vendredi 12 octobre 2012

Les Lituma – phrase 80

En mi país tendría la distancia necesaria para curarme y, al mismo tiempo, me ocuparía de otros asuntos, volvería a encontrar a la familia y los amigos, me sentiría menos solo, acaso querido.

Traduction temporaire :
Une fois dans mon pays, il y aurait la distance suffisante pour me permettre de guérir. Sans compter que parallèlement, je m’occuperais d’autres affaires, je retrouverais ma famille et mes amis, je me sentirais moins seul et, qui sait, peut-être aimé.

9 commentaires:

Sonita a dit…

Dans mon pays, j’aurais la distance nécessaire pour guérir et, en même temps, je m’occuperais d’autres affaires, je retrouverais ma famille et mes amis, je me sentirais moins seul et, qui sait, aimé.

Tradabordo a dit…

Dans mon pays, j’aurais la distance nécessaire pour guérir

On commence par « une fois »…

« Il y aurait » plutôt que « j'aurais ».

« nécessaire » ou « suffisante » ?

Fais déjà ça…

Sonita a dit…

une fois dans mon pays, il y aurait la distance suffisante pour guérir et, en même temps, je m’occuperais d’autres affaires, je retrouverais ma famille et mes amis, je me sentirais moins seul et, qui sait, aimé.

Tradabordo a dit…

Une fois dans mon pays, il y aurait la distance suffisante pour [me permettre de] guérir [point + « Sans compter que parallèlement »] et, en même temps, je m’occuperais d’autres affaires, je retrouverais ma famille et mes amis, je me sentirais moins seul et, qui sait, aimé.

Sonita a dit…

Une fois dans mon pays, il y aurait la distance suffisante pour me permettre de guérir. Sans compter que parallèlement, je m’occuperais d’autres affaires, je retrouverais ma famille et mes amis, je me sentirais moins seul et, qui sait, aimé.

Tradabordo a dit…

Une fois dans mon pays, il y aurait la distance suffisante pour me permettre de guérir. Sans compter que parallèlement, je m’occuperais d’autres affaires, je retrouverais ma famille et mes amis, je me sentirais moins seul et, qui sait, aimé.

Je te propose :

Une fois dans mon pays, il y aurait la distance suffisante pour me permettre de guérir. Sans compter que parallèlement, je m’occuperais d’autres affaires, je retrouverais ma famille et mes amis, je me sentirais moins seul et, qui sait, peut-être aimé.

OK ?

Sonita a dit…

Une fois dans mon pays, il y aurait la distance suffisante pour me permettre de guérir. Sans compter que parallèlement, je m’occuperais d’autres affaires, je retrouverais ma famille et mes amis, je me sentirais moins seul et, qui sait, peut-être aimé.

OK.

Tradabordo a dit…

Validation d'une autre Lituma, svp.

Justine a dit…

Une fois dans mon pays, il y aurait la distance suffisante pour me permettre de guérir. Sans compter que parallèlement, je m’occuperais d’autres affaires, je retrouverais ma famille et mes amis, je me sentirais moins seul et, qui sait, peut-être aimé.

OK.