Lo recuerdo bien porque ese día murió mi abuela Francisca. El día que Francisca murió yo no sabía qué hacer; los demás esperaban cosas de mí: unos que no llorara, otros que llorara, pero no podían mirarme por dentro: la gente no puede mirar por dentro a los demás, aunque así sería más fácil darnos cuenta si estamos tristes o alegres.
Traduction temporaire :
Je m’en souviens parfaitement parce que c'est ce jour-là où ma grand-mère Francisca est morte.
Le jour où Francisca est morte, moi, je ne savais pas quoi faire ; tout le monde attendait quelque chose de moi : les uns ne voulaient pas que je pleure, les autres voulaient que je pleure. Sauf qu'ils ne pouvaient pas voir à l’intérieur de moi ; il est impossible de regarder les gens à l’intérieur. Dommage, car comme ça, ce serait plus facile de nous rendre compte s’ils sont tristes ou heureux.
Je m’en souviens parfaitement parce que c'est ce jour-là où ma grand-mère Francisca est morte.
Le jour où Francisca est morte, moi, je ne savais pas quoi faire ; tout le monde attendait quelque chose de moi : les uns ne voulaient pas que je pleure, les autres voulaient que je pleure. Sauf qu'ils ne pouvaient pas voir à l’intérieur de moi ; il est impossible de regarder les gens à l’intérieur. Dommage, car comme ça, ce serait plus facile de nous rendre compte s’ils sont tristes ou heureux.
7 commentaires:
Je m’en souviens parfaitement parce que ma grand-mère Francisca est morte ce jour-là.
Le jour où Francisca est morte, je ne savais pas quoi faire ; tout le monde attendait des choses de moi : les uns ne voulaient pas que je pleure, les autres voulaient que le fasse. Mais, ils ne pouvaient pas voir à l’intérieur de moi : les gens ne peuvent pas regarder les autres personnes à l’intérieur, même si comme ça ce serait plus facile de nous rendre compte s’ils sont tristes ou heureux.
« parce que ma grand-mère Francisca est morte ce jour-là » ; cherche une tournure plus fluide et qui viendrait beaucoup plus spontanément dans la bouche d'un enfant.
Le « yo » de la phrase suivante n'est pas anodin et il faut que tu lui fasses une place dans ta phrase en français.
« quelque chose » à la place de « des choses ».
Il répète « llorar » ; répète aussi.
« Sauf que » à la place de « mais ».
Les deux points ici ne vont pas.
« on » à la place de « gens » et « gens » à la place de « personne ».
Je me demande si on ne devrait pas dire « dommage » à la place « même si »
Occupe-toi de ce premier ménage.
Je m’en souviens parfaitement car ma grand-mère Francisca est morte ce jour-là.
Le jour où Francisca est morte, moi, je ne savais pas quoi faire ; tout le monde attendait des choses de moi : les uns ne voulaient pas que je pleure, les autres voulaient que je pleure. Sauf qu'ils ne pouvaient pas voir à l’intérieur de moi ; on ne peut pas regarder les gens à l’intérieur, dommage, car comme ça ce serait plus facile de nous rendre compte s’ils sont tristes ou heureux.
Je m’en souviens parfaitement car ma grand-mère Francisca est morte ce jour-là.
Je te propose :
Je m’en souviens parfaitement parce que c'est ce jour-là où ma grand-mère Francisca est morte.
OK ?
Le jour où Francisca est morte, moi, je ne savais pas quoi faire ; tout le monde attendait des choses [je t'ai dit (cf commentaire précédent) « quelque chose » à la place de « des choses »] de moi : les uns ne voulaient pas que je pleure, les autres voulaient que je pleure. Sauf qu'ils ne pouvaient pas voir à l’intérieur de moi ; on ne peut pas [« il est impossible », pour éviter la vilaine répétition de « pouvoir »] regarder les gens à l’intérieur, dommage, car comme ça [virgule] ce serait plus facile de nous rendre compte s’ils sont tristes ou heureux.
Je m’en souviens parfaitement parce que c'est ce jour-là où ma grand-mère Francisca est morte.
Le jour où Francisca est morte, moi, je ne savais pas quoi faire ; tout le monde attendait quelque chose de moi : les uns ne voulaient pas que je pleure, les autres voulaient que je pleure. Sauf qu'ils ne pouvaient pas voir à l’intérieur de moi ; il est impossible de regarder les gens à l’intérieur, dommage, car comme ça, ce serait plus facile de nous rendre compte s’ils sont tristes ou heureux.
Je m’en souviens parfaitement parce que c'est ce jour-là où ma grand-mère Francisca est morte.
Le jour où Francisca est morte, moi, je ne savais pas quoi faire ; tout le monde attendait quelque chose de moi : les uns ne voulaient pas que je pleure, les autres voulaient que je pleure. Sauf qu'ils ne pouvaient pas voir à l’intérieur de moi ; il est impossible de regarder les gens à l’intérieur. Dommage, car comme ça, ce serait plus facile de nous rendre compte s’ils sont tristes ou heureux.
J'ai fait une petite modif…
Dis-moi si tu valides et on fera la suite.
Je m’en souviens parfaitement parce que c'est ce jour-là où ma grand-mère Francisca est morte.
Le jour où Francisca est morte, moi, je ne savais pas quoi faire ; tout le monde attendait quelque chose de moi : les uns ne voulaient pas que je pleure, les autres voulaient que je pleure. Sauf qu'ils ne pouvaient pas voir à l’intérieur de moi ; il est impossible de regarder les gens à l’intérieur. Dommage, car comme ça, ce serait plus facile de nous rendre compte s’ils sont tristes ou heureux.
OK !
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