mardi 20 août 2013

Projet Céline – phrase 81

No lo comprendía, pero en alguna parte de su memoria, algo, le estaba diciendo que si él seguía actuando como hasta ahora, no saliéndose, del mundo para subirse a un tren, a dos trenes, a tres trenes, a un centenar, de trenes,  a un millar de trenes, pero sin salirse del mundo, subiéndose, por el contrario al primer suspiro que una linda y gastada mujer le tendía, como anzuelo, no sólo estaba traicionando su juramento de irse,  de irse para, siempre,  sino que,  ahora mismo, desde que la hablaste, desde que hablaste a, la primera mujer, seguirás hablando a las que en Roma, en Paris, en Bruselas, en Budapest, en Varsovia, en Madrid, en Lisboa, viajen solas o, acompañadas, con niños o con viejos, divorciadas, viudas, sonrientes, partidas por la ansiedad, por la soledad, quemadas por el llanto y por el, desierto del amor, entonces más valía no haber ido al Banco ayer en la, mañana para coger todo el dinero necesario, no valía la pena haber salido, del lado de tu mujer para estar al lado de esta otra mujer,  quien ya te, suspiró, quien ya te envió el anzuelo de tu suspiro y es seguro de que ahora, te hará hablar, ¿y estás seguro de que de ninguna manera deseas que hable, nadie contigo? ¿ni siquiera una ardiente italiana, una ansiosa romana, abandonada por su marido, con toda seguridad?

Traduction temporaire :
Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait sa promesse de partir, de partir pour toujours, mais en plus là, juste là, depuis que tu lui as adressé la parole, depuis que tu as adressé la parole à la première femme, tu continueras d’adresser la parole à celles qui, à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; alors il aurait mieux valu ne pas se rendre à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il a été vain de fuir la compagnie de ta femme pour rechercher celle de cette autre femme, qui t’a déjà dédié un soupir, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui, maintenant, te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu ne souhaites que quelqu’un parle avec toi ? Pas même une Italienne ardente, une Romaine anxieuse, très certainement abandonnée par son mari ?

24 commentaires:

Unknown a dit…

Il ne comprenait pas pourquoi, mais dans un coin de sa mémoire, quelque chose lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusqu’alors, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde mais en montant dans le premier soupir qu’une femme belle et usée lui lançait comme un hameçon, non seulement il trahissait la promesse qu’il s’était faite de partir, de partir pour toujours, mais en plus, à présent, depuis que tu as parlé avec elle, depuis que tu as parlé avec la première femme, tu parleras aussi avec celles qui à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; en ce cas, il aurait mieux valu ne pas être allé à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, ça n’a servi à rien d’avoir fui la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un t’adresse la parole ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Tradabordo a dit…

Il ne comprenait pas pourquoi, mais, dans un coin de sa mémoire, quelque chose lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusqu’alors, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde mais [un moyen de faire sans les deux « mais » ? Si c'est artificiel autrement, dis-moi et on laissera, mais cherche un peu…] en montant dans le premier soupir qu’une femme belle et usée lui lançait comme un hameçon,

Unknown a dit…

Est-ce qu’on ne peut pas se passer du premier « mais » ?

Il ne comprenait pas pourquoi dans un coin de sa mémoire, quelque chose lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusqu’alors, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde mais en montant dans le premier soupir qu’une femme belle et usée lui lançait comme un hameçon, non seulement il trahissait la promesse qu’il s’était faite de partir, de partir pour toujours, mais en plus, à présent, depuis que tu as parlé avec elle, depuis que tu as parlé avec la première femme, tu parleras aussi avec celles qui à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; en ce cas, il aurait mieux valu ne pas être allé à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, ça n’a servi à rien d’avoir fui la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un t’adresse la parole ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Tradabordo a dit…

Il ne comprenait pas pourquoi dans un coin de sa mémoire,

ou : « Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose… » ?

quelque chose lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusqu’alors, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde mais en montant dans le premier soupir qu’une femme belle et usée lui lançait comme un hameçon,

Unknown a dit…

Oui, c'est mieux.

