mardi 16 décembre 2014

Projet Justine / Coralie – phrases 44-45

A veces creemos que hicimos algo novedoso, creemos que estamos fundando el nuevo, estilo del siglo y lo que estamos es reescribiendo lo que ya se ha hecho en otro país, en otra época o por otra generación, quizás por tu vecino o tu padre, y no le has prestado atención.
Mi grabadora seguía grabando y yo seguía pensando, estaba poniéndome de, acuerdo con este criterio pero no quería aceptarlo; se parecía demasiado a Miguel, eran sus palabras, su criterio, su modo de pensar.

Traduction temporaire :
Parfois, on croit qu'on a produit quelque chose d'inédit, on croit poser les bases du nouveau style pour le siècle, alors qu'on réécrit juste ce qui a déjà été écrit dans un autre pays, à une autre époque ou par une autre génération, peut-être par ton voisin ou ton père, sauf que tu n'y as pas prêté attention. Mon dictaphone continuait d’enregistrer et moi, de réfléchir. À deux doigts d'être d'accord avec cette réponse, je m'y refusais ; ça ressemblait trop à Miguel : ses mots, sa réponse, sa façon de penser.

6 commentaires:

Justine a dit…

Parfois, on croit faire quelque chose de nouveau, on croit poser les bases du nouveau style du siècle, alors qu'en fait on réécrit juste ce qui a déjà été fait dans un autre pays, à une autre époque ou par une autre génération, peut-être par ton voisin ou ton père, mais tu n'y as pas prêté attention.
Mon dictaphone continuait d’enregistrer et moi, de réfléchir. J'étais quasiment d'accord avec cette réponse, mais je m'y refusais ; ça ressemblait trop à Miguel : ses mots, sa réponse, sa façon de penser.

Tradabordo a dit…

Parfois, on croit faire [temps] quelque chose de nouveau, on croit poser les bases du nouveau style du [« pour le » ?] siècle, alors qu'en fait [tu as « faire » ; je t'accorde que je suis un peu de mauvaise foi, mais change…] on réécrit juste ce qui a déjà été fait [!!!!!!] dans un autre pays, à une autre époque ou par une autre génération, peut-être par ton voisin ou ton père, mais [« sauf que » serait bien ici] tu n'y as pas prêté attention.
Mon dictaphone continuait d’enregistrer et moi, de réfléchir. J'étais quasiment [ambigu… J'ai dû relire la V.O. pour bien comprendre le sens ; reprends] d'accord avec cette réponse, mais je m'y refusais ; ça ressemblait trop à Miguel : ses mots, sa réponse, sa façon de penser.

Justine a dit…

Parfois, on croit qu'on a produit quelque chose de nouveau, on croit poser les bases du nouveau style pour le siècle, alors qu'on réécrit juste ce qui a déjà été fait dans un autre pays, à une autre époque ou par une autre génération, peut-être par ton voisin ou ton père, sauf que tu n'y as pas prêté attention. Mon dictaphone continuait d’enregistrer et moi, de réfléchir. À deux doigts d'être d'accord avec cette réponse, je m'y refusais ; ça ressemblait trop à Miguel : ses mots, sa réponse, sa façon de penser.

Tradabordo a dit…

Parfois, on croit qu'on a produit quelque chose de nouveau [« d'inédit » ?], on croit poser les bases du nouveau style pour le siècle, alors qu'on réécrit juste ce qui a déjà été fait [tu devrais répéter « écrit »] dans un autre pays, à une autre époque ou par une autre génération, peut-être par ton voisin ou ton père, sauf que tu n'y as pas prêté attention. Mon dictaphone continuait d’enregistrer et moi, de réfléchir. À deux doigts d'être d'accord avec cette réponse, je m'y refusais ; ça ressemblait trop à Miguel : ses mots, sa réponse, sa façon de penser.

Justine a dit…

Parfois, on croit qu'on a produit quelque chose d'inédit, on croit poser les bases du nouveau style pour le siècle, alors qu'on réécrit juste ce qui a déjà été écrit dans un autre pays, à une autre époque ou par une autre génération, peut-être par ton voisin ou ton père, sauf que tu n'y as pas prêté attention. Mon dictaphone continuait d’enregistrer et moi, de réfléchir. À deux doigts d'être d'accord avec cette réponse, je m'y refusais ; ça ressemblait trop à Miguel : ses mots, sa réponse, sa façon de penser.

Tradabordo a dit…

Parfois, on croit qu'on a produit quelque chose d'inédit, on croit poser les bases du nouveau style pour le siècle, alors qu'on réécrit juste ce qui a déjà été écrit dans un autre pays, à une autre époque ou par une autre génération, peut-être par ton voisin ou ton père, sauf que tu n'y as pas prêté attention. Mon dictaphone continuait d’enregistrer et moi, de réfléchir. À deux doigts d'être d'accord avec cette réponse, je m'y refusais ; ça ressemblait trop à Miguel : ses mots, sa réponse, sa façon de penser.

OK.