mercredi 31 décembre 2014

Projet Hélène 2 – phrases 178-182

Qué más da pensarlo si vuelvo a mirar atrás ahora, y en el sitio del que partimos solo hay casas diminutas que no tardan en desaparecer, sombrillas abiertas como las branquias de un gran pez respirando oculto bajo los maxilares de una ola que lo engulle. Algunos niños montan cocodrilos, y a un kilómetro del mar flotan neumáticos como náufragos sostenidos por milagrosas boyas. El mar continúa ahí. Sus lenguas. Sus significados. 

Traduction temporaire :
À quoi bon y penser, sachant qu'en me retournant, je ne vois à présent, là où nous avons embarqué, que des maisons décrépites, qui ne vont pas tarder pas à disparaître, des parasols ouverts comme les branchies d’un grand poisson respirant, caché sous les maxillaires d’une vague qui l’engloutit. Certains enfants montent sur des crocodiles, et à un kilomètre de la mer, comme des naufragés soutenus par de miraculeuses bouées, flottent des pneus. La mer est toujours là. Ses langues. Ses significations.  

8 commentaires:

Hélène a dit…

À quoi bon y penser si en me retournant de nouveau, là où nous avons embarqué, il n’y a plus à présent que des maisons diminuées, qui ne vont pas tarder pas à disparaître, des parasols ouverts comme les branchies d’un grand poisson respirant caché sous les maxillaires d’une vague, qui l’engloutit. Quelques enfants montent sur des crocodiles, et à un kilomètre de la mer flottent des pneus, naufragés soutenus par de miraculeuses bouées. La mer est toujours là. Ses langues. Ses signifiés.

Tradabordo a dit…

À quoi bon y penser si en me retournant de nouveau, là où nous avons embarqué, il n’y a plus à présent que des maisons diminuées [?], qui ne vont pas tarder pas à disparaître, des parasols ouverts comme les branchies d’un grand poisson respirant caché [? Manque de ponctuation ? En tout cas « respirer caché » ça mérite un coup de dent de…………… ah bah tiens, de crocodile] sous les maxillaires d’une vague, qui l’engloutit. Quelques [« Certains » ?] enfants montent sur des crocodiles, et à un kilomètre de la mer [virgule] flottent des pneus, [trop raccourci ici… Un autre tic à l'horizon ?????] naufragés soutenus par de miraculeuses bouées. La mer est toujours là. Ses langues. Ses signifiés [« significations » ?].

Hélène a dit…

À quoi bon y penser si en me retournant de nouveau, là où nous avons embarqué, il n’y a plus à présent que des maisons décrépites, qui ne vont pas tarder pas à disparaître, des parasols ouverts comme les branchies d’un grand poisson respirant, caché sous les maxillaires d’une vague, qui l’engloutit. Certains enfants montent sur des crocodiles, et à un kilomètre de la mer, flottent des pneus, comme des naufragés soutenus par de miraculeuses bouées. La mer est toujours là. Ses langues. Ses significations.

Tradabordo a dit…

À quoi bon y penser si [« sachant qu' » ?] en me retournant de nouveau [redondant, non ?], là où nous avons embarqué [placé après « à présent » pour éviter les ambiguïtés], il n’y a plus à présent que des maisons décrépites, qui ne vont pas tarder pas à disparaître, des parasols ouverts comme les branchies d’un grand poisson respirant, caché sous les maxillaires d’une vague, [virgule ?] qui l’engloutit. Certains enfants montent sur des crocodiles, et à un kilomètre de la mer, flottent des pneus, comme des naufragés soutenus par de miraculeuses bouées. La mer est toujours là. Ses langues. Ses significations.

Hélène a dit…

À quoi bon y penser sachant qu'en me retournant, je ne vois à présent, là où nous avons embarqué, que des maisons décrépites, qui ne vont pas tarder pas à disparaître, des parasols ouverts comme les branchies d’un grand poisson respirant, caché sous les maxillaires d’une vague, qui l’engloutit. Certains enfants montent sur des crocodiles, et à un kilomètre de la mer, flottent des pneus, comme des naufragés soutenus par de miraculeuses bouées. La mer est toujours là. Ses langues. Ses significations.

Tradabordo a dit…

À quoi bon y penser [virgule ?] sachant qu'en me retournant, je ne vois à présent, là où nous avons embarqué, que des maisons décrépites, qui ne vont pas tarder pas à disparaître, des parasols ouverts comme les branchies d’un grand poisson respirant, caché sous les maxillaires d’une vague, [sans la virgule] qui l’engloutit. Certains enfants montent sur des crocodiles, et à un kilomètre de la mer, flottent des pneus [inverse], comme des naufragés soutenus par de miraculeuses bouées. La mer est toujours là. Ses langues. Ses significations.

Hélène a dit…

À quoi bon y penser, sachant qu'en me retournant, je ne vois à présent, là où nous avons embarqué, que des maisons décrépites, qui ne vont pas tarder pas à disparaître, des parasols ouverts comme les branchies d’un grand poisson respirant, caché sous les maxillaires d’une vague qui l’engloutit. Certains enfants montent sur des crocodiles, et à un kilomètre de la mer, comme des naufragés soutenus par de miraculeuses bouées, flottent des pneus. La mer est toujours là. Ses langues. Ses significations.

Tradabordo a dit…

À quoi bon y penser, sachant qu'en me retournant, je ne vois à présent, là où nous avons embarqué, que des maisons décrépites, qui ne vont pas tarder pas à disparaître, des parasols ouverts comme les branchies d’un grand poisson respirant, caché sous les maxillaires d’une vague qui l’engloutit. Certains enfants montent sur des crocodiles, et à un kilomètre de la mer, comme des naufragés soutenus par de miraculeuses bouées, flottent des pneus. La mer est toujours là. Ses langues. Ses significations.

OK.