mercredi 10 octobre 2012

Projet Nadia – phrases 3-4

No, absolutamente, no pienso como él. Mientras recuerdes estas vivo, mientras recuerdes tienes patria y este cordón umbilical tinto en sangre y lagrimas, que te une a tu origen y a tu tierra, no por menos visible es menos tangible y funcional.

Traduction temporaire :
Non,  absolument pas,  je ne pense pas comme lui. Tant que tu te rappelles, tu es vivant, tant que tu te rappelles, tu as une patrie,  et ce n'est pas parce que ce cordon ombilical taché de sang et de larmes qui t’unit à tes origines et à ton pays est moins visible qu’il est moins tangible et moins fonctionnel.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Non, je ne pense pas, absolument pas, comme lui. Tant que tu te souviens, tu es vivant, tant que tu te souviens, tu as une patrie, et ce n'est pas parce que ce cordon ombilical, teinté de sang et de larmes qui t’unit à tes origines et à ton pais, est moins visible, qu’il est moins tangible et moins fonctionnel.

Tradabordo a dit…

1) « Non, je ne pense pas, absolument pas, comme lui. » ; en changeant la syntaxe tu as modifié le sens. Reviens à la V.O.

2) J'hésite pour le « tu » que tu as utilisé ensuite.
Est-ce une adresse à lui-même ou au lecteur ou alors une généralisation ?

3) « recordar » = se rappeler… Du moins en théorie. Qu'en penses-tu ici ?

4) Pour la suite, reviens à la V.O. Pour un premier jet, tu dois impérativement le faire… On verra ça ensuite.

Unknown a dit…

Non, absolument pas, je ne pense pas comme lui. Tant que tu te rappelles, tu es vivant, tant que tu te rappelles, tu as une patrie et ce cordon ombilical, teinté de sang et de larmes qui t’unit à tes origines et à ton pays, ce n'est pas parce qu'il est moins visible, qu’il est moins tangible et moins fonctionnel.

Tradabordo a dit…

Non, absolument pas [ou « pas du tout » ? Je te laisse trancher], je ne pense pas comme lui. Tant que tu te rappelles, tu es vivant, tant que tu te rappelles, tu as une patrie [virgule ?] et ce cordon ombilical, teinté [taché ?] de sang et de larmes qui t’unit à tes origines et à ton pays, ce n'est pas parce qu'il est moins visible [déplace ce morceau dans la phrase… pour recomposer un peu la syntaxe ; ce sera plus naturel], qu’il est moins tangible et moins fonctionnel.

Unknown a dit…

Non, absolument pas, je ne pense pas comme lui. Tant que tu te rappelles, tu es vivant, tant que tu te rappelles, tu as une patrie, et ce n'est pas parce que cordon ombilical, taché de sang et de larmes qui t’unit à tes origines et à ton pays, est moins visible qu’il est moins tangible et moins fonctionnel.

1)Je pense effectivement que "taché de sang et de larmes" est plus approprié si on tient compte de l'expérience de l'auteur dont le départ du Chili correspond avec l'arrivée au pouvoir de Pinochet.

2) Pour l'utilisation du "tu", c'est vrai qu'on pourrait utiliser "on", au début ça va: on se souvient etc, mais après avec "qui t'unit"? ( qui unit un exilé à ses origines?)

3) J'ai tranché pour "absolument pas", histoire de trancher...

Tradabordo a dit…

Non, absolument pas, je ne pense pas comme lui. Tant que tu te rappelles, tu es vivant, tant que tu te rappelles, tu as une patrie, et ce n'est pas parce que ce cordon ombilical taché de sang et de larmes qui t’unit à tes origines et à ton pays est moins visible qu’il est moins tangible et moins fonctionnel.

J'ai fait quelques modifs de ponctuation…

J'ai une dernière question et ce sera bon : ajoute-t-on la cheville « pour autant » à la fin ou cela te semble-t-il inutile ?

Unknown a dit…

La phrase qui suit commence par :por lo demas, je ne sais pas encore comment je vais la traduire mais si je mets la cheville "pour autant" juste avant, ça va peut-être me bloquer donc je ne vais pas la mettre.

Tradabordo a dit…

OK… De toute façon, il sera toujours temps d'y revenir au moment de la relecture.

Je te mets la suite.