samedi 20 octobre 2012

Projet Manon – phrase 13

Sí, la besa en silencio cuando está dormido, predestinado a la desgracia y al desastre, pero esos no son besos, apasionados besos, solo besa enfermizo y tímido al aire que la circunda, la aureola de grasosos y perfumados cosméticos que ella se pone en ese clima frío y gastado de antes del amor, para que su piel no se aje y sufra.

Traduction temporaire :
Oui, c'est cela, il l'embrasse en silence quand elle est endormie, condamné au malheur et au désastre, sauf que ce ne sont pas des baisers, des baisers passionnés ; maladif et timide, il embrasse juste l'air qui l'entoure, l'auréole de cosmétiques graisseux et parfumés qu'elle se met dans ce climat froid et usé d'avant l'amour, pour que sa peau ne se flétrisse pas et ne souffre pas.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Oui, il l'embrasse silencieusement quand elle est endormie, prédestiné au malheur et au désastre, mais ce ne sont pas des baisers, des baisers passionnés, il embrasse juste, maladif et timide, l'air qui l'entoure, l'auréole de cosmétiques graisseux et parfumés qu'elle se met dans ce climat froid et usé d'avant l'amour, pour que sa peau ne se flétrisse ni ne souffre.

Tradabordo a dit…

Oui, [on ajoute une cheville – « voilà » / « c'est cela » ou ça te semble inutile ?] il l'embrasse silencieusement [ou « en silence » ?] quand elle est endormie

« prédestiné au malheur et au désastre » ; tu as mieux que « prédestiné » ?

« Mais » ou « sauf que » ?

Il faut que tu répètes le mot « baiser »…

« ne se flétrisse ni ne souffre. » = mal dit.

Unknown a dit…

En prenant la phrase toute seule, une cheville me semble mieux, mais c'est bizarre avec ce qu'il y a avant ("Tu devrais avoir peur, et tu le sais très bien, sentir peser la menace sur toi, là, tout de suite."), je tente avec "c'est cela" :

Oui, c'est cela, il l'embrasse en silence quand elle est endormie, voué au malheur et au désastre, sauf que ce ne sont pas des baisers, des baisers passionnés, il embrasse juste, maladif et timide, l'air qui l'entoure, l'auréole de cosmétiques graisseux et parfumés qu'elle se met dans ce climat froid et usé d'avant l'amour, pour que sa peau ne se flétrisse pas et ne souffre pas.

Tradabordo a dit…

Oui, c'est cela, il l'embrasse en silence quand elle est endormie, voué [qqchose de plus fort… Ça commence par un « C » ;-)] au malheur et au désastre, sauf que ce ne sont pas des baisers, des baisers passionnés, il embrasse juste, maladif et timide [place les adjectifs ailleurs], l'air qui l'entoure, l'auréole de cosmétiques graisseux et parfumés qu'elle se met dans ce climat froid et usé d'avant l'amour, pour que sa peau ne se flétrisse pas et ne souffre pas.

Unknown a dit…

Oui, c'est cela, il l'embrasse en silence quand elle est endormie, condamné au malheur et au désastre, sauf que ce ne sont pas des baisers, des baisers passionnés ; maladif et timide, il embrasse juste l'air qui l'entoure, l'auréole de cosmétiques graisseux et parfumés qu'elle se met dans ce climat froid et usé d'avant l'amour, pour que sa peau ne se flétrisse pas et ne souffre pas.

Je voulais placer les adjectifs après "l'air qui l'entoure", mais ça ne marche pas avec l'auréole qui suit. Du coup, j'ai mis avant, mais avec un point virgule, ça me paraissait bizarre avec seulement une virgule.

Tradabordo a dit…

Oui, c'est cela, il l'embrasse en silence quand elle est endormie, condamné au malheur et au désastre, sauf que ce ne sont pas des baisers, des baisers passionnés ; maladif et timide, il embrasse juste l'air qui l'entoure, l'auréole de cosmétiques graisseux et parfumés qu'elle se met dans ce climat froid et usé d'avant l'amour, pour que sa peau ne se flétrisse pas et ne souffre pas.

OK.