También cada año a la extracción de médula. A eso le tenía pereza. Duele muchísimo hasta una o dos semanas después de la intervención, pero ella nunca se quejaba.
Traduction temporaire :
Et une autre fois, pour l’extraction de moelle. Ça, elle n’y allait pas de bon cœur ; il faut dire que ça reste très douloureux jusqu'à une ou deux semaines après l'intervention. Mais elle ne se plaignait jamais.
Et une autre fois, pour l’extraction de moelle. Ça, elle n’y allait pas de bon cœur ; il faut dire que ça reste très douloureux jusqu'à une ou deux semaines après l'intervention. Mais elle ne se plaignait jamais.
8 commentaires:
Et aussi, chaque année, pour se faire extraire de la moelle. Ce qui ne l'enchantait guère. Ça fait très mal jusqu'à une ou deux semaines après l'intervention, mais elle ne s'en plaignait jamais.
"A eso le tenía pereza" : elle n'y allait pas de bon cœur ?
Et aussi [ainsi que], chaque année [une fois par an], pour se faire extraire de la moelle [idem ; supprime « faire »].
Mais elle NE SE
Ainsi qu'une fois par an pour l'extraction de la moelle. Ce qui ne l'enchantait guère. Ça fait très mal jusqu'à une ou deux semaines après l'intervention, mais elle ne se plaignait jamais.
Ainsi qu'une fois par an, pour l’extraction de moelle. Elle n’y allait pas de bon cœur. Ça fait encore très mal une ou deux semaines après l'intervention, mais elle ne se plaignait jamais.
On commence une phrase par "ainsi que" ou on articule à la phrase précédente?
Je vous propose :
Et une autre fois, pour l’extraction [au fait, c'est comme ça qu'on dit ?] de moelle. Ça, elle n’y allait pas de bon cœur ; il faut dire que ça reste très douloureux jusqu'à une ou deux semaines après l'intervention. Mais elle ne se plaignait jamais.
Et une autre fois, pour l’extraction de moelle. Ça, elle n’y allait pas de bon cœur ; il faut dire que ça reste très douloureux jusqu'à une ou deux semaines après l'intervention. Mais elle ne se plaignait jamais.
Extraction de moelle, oui.
Et une autre fois, pour l’extraction de moelle. Ça, elle n’y allait pas de bon cœur ; il faut dire que ça reste très douloureux jusqu'à une ou deux semaines après l'intervention. Mais elle ne se plaignait jamais.
Elena ?
Et une autre fois, pour l’extraction de moelle. Ça, elle n’y allait pas de bon cœur ; il faut dire que ça reste très douloureux jusqu'à une ou deux semaines après l'intervention. Mais elle ne se plaignait jamais.
OK
Enregistrer un commentaire