¿Quién asume en estos días acosados y sangrientos esta ciudadanía anónima, rechazado por todos o por casi todos, aun por aquellos que, cobijándote, te consideran un extraño meteco en su pensamiento si no en sus palabras?
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
16 commentaires:
Qui assume, en ces jours de persécution et de sang, cette citoyenneté anonyme, rejeté par tous ou presque, même par ceux qui t'abritent mais qui te considèrent, soit en pensée, soit en parole, comme un étrange métèque ?
Qui assume, en ces jours de persécution et de sang, cette citoyenneté anonyme, [est-ce que tu ne crois pas qu'il faut ajouter des chevilles : « alors qu'il est » ? Et au fait, « il » ou « tu », vu la suite] rejeté par tous ou presque, même [ou « y compris » ?] par ceux qui t'abritent [ou « t'hébergent » ? Par ailleurs, est-ce que c'est un vrai « tu » – adressé au lecteur ou à lui-même… ou est-ce la généralité ? Et à ce moment-là, le dirait-on avec « tu ». J'attends ta réponse avec curiosité] mais qui te considèrent, soit en pensée, soit en parole, comme un étrange métèque [ou l'inverse « métèque étrange » ? Je te laisse trancher.] ?
Qui assume, en ces jours de persécution et de sang, cette citoyenneté anonyme, alors que tu es rejeté par tous ou presque, même par ceux qui t'hébergent mais qui te considèrent, soit en pensée, soit en parole, comme un métèque étrange ?
Ici, l'auteur parle de son expérience mais ça englobe tous ceux qui ont été ou sont exilés, puisqu'ils se trouvent confrontés au même problème.
L'utilisation du "on" ici ne me convainc pas, ce serait trop général, pas assez percutant, je pense surtout au lecteur qui n'est pas un exilé, ça lui passerait au-dessus de la tête sans l'interpeler vraiment.
Tu, c'est bien, c'est concret, c'est du vécu."Tu" représente, l'auteur, les exilés, et le reste des lecteurs.
Voilà… Je ne sais pas si tu as raison – on verra au moment de la relecture ; mais j'apprécie que tu aies mené une vraie réflexion et que, donc, ta décision ne soit pas le fruit du hasard, mais mûrement pesée et soupesée ;-)
Qui assume [on ne le déplacerait pas avec la deuxième virgule ?], en ces jours de persécution et de sang [au fait, « jours de sang » ???], cette citoyenneté anonyme, alors que tu es rejeté par tous ou presque, même par ceux qui t'hébergent mais qui te considèrent, soit en pensée, soit en parole, comme un métèque étrange ?
OK pour le reste… Ça avance bien.
En ces jours de persécution et ces jours ensanglantés, qui assume cette citoyenneté anonyme, alors que tu es rejeté par tous ou presque, même par ceux qui t'hébergent mais qui te considèrent, soit en pensée, soit en parole, comme un métèque étrange ?
C'est vrai "jours de sang", c'est bizarre, je ne savais pas trop comment faire, je ne vois que la répétition du mot "jours".
Je pense que tu devrais passer par une périphrase, genre : « où le sang a coulé » ou quelque chose comme ça. Essaie voir.
En ces jours de persécution où le sang a coulé, qui assume cette citoyenneté anonyme, alors que tu es rejeté par tous ou presque, même par ceux qui t'hébergent mais qui te considèrent, soit en pensée, soit en parole, comme un métèque étrange ?
Au fait « a coulé » ou « coula » ?
Et pourquoi pas "coule" ? Je n'ai pas l'impression que ces jours de persécution soient si lointains. L'auteur ne dit pas "aquellos dias" mais "estos dias". Peut-être que le sang coule encore en 1983 (année où l’œuvre a été éditée. Je laisserais "a coulé" puisque l'auteur unit ces évènements avec la situation de l'exilé qu'il explique au présent.
Mets-le dans la phrase… J'ai besoin de juger sur pièce.
En ces jours de persécution où le sang coule, qui assume cette citoyenneté anonyme, alors que tu es rejeté par tous ou presque, même par ceux qui t'hébergent mais qui te considèrent, soit en pensée, soit en parole, comme un métèque étrange ?
attention les deux morceaux sont reliés avec « Y ».
Au fait, penses-tu vraiment que « soit » soit nécessaire ?
En ces jours de persécution et où le sang coule, qui assume cette citoyenneté anonyme, alors que tu es rejeté par tous ou presque, même par ceux qui t'hébergent mais qui te considèrent, en pensée ou en parole, comme un métèque étrange ?
Est-ce qu'on pourrait mettre "En ces jours de persécution et de sang versé" ?
Ta proposition de la fin est pas mal, oui… et je me rends compte, du coup, que peut-être ça marcherait mieux avec « journées »… Essaie et dis-moi ce que tu en penses…
Je ne suis pas sûre pour "journées, j'ai l'impression que ça fait référence à certains jours en particuliers alors que "jours", c'est une accumulation de jours qui forme une période. Vous voyez ce que je veux dire?
Je laisserais jours:
En ces jours de persécution et de sang versé, qui assume cette citoyenneté anonyme, alors que tu es rejeté par tous ou presque, même par ceux qui t'hébergent mais qui te considèrent, en pensée ou en parole, comme un métèque étrange ?
En ces jours de persécution et de sang versé, qui assume cette citoyenneté anonyme, alors que tu es rejeté par tous ou presque, même par ceux qui t'hébergent mais qui te considèrent, en pensée ou en parole, comme un métèque étrange ?
OK.
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