La nacionalidad puede ser un accidente pero, en ocasiones nos entrega a los hombres algo parecido a la camaradería, una excusa para engañar a la soledad.
Traduction temporaire :
Si la nationalité peut être un accident de parcours, en certaines occasions, elle nous offre, à nous, les hommes, quelque chose de très proche à de la camaraderie, une excuse pour tromper la solitude.
Si la nationalité peut être un accident de parcours, en certaines occasions, elle nous offre, à nous, les hommes, quelque chose de très proche à de la camaraderie, une excuse pour tromper la solitude.
16 commentaires:
La nationalité peut être un accident mais, à certaines occasions, elle nous remet aux hommes quelque chose de ressemblant à une camaraderie, une excuse pour tromper la solitude.
La nationalité peut être un accident mais, en certaines occasions, elle nous remet à nous, les hommes, quelque chose de ressemblant à de la camaraderie, une excuse pour tromper la solitude.
La nationalité peut être un accident mais, à certaines occasions nous rend, à nous les hommes, quelque chose ressemblant à une camaraderie, une excuse pour tromper la solitude.
La nacionalidad puede ser un accidente pero, en ocasiones nos entrega a los hombres algo parecido a la camaradería, una excusa para engañar a la soledad.
Commencez par « Si »
Si la nationalité peut être un accident, à certaines occasions, elle nous remet aux hommes quelque chose de ressemblant à une camaraderie, une excuse pour tromper la solitude.
La nacionalidad puede ser un accidente pero, en ocasiones nos entrega a los hombres algo parecido a la camaradería, una excusa para engañar a la soledad.
Si la nationalité peut être un accident [ce serait mieux avec un adjectif], à certaines occasions [mal dit], elle nous remet [« remettre » ne va pas du tout] aux hommes quelque chose de ressemblant [« quelque chose de ressemblant » ; un peu maladroit] à une [DE LA] camaraderie, une excuse pour tromper la solitude.
Si la nationalité peut être un accident de parcours, en certaines occasions, elle nous délivre aux hommes quelque chose de très proche à de la camaraderie, une excuse pour tromper la solitude.
La nacionalidad puede ser un accidente pero, en ocasiones nos entrega a los hombres algo parecido a la camaradería, una excusa para engañar a la soledad.
Si la nationalité peut être un accident de parcours, en certaines occasions, elle nous délivre aux hommes [« elle nous délivre aux hommes » ?] quelque chose de très proche à de la camaraderie, une excuse pour tromper la solitude.
Si la nationalité peut être un accident de parcours, en certaines occasions, elle nous délivre, à nous, les hommes, quelque chose de très proche à de la camaraderie, une excuse pour tromper la solitude.
Si la nationalité peut être un accident de parcours, en certaines occasions, elle nous délivre, à nous, les hommes, quelque chose de très proche à de la camaraderie, une excuse pour tromper la solitude.
« délivre » ne va pas.
Si la nationalité peut être un accident de parcours, en certaines occasions, elle nous confie, à nous, les hommes, quelque chose de très proche à de la camaraderie, une excuse pour tromper la solitude.
Avec « offrir ».
Si la nationalité peut être un accident de parcours, en certaines occasions, elle nous offre, à nous, les hommes, quelque chose de très proche à de la camaraderie, une excuse pour tromper la solitude.
OK. Comme je ne pense pas que ça fasse polémique, j'enregistre la phrase ainsi.
Le texte est long, avançons.
D'accord ! Au boulot !
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