jeudi 11 octobre 2012

Projet Perrine / Ricardo – phrase 11

Fue natural entonces que ocupara todo mi tiempo en la imprenta, con mejor salario y un trato de hombre a hombre, como me lo hizo saber el imprentero los primeros días de enero.

Traduction temporaire :
C'est alors tout naturellement que je passai la majeure partie de mon temps à l’imprimerie, bénéficiant d’un meilleur salaire et d’un rapport d’homme à homme, comme me l'explicita l’imprimeur début janvier.

5 commentaires:

perrine a dit…

Il fut donc tout naturel que je passe la majeure partie de mon temps à l’imprimerie, bénéficiant d’un meilleur salaire et d’un traitement d’homme à homme, comme me le fit savoir l’imprimeur les premiers jours de janvier.

Tradabordo a dit…

1) « Il fut donc tout naturel que je passe la majeure partie de mon temps à l’imprimerie » ; pas très naturel… Tu devrais passer par « C'est donc tout naturellement que » ou quelque chose comme ça.

2) « d’un traitement d’homme à homme » ; pas très explicite, je pense.

3) Idem pour la suite… Ça va, mais c'est globalement peu naturel. Vois ce que tu peux faire.

perrine a dit…

C'est donc tout naturellement que je passai la majeure partie de mon temps à l’imprimerie, bénéficiant d’un meilleur salaire et d’un rapport d’homme à homme, comme me l'explicita l’imprimeur début janvier.

Tradabordo a dit…

C'est donc tout naturellement que je passai la majeure partie de mon temps à l’imprimerie, bénéficiant d’un meilleur salaire et d’un rapport d’homme à homme, comme me l'explicita l’imprimeur début janvier.

Dernier doute : est-ce que tu ne crois pas qu'il y a aussi un peu de « désormais » / « alors » dans le « entonces » du début ?

perrine a dit…

Oui, en effet, je mettrais plutôt "alors".

C'est alors tout naturellement que je passai la majeure partie de mon temps à l’imprimerie, bénéficiant d’un meilleur salaire et d’un rapport d’homme à homme, comme me l'explicita l’imprimeur début janvier.