Pues hay comidas y comidas. Las del cuerpo. Las del espíritu. Pero, ¿qué es un exiliado? ¿Quién sufre esta enfermedad tan epidémica del exilio?
Traduction temporaire :
Mais attention, il y a nourritures et nourritures. Celles du corps. Celles de l’esprit. Mais qu’est-ce qu’un exilé ? Qui souffre de l'exil, maladie épidémique si l'en est ?
Mais attention, il y a nourritures et nourritures. Celles du corps. Celles de l’esprit. Mais qu’est-ce qu’un exilé ? Qui souffre de l'exil, maladie épidémique si l'en est ?
5 commentaires:
Attention, il y a nourriture et nourriture. Celle du corps. Celle de l’esprit.
Mais qu’est-ce qu’un exilé? Qui souffre de cette maladie si épidémique qu’est l’exil ?
Est-ce qu'on met « mais » devant ton « attention » ?
« Celle » ou « celles » ?
Espace avant le point d'interrogation.
« Qui souffre de cette maladie si épidémique qu’est l’exil ? » Pas très clair, pour un francophone lambda.
Mais attention, il y a nourritures et nourritures. Celles du corps. Celles de l’esprit. Mais qu’est-ce qu’un exilé ? Qui souffre de l'exil, cette maladie si épidémique ?
J'ai remplacé celle par celles, j'ai donc mis un "s" à nourritures comme dans le texte original.
Mais attention, il y a nourritures et nourritures. Celles du corps. Celles de l’esprit. Mais qu’est-ce qu’un exilé ? Qui souffre de l'exil, cette maladie si épidémique ?
Je te propose un léger changement :
Mais attention, il y a nourritures et nourritures. Celles du corps. Celles de l’esprit. Mais qu’est-ce qu’un exilé ? Qui souffre de l'exil, maladie épidémique si l'en est ?
Qu'en penses-tu ?
oui, c'est vrai que c'est mieux.
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