Pour le projet de traduction des nouvelles inédites de Carlos Droguett mené dans le cadre du Master 2 pro « métiers de la traduction » de Bordeaux 3, Nancy a choisi « El hombre de pólvora ».
EL HOMBRE DE LA POLVORA
(tu verras si tu es déjà en mesure de traduire le titre)
Cuando ella lo besó aquella tarde, ¡tu boca, tiene gusto a pólvora!, le dijo y él, distraído y, deseoso, mirando la boca de ella, se rió. Siempre, recordaría después aquella risa.
Traduction temporaire :
Quand elle l'embrassa, ce soir-là, « ta bouche a le goût de la poudre ! », lui dit-elle, et lui, distrait et brûlant de désir, en lui regardant la bouche, se mit à rire. Il se souviendrait toujours, par la suite, de cet éclat de rire.
Traduction temporaire :
Quand elle l'embrassa, ce soir-là, « ta bouche a le goût de la poudre ! », lui dit-elle, et lui, distrait et brûlant de désir, en lui regardant la bouche, se mit à rire. Il se souviendrait toujours, par la suite, de cet éclat de rire.
8 commentaires:
L'homme en poudre
Quand elle lui donna un baiser ce soir-là, elle lui dit: « ta bouche a le goût de la poudre! », et lui, distrait et embrasé, regardant sa bouche, se mit à rire. Il se souviendrait toujours de cet éclat de rire ensuite.
Pour le titre :
J'ai quand même un doute… Sur le sens, j'hésite (pour le coup, j'ai vraiment besoin qu'on se familiarise davantage avec le texte) ; mais pas sur la formulation, qui produit un effet plus que curieux et qu'il faudra revoir.
1) Pourquoi « donner un baiser » et pas « embrassa » ?
2) Garde la syntaxe espagnole ; c'est extrêmement important ici.
3) Espace avant les deux points.
4) Espace avant le point d'exclamation.
5) Une autre solution qu' « embrasé » ?
6) Un moyen de rendre « la boca de ella »… car il y a renversement : « TA bouche » / « SA bouche » ?
7) Le « ensuite » est à travailler… Peut-être avec une ou deux chevilles ; je ne sais pas.
En effet, c'était une proposition pour le titre mais il vaut mieux attendre pour le traduire.
Quand elle l'embrassa ce soir-là, « ta bouche a le goût de la poudre ! », lui dit-elle, et lui, distrait et attiré, lui regardant la sienne, se mit à rire. Plus tard, il se souviendrait toujours de cet éclat de rire.
Quand elle l'embrassa [une virgule ?] ce soir-là, « ta bouche a le goût de la poudre ! », lui dit-elle, et lui, distrait et attiré (je crois qu'il faut vraiment placer le mot « désir » ou un dérivé), lui regardant la sienne (il y a la répétition ; il faut donc que tu la fasses aussi en français), se mit à rire. Plus tard, il se souviendrait toujours de cet éclat de rire (je me demande si la curieuse syntaxe de la V.O. n'était pas volontaire… Donne-moi ton avis).
Quand elle l'embrassa, ce soir-là, « ta bouche a le goût de la poudre ! », lui dit-elle, et lui, distrait et brûlant de désir, en regardant la bouche de celle-ci, se mit à rire. Il se souviendrait toujours, par la suite, de cet éclat de rire. (oui le fait de garder la structure espagnole anticipe la suite du texte)
Quand elle l'embrassa, ce soir-là, « ta bouche a le goût de la poudre ! », lui dit-elle, et lui, distrait et brûlant de désir, en regardant la bouche de celle-ci, se mit à rire. Il se souviendrait toujours, par la suite, de cet éclat de rire.
« , en regardant la bouche de celle-ci » ou « en lui regardant la bouche » ?
Quand elle l'embrassa, ce soir-là, « ta bouche a le goût de la poudre ! », lui dit-elle, et lui, distrait et brûlant de désir, en lui regardant la bouche, se mit à rire. Il se souviendrait toujours, par la suite, de cet éclat de rire.
Ok… Ça me semble bien.
J'enregistre et je te mets la suite.
Enregistrer un commentaire