vendredi 12 octobre 2012

Les Lituma – phrases 76-77

Inútil buscarlas o llamarlas, esta vez no habría segunda oportunidad. Cuando subí al tren que me regresaría a París me dije que sería muy difícil, apartar su recuerdo a los márgenes, como si fuese algo accesorio que uno arrima sin fastidios ni remordimientos.

Traduction temporaire :
Inutile de les chercher ou de les appeler,  cette fois-là,  il n’y aurait pas de seconde chance. Lorsque je montai dans le train qui me ramènerait à Paris, je songeai qu'il serait très difficile de repousser son souvenir dans les marges, comme s’il s’agissait d’un simple accessoire que l’on abandonne dans un coin sans états d'âme, ni regrets.

7 commentaires:

Sonita a dit…

Il était inutile de les chercher ou de les appeler, cette fois-ci, il n’y aurait pas de deuxième chance.
Lorsque je montai dans le train qui ramènerait de retour à Paris, je me dis que ce serait très difficile de pousser son souvenir dans les marges, comme s’il s’agissait d’un simple accessoire que l’on met dans un coin sans anicroches, ni regrets.

Tradabordo a dit…

« fois-là »… car au passé.
« seconde » à la place de « deuxième », puisque c'est la dernière.
« ramènerait de retour à Paris » ; redondant.
« de pousser son souvenir dans les marges » ; maladroit.
« met » ; trouve un verbe plus intéressant.
« anicroches » ; FS ici.

Sonita a dit…

Il était inutile de les chercher ou de les appeler, cette fois-là, il n’y aurait pas de seconde chance.
Lorsque je montai dans le train qui ramènerait à Paris, je me dis que ce serait très difficile de repousser son souvenir dans les marges, comme s’il s’agissait d’un simple accessoire que l’on abandonne dans un coin sans problèmes, ni regrets.

Tradabordo a dit…

Il était [On devrait supprimer jusque-là] inutile de les chercher ou de les appeler, cette fois-là, il n’y aurait pas de seconde chance.
Lorsque je montai dans le train qui [me] ramènerait à Paris, je me dis [songeai] que ce [qu'il] serait très difficile de repousser son souvenir dans les marges, comme s’il s’agissait d’un simple accessoire que l’on abandonne dans un coin sans problèmes [états d'âme], ni regrets.

Sonita a dit…

Inutile de les chercher ou de les appeler, cette fois-là, il n’y aurait pas de seconde chance.
Lorsque je montai dans le train qui me ramènerait à Paris, je songeai qu'il serait très difficile de repousser son souvenir dans les marges, comme s’il s’agissait d’un simple accessoire que l’on abandonne dans un coin sans états d'âme, ni regrets.

Tradabordo a dit…

Inutile de les chercher ou de les appeler, cette fois-là, il n’y aurait pas de seconde chance.
Lorsque je montai dans le train qui me ramènerait à Paris, je songeai qu'il serait très difficile de repousser son souvenir dans les marges, comme s’il s’agissait d’un simple accessoire que l’on abandonne dans un coin sans états d'âme, ni regrets.

OK.

Validation d'une autre Lituma, svp.

Justine a dit…

nutile de les chercher ou de les appeler, cette fois-là, il n’y aurait pas de seconde chance.
Lorsque je montai dans le train qui me ramènerait à Paris, je songeai qu'il serait très difficile de repousser son souvenir dans les marges, comme s’il s’agissait d’un simple accessoire que l’on abandonne dans un coin sans états d'âme, ni regrets.

OK.