samedi 20 octobre 2012

Les Lituma – phrase 95

Con él, por ejemplo, había cosas que estaban sobreentendidas, cosas que tanto uno como otro no necesitábamos explicarnos ni justificarnos pues formaban parte de nuestro idioma hecho de palabras sí, pero sobre todo de costumbres y eventos cuyo significado residía en algo tan etéreo y, al mismo tiempo, determinante como el ser peruanos.

Traduction temporaire :
Avec lui, par exemple, il y avait des choses qui étaient sous-entendues, que, l'un comme l'autre,  nous n’avions pas besoin d’expliquer ou de justifier, dans la mesure où elles appartiennent à part entière à notre langue, faite de mots, certes, mais surtout d'habitudes et d’événements dont la signification résidait dans un je-ne-sais-quoi tellement éthérée et, en même temps, déterminant, comme notre nationalité péruvienne.

9 commentaires:

Sonita a dit…

Avec lui, par exemple, il y avait des choses qui étaient sous-entendues, des choses qu’aussi bien l’un que l’autre n’avions pas besoin d’expliquer, de justifier puisqu’elles faisaient partie de notre langue faite de mots, certes, mais surtout de coutumes et d’évènements dont la signification résidait dans quelque chose si éthérée et, en même temps, déterminante comme le fait d’être Péruviens.

Tradabordo a dit…

Con él, por ejemplo, había cosas que estaban sobreentendidas, cosas que tanto uno como otro no necesitábamos explicarnos ni justificarnos pues formaban parte de nuestro idioma hecho de palabras sí, pero sobre todo de costumbres y eventos cuyo significado residía en algo tan etéreo y, al mismo tiempo, determinante como el ser peruanos.

Avec lui, par exemple, il y avait des choses qui étaient sous-entendues, des choses qu’aussi bien l’un que l’autre [« que, l'un comme l'autre, nous »] n’avions pas besoin d’expliquer, de justifier puisqu’ [dans la mesure où] elles faisaient partie de notre langue [virgule] faite de mots, certes, mais surtout de coutumes [ou « habitude » ? Quel est le sens ici ?] et d’évènements [deux accents aigus] dont la signification résidait dans quelque chose [DE] si [si tu dis « si », j'attends une suite… Exemple : « si… que » ; donc, fais autrement] éthérée et, en même temps, déterminante comme [« , par exemple »] le fait d’être Péruviens.

Sonita a dit…

Avec lui, par exemple, il y avait des choses qui étaient sous-entendues, des choses que, l'un comme l'autre, nous n’avions pas besoin d’expliquer, de justifier dans la mesure où elles faisaient partie de notre langue, faite de mots, certes, mais surtout d'habitudes et d’événements dont la signification résidait dans quelque chose de tellement éthérée et, en même temps, déterminante comme, par exemple, le fait d’être Péruviens.

***
Je ne suis pas très sûre si en utisisant "tellement" au lieu de "si", on n'est pas dans le même cas de figure qu'avec le "si...que".

Tradabordo a dit…

Avec lui, par exemple, il y avait des choses qui étaient sous-entendues, des choses que, l'un comme l'autre, nous n’avions pas besoin d’expliquer ou de justifier, dans la mesure où elles faisaient partie de notre langue, faite [« faisaient partie » + « faite » ; il faut que tu changes] de mots, certes, mais surtout d'habitudes et d’événements dont la signification résidait dans quelque chose [encore « chose »] de tellement éthérée et, en même temps, déterminante comme, par exemple [Zut… je n'avais pas vu que je te faisais répéter « par exemple ».], le fait [encore !] d’être Péruviens.

Elodie a dit…

Avec lui, par exemple, il y avait des choses qui étaient sous-entendues, des choses que, l'un comme l'autre, nous n’avions pas besoin d’expliquer ou de justifier, dans la mesure où elles faisaient partie de notre langue, composée de mots, certes, mais surtout d'habitudes et d’événements dont la signification résidait dans un concept tellement éthéré et, en même temps, déterminant comme le fait d’être Péruviens.


Je n'ai pas réussi à trouver autre chose pour enlever "le fait".

Sonita a dit…

Avec lui, par exemple, il y avait des choses qui étaient sous-entendues, des choses que, l'un comme l'autre, nous n’avions pas besoin d’expliquer ou de justifier, dans la mesure où elles appartiennent à part entière à notre langue, faite de mots, certes, mais surtout d'habitudes et d’événements dont la signification résidait dans un je-ne-sais-quoi tellement éthérée et, en même temps, déterminant comme notre nationalité péruvienne.

***
Je suis consciente que je réécris la fin, mais je n'ai pas vu d'autre solution pour ne pas répéter "fait"...

Tradabordo a dit…

Avec lui, par exemple, il y avait des choses qui étaient sous-entendues, des choses que, l'un comme l'autre, nous n’avions pas besoin d’expliquer ou de justifier, dans la mesure où elles appartiennent à part entière à notre langue, faite de mots, certes, mais surtout d'habitudes et d’événements dont la signification résidait dans un je-ne-sais-quoi tellement éthérée et, en même temps, déterminant comme notre nationalité péruvienne.

Je te propose de petits changements – globalement, tu t'en es bien sortie ;-) :

Avec lui, par exemple, il y avait des choses qui étaient sous-entendues, que, l'un comme l'autre, nous n’avions pas besoin d’expliquer ou de justifier, dans la mesure où elles appartiennent à part entière à notre langue, faite de mots, certes, mais surtout d'habitudes et d’événements dont la signification résidait dans un je-ne-sais-quoi tellement éthérée et, en même temps, déterminant, comme notre nationalité péruvienne.

OK ?

Sonita a dit…

:)
OK !

Avec lui, par exemple, il y avait des choses qui étaient sous-entendues, que, l'un comme l'autre, nous n’avions pas besoin d’expliquer ou de justifier, dans la mesure où elles appartiennent à part entière à notre langue, faite de mots, certes, mais surtout d'habitudes et d’événements dont la signification résidait dans un je-ne-sais-quoi tellement éthérée et, en même temps, déterminant, comme notre nationalité péruvienne.

Justine a dit…

Avec lui, par exemple, il y avait des choses qui étaient sous-entendues, que, l'un comme l'autre, nous n’avions pas besoin d’expliquer ou de justifier, dans la mesure où elles appartiennent à part entière à notre langue, faite de mots, certes, mais surtout d'habitudes et d’événements dont la signification résidait dans un je-ne-sais-quoi tellement éthérée et, en même temps, déterminant, comme notre nationalité péruvienne.


OK pour moi aussi