samedi 20 octobre 2012

Les Lituma – phrase 98

Con una buena borrachera nos acercaríamos más, pero también nos entregaríamos un reconocimiento mutuo, el mismo que la ciudad, las personas y el idioma nos rechazaban.

Traduction temporaire :
Avec une bonne cuite, nous nous rapprocherions davantage, nous nous accorderions aussi une reconnaissance mutuelle, celle-là même que la ville, les personnes et la langue nous refusaient. 

7 commentaires:

Sonita a dit…

Avec une bonne cuite, nous nous rapprocherions davantage, mais nous nous donnerions aussi une reconnaissance mutuelle, celle-là même que la ville, les personnes et la langue nous refusait.

Elodie a dit…

Avec une bonne cuite, nous nous rapprocherions davantage, mais nous nous livrerions aussi une reconnaissance mutuelle, celle-là même que la ville, les personnes et la langue nous refusaient.

Tradabordo a dit…

« Avec une bonne cuite, nous nous rapprocherions davantage, » = OUI.

Après, je ne suis pas certaine que « mais » soit adapté.

Oui pour « refusaient » au pluriel ;-)

Justine a dit…

Avec une bonne cuite, nous nous rapprocherions davantage, nous nous accorderions aussi une reconnaissance mutuelle, celle-là même que la ville, les personnes et la langue nous refusaient.

Elodie a dit…

Avec une bonne cuite, nous nous rapprocherions davantage, par conséquent, nous nous livrerions aussi une reconnaissance mutuelle, celle-là même que la ville, les personnes et la langue nous refusaient.


"Aussi" est-il nécéessaire?

Sonita a dit…

Je penche pour la proposition de Justine.

***
Avec une bonne cuite, nous nous rapprocherions davantage, nous nous accorderions aussi une reconnaissance mutuelle, celle-là même que la ville, les personnes et la langue nous refusaient.

Tradabordo a dit…

OK.