le souvenir de son ex-femme, il m'a semblé que la 2è acceptation du mot "perfil" est celle qui va le mieux ici. Car lorsque l'on est obsédé par quelqu'un, normalement, on croit voir son visage partout, non ?
Je propose donc de garder "visage".
Quand quelqu’un cherche à laisser son passé derrière lui, la distance physique, les milliers de kilomètres qui séparent un continent de l’autre ne servent à rien si le souvenir de cette personne nous poursuit, au coin d’une rue, dans le visage d’une inconnue, jusque dans nos rêves.
C'est bien « silhouette » dans ce contexte, j'ai re-consulté le Drae et wordreference, mais vu ta question, je pensais m'être trompée.
Quand quelqu’un cherche à laisser son passé derrière lui, la distance physique, les milliers de kilomètres qui séparent un continent de l’autre ne servent à rien si le souvenir de cette personne nous poursuit, au coin d’une rue, dans la silhouette d’une inconnue, jusque dans nos rêves.
Aïe aïe aïe… Il va falloir vous mettre d'accord, jeunes traductrices ;-)
Moi, je vous laisse trancher.
J'ai déjà mis mon argument pour "défendre", pour ainsi dire, le choix de "visage"... Attendons de voir que nous dit Justine pour faire valoir sa "silhouette". :P
Quel suspens !!!!!!
Vous voulez qu'on demande à Elena, notre amie argentine à l'œil acéré de faire pencher la balance dans un sens ou dans l'autre ?
Oui, bonne idée !
Elena ! Elena ! Elena !
Je viens d'envoyer le mail ;-)
Hola :
Je pense que dans ce cas, je le traduirais volontiers par "visage".
Bon, 2 contre 1… ;-)
Merci beaucoup, Elena. Tu finis par endosser le rôle de sage au pied d'un arbre plusieurs fois centenaire…
Mettez-moi la version définitive, svp.
Merci ebaucoup, Elena !
***
Quand quelqu’un cherche à laisser son passé derrière lui, la distance physique, les milliers de kilomètres qui séparent un continent de l’autre ne servent à rien si le souvenir de cette personne nous poursuit, au coin d’une rue, dans le visage d’une inconnue, jusque dans nos rêves.
Quand quelqu’un cherche à laisser son passé derrière lui, la distance physique, les milliers de kilomètres qui séparent un continent de l’autre ne servent à rien si le souvenir de cette personne nous poursuit, au coin d’une rue, dans le visage d’une inconnue, jusque dans nos rêves.
Justine ?
;-)))
Bonne continuation !
Quand quelqu’un cherche à laisser son passé derrière lui, la distance physique, les milliers de kilomètres qui séparent un continent de l’autre ne servent à rien si le souvenir de cette personne nous poursuit, au coin d’une rue, dans le visage d’une inconnue, jusque dans nos rêves.
OK, merci Elena !
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