jeudi 29 août 2013

Projet Céline / Sonita – phrases 21-22

Venía con tanques, con médicos, con dos helicópteros que hicieron reconocimiento sin encontrar a nadie en los caminos, sin localizar huellas de los guerrilleros. Nos coparon, padre, y con su perdón, nos dieron en toda la madre.

Traduction temporaire :
Il était accompagