Noche tras noche tuviste el mismo sueño. Estabas solo en un pueblo desconocido y por algún motivo sabías que el lugar quedaba fuera del valle, más allá del muro y de las cercas de alambre de púas. Ellos te miraban con los ojos desorbitados e inyectados de sangre.
Traduction temporaire :
Tu fis le même rêve, nuit après nuit : tu étais seul dans un village inconnu et, qui sait pour quelle raison, tu étais persuadé que c'était en dehors de la vallée, au-delà du mur et des clôtures barbelées. Eux, ils te regardaient avec leurs yeux exorbités et injectés de sang.
Tu fis le même rêve, nuit après nuit : tu étais seul dans un village inconnu et, qui sait pour quelle raison, tu étais persuadé que c'était en dehors de la vallée, au-delà du mur et des clôtures barbelées. Eux, ils te regardaient avec leurs yeux exorbités et injectés de sang.
12 commentaires:
Nuit après nuit tu as eu le même rêve. Tu étais seul dans un village étranger et, pour une raison ou une autre, tu savais que l’endroit se situait en dehors de la vallée, au-delà du mur et des clôtures en fil barbelé. Eux, ils te regardaient avec les yeux désorbités et injectés de sang.
Euh, passé composé ou pas ?
« Nuit après nuit tu as eu le même rêve. » ; inverse la syntaxe.
Passé simple.
Deux points ?
« étranger » ; pourquoi pas la trad littérale ?
« tu savais que l’endroit se situait en dehors de la vallée, » ; manque de naturel… J'ai l'impression que c'est à cause de « l'endroit », mais je ne suis pas certaine…
« clôture de barbelés ».
« les yeux » ; « leurs yeux ».
+ Corrige la fin… Incorrect.
Tu fis le même rêve nuit après nuit. Tu étais seul dans un village inconnu et, pour une raison ou une autre, tu savais que c'était en dehors de la vallée, au-delà du mur et des clôtures de barbelés. Eux, ils te regardaient avec leurs yeux injectés de sang qui sortaient des orbites.
Mmmmh...
Tu fis le même rêve nuit après nuit : [deux points ; cf commentaire précédent] tu étais seul dans un village inconnu et, pour une raison ou une autre [« qui sait pour quelle raison » ?, tu savais que c'était en dehors de la vallée, au-delà du mur et des clôtures de [pas besoin] barbelés [ées]. Eux, ils te regardaient avec leurs yeux injectés de sang qui sortaient des orbites [reviens à la V.O. pour la fin].
Tu fis le même rêve nuit après nuit : tu étais seul dans un village inconnu et, qui sait pour quelle raison, tu savais que c'était en dehors de la vallée, au-delà du mur et des clôtures barbelées]. Eux, ils te regardaient avec leurs yeux désorbités et injectés de sang.
Pour la fin, je ne trouve pas d'autre solution…
Tu fis le même rêve nuit après nuit : tu étais seul dans un village inconnu et, qui sait pour quelle raison, tu savais que c'était en dehors de la vallée, au-delà du mur et des clôtures barbelées]. Eux, ils te regardaient avec leurs yeux désorbités et injectés de sang.
C'est « désorbités » qui ne va pas.
Tu fis le même rêve nuit après nuit : tu étais seul dans un village inconnu et, qui sait pour quelle raison, tu savais que c'était en dehors de la vallée, au-delà du mur et des clôtures barbelées. Eux, ils te regardaient avec des yeux exorbités et injectés de sang.
Pfff, ce dernier temps, je me fais avoir par les faux amis !
Tu fis le même rêve nuit après nuit : tu étais seul dans un village inconnu et, qui sait pour quelle raison, tu savais que c'était en dehors de la vallée, au-delà du mur et des clôtures barbelées. Eux, ils te regardaient avec leurs yeux exorbités et injectés de sang.
Tu fis le même rêve nuit après nuit : tu étais seul dans un village inconnu et, qui sait pour quelle raison, tu savais que c'était en dehors de la vallée, au-delà du mur et des clôtures barbelées. Eux, ils te regardaient avec leurs yeux exorbités et injectés de sang.
Je te propose :
Tu fis le même rêve, nuit après nuit : tu étais seul dans un village inconnu et, qui sait pour quelle raison, tu était persuadé que c'était en dehors de la vallée, au-delà du mur et des clôtures barbelées. Eux, ils te regardaient avec leurs yeux exorbités et injectés de sang.
OK ?
Tu fis le même rêve, nuit après nuit : tu étais seul dans un village inconnu et, qui sait pour quelle raison, tu était persuadé que c'était en dehors de la vallée, au-delà du mur et des clôtures barbelées. Eux, ils te regardaient avec leurs yeux exorbités et injectés de sang.
OK.
oui, avec "étais", bien sûr:
Tu fis le même rêve, nuit après nuit : tu étais seul dans un village inconnu et, qui sait pour quelle raison, tu étais persuadé que c'était en dehors de la vallée, au-delà du mur et des clôtures barbelées. Eux, ils te regardaient avec leurs yeux exorbités et injectés de sang.
Tu fis le même rêve, nuit après nuit : tu étais seul dans un village inconnu et, qui sait pour quelle raison, tu étais persuadé que c'était en dehors de la vallée, au-delà du mur et des clôtures barbelées. Eux, ils te regardaient avec leurs yeux exorbités et injectés de sang.
OK !
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