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusqu’alors, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde mais en montant dans le premier soupir qu’une femme belle et usée lui lançait comme un hameçon, il trahissait la promesse qu’il s’était faite de partir, de partir pour toujours, et en plus, à présent, depuis que tu as parlé avec elle, depuis que tu as parlé avec la première femme, tu parleras aussi avec celles qui à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; en ce cas, il aurait mieux valu ne pas être allé à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, ça n’a servi à rien d’avoir fui la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un t’adresse la parole ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Tradabordo a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusqu’alors [ou « jusque-là » ? Comme tu veux], sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde [virgule ?] mais en montant dans le premier soupir qu’une femme belle et usée [maladroit, non ? On voit que tu es jeune, chère enfant !] lui lançait comme un [« en guise de » ?] hameçon,


il trahissait la promesse qu’il s’était faite de partir, de partir pour toujours, et en plus, à présent, depuis que tu as parlé avec elle, depuis que tu as parlé avec la première femme, tu parleras aussi avec celles qui à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; en ce cas, il aurait mieux valu ne pas être allé à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, ça n’a servi à rien d’avoir fui la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un t’adresse la parole ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Unknown a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, il trahissait la promesse qu’il s’était faite de partir, de partir pour toujours, et en plus, à présent, depuis que tu as parlé avec elle, depuis que tu as parlé avec la première femme, tu parleras aussi avec celles qui à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; en ce cas, il aurait mieux valu ne pas être allé à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il n’a servi à rien d’avoir fui la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un t’adresse la parole ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Tradabordo a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, il trahissait la promesse qu’il s’était faite de partir [il faudrait mettre le « no sólo » ici], de partir pour toujours, et en plus, à présent, depuis que tu as parlé avec elle, depuis que tu as parlé avec la première femme, tu parleras aussi avec celles qui à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; en ce cas, il aurait mieux valu ne pas être allé à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il n’a servi à rien d’avoir fui la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un t’adresse la parole ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Unknown a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait la promesse qu’il s’était faite de partir pour toujours, mais en plus, à présent, depuis que tu as parlé avec elle, depuis que tu as parlé avec la première femme, tu parleras aussi avec celles qui à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; en ce cas, il aurait mieux valu ne pas être allé à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il n’a servi à rien d’avoir fui la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un t’adresse la parole ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Tradabordo a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait la promesse qu’il s’était faite [le texte ne le dit pas…] de partir pour toujours, mais en plus, à présent, depuis que tu as parlé avec elle, depuis que tu as parlé avec la première femme, tu parleras aussi avec celles qui à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; en ce cas, il aurait mieux valu ne pas être allé à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il n’a servi à rien d’avoir fui la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un t’adresse la parole ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Unknown a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait sa promesse de partir, de partir pour toujours, mais en plus, à présent, depuis que tu as parlé avec elle, depuis que tu as parlé avec la première femme, tu parleras aussi avec celles qui à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; en ce cas, il aurait mieux valu ne pas être allé à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il n’a servi à rien d’avoir fui la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un t’adresse la parole ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Tradabordo a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait sa promesse de partir, de partir pour toujours, mais, en plus, à présent [« là, juste là » ?], depuis que tu as parlé avec elle [« lui a adressé la parole » ?], depuis que tu as parlé avec la première femme, tu parleras aussi [exprès tu n'as pas traduit littéralement ?] avec celles qui à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; en ce cas, il aurait mieux valu ne pas être allé à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il n’a servi à rien d’avoir fui la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un t’adresse la parole ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Unknown a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait sa promesse de partir, de partir pour toujours, mais en plus là, juste là, depuis que tu lui as adressé la parole, depuis que tu as adressé la parole à la première femme, tu continueras d’adresser la parole à celles qui à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; en ce cas, il aurait mieux valu ne pas être allé à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il n’a servi à rien d’avoir fui la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un parle avec toi ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Tradabordo a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait sa promesse de partir, de partir pour toujours, mais en plus là, juste là, depuis que tu lui as adressé la parole, depuis que tu as adressé la parole à la première femme, tu continueras d’adresser la parole à celles qui, à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; en ce cas [bof], il aurait mieux valu ne pas être allé [« se rendre » ?] à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il n’a servi [temps ?] à rien d’avoir fui la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un parle avec toi ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Unknown a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait sa promesse de partir, de partir pour toujours, mais en plus là, juste là, depuis que tu lui as adressé la parole, depuis que tu as adressé la parole à la première femme, tu continueras d’adresser la parole à celles qui, à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; alors il aurait mieux valu ne pas se rendre à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il ne servait à rien d’avoir fui la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un parle avec toi ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Tradabordo a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait sa promesse de partir, de partir pour toujours, mais en plus là, juste là, depuis que tu lui as adressé la parole, depuis que tu as adressé la parole à la première femme, tu continueras d’adresser la parole à celles qui, à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; alors il aurait mieux valu ne pas se rendre à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il ne servait à rien [« il était vain » ?] d’avoir fui la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un parle avec toi ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Unknown a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait sa promesse de partir, de partir pour toujours, mais en plus là, juste là, depuis que tu lui as adressé la parole, depuis que tu as adressé la parole à la première femme, tu continueras d’adresser la parole à celles qui, à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; alors il aurait mieux valu ne pas se rendre à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il était vain d’avoir fui la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un parle avec toi ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Tradabordo a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait sa promesse de partir, de partir pour toujours, mais en plus là, juste là, depuis que tu lui as adressé la parole, depuis que tu as adressé la parole à la première femme, tu continueras d’adresser la parole à celles qui, à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; alors il aurait mieux valu ne pas se rendre à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il était vain d’avoir fui [change le temps… tant pis pour la V.O.] la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un parle avec toi ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Unknown a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait sa promesse de partir, de partir pour toujours, mais en plus là, juste là, depuis que tu lui as adressé la parole, depuis que tu as adressé la parole à la première femme, tu continueras d’adresser la parole à celles qui, à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; alors il aurait mieux valu ne pas se rendre à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il a été vain d’avoir fui la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un parle avec toi ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Tradabordo a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait sa promesse de partir, de partir pour toujours, mais en plus là, juste là, depuis que tu lui as adressé la parole, depuis que tu as adressé la parole à la première femme, tu continueras d’adresser la parole à celles qui, à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; alors il aurait mieux valu ne pas se rendre à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il a été vain d’avoir fui [« de fuir »] la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà soupiré [bizarre, non ?], qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un parle avec toi ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Unknown a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait sa promesse de partir, de partir pour toujours, mais en plus là, juste là, depuis que tu lui as adressé la parole, depuis que tu as adressé la parole à la première femme, tu continueras d’adresser la parole à celles qui, à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; alors il aurait mieux valu ne pas se rendre à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il a été vain de fuir la compagnie de ta femme pour être en compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà dédié un soupir, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui maintenant te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu souhaites que quelqu’un parle avec toi ? Pas même une ardente Italienne, une anxieuse Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Tradabordo a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait sa promesse de partir, de partir pour toujours, mais en plus là, juste là, depuis que tu lui as adressé la parole, depuis que tu as adressé la parole à la première femme, tu continueras d’adresser la parole à celles qui, à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; alors il aurait mieux valu ne pas se rendre à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il a été vain de fuir la compagnie de ta femme pour être en [ou « rechercher celle » ? Ce serait un léger changement, donc pèse bien le pour et le contre] compagnie de cette autre femme, qui t’a déjà dédié un soupir, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui [virgule] maintenant [virgule] te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu [« ne »] souhaites que quelqu’un parle avec toi ? Pas même une ardente [inverse] Italienne, une anxieuse [idem] Romaine, très certainement abandonnée par son mari ?

Unknown a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait sa promesse de partir, de partir pour toujours, mais en plus là, juste là, depuis que tu lui as adressé la parole, depuis que tu as adressé la parole à la première femme, tu continueras d’adresser la parole à celles qui, à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; alors il aurait mieux valu ne pas se rendre à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il a été vain de fuir la compagnie de ta femme pour rechercher celle de cette autre femme, qui t’a déjà dédié un soupir, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui, maintenant, te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu ne souhaites que quelqu’un parle avec toi ? Pas même une Italienne ardente, une Romaine anxieuse, très certainement abandonnée par son mari ?

Tradabordo a dit…

Même s'il ne le comprenait pas, quelque chose dans un coin de sa mémoire lui disait que s’il continuait d’agir comme il l’avait fait jusque-là, sans sortir du monde pour monter dans un train, dans deux trains, dans trois trains, dans une centaine de trains, dans un millier de trains, sans sortir du monde, mais en montant dans le premier soupir qu’une belle femme d’âge mûr lui lançait en guise d’hameçon, non seulement il trahissait sa promesse de partir, de partir pour toujours, mais en plus là, juste là, depuis que tu lui as adressé la parole, depuis que tu as adressé la parole à la première femme, tu continueras d’adresser la parole à celles qui, à Rome, à Paris, à Bruxelles, à Budapest, à Varsovie, à Madrid, à Lisbonne, voyagent seules ou accompagnées, avec des enfants ou des vieillards, divorcées, veuves, souriantes, rongées par l’anxiété, par la solitude, consumées par les pleurs et par le désert de l’amour ; alors il aurait mieux valu ne pas se rendre à la Banque hier matin pour retirer tout l’argent nécessaire, il a été vain de fuir la compagnie de ta femme pour rechercher celle de cette autre femme, qui t’a déjà dédié un soupir, qui t’a déjà envoyé le hameçon de ton soupir et qui, maintenant, te fera nécessairement parler. D’ailleurs, es-tu sûr qu’en aucun cas, tu ne souhaites que quelqu’un parle avec toi ? Pas même une Italienne ardente, une Romaine anxieuse, très certainement abandonnée par son mari ?

OK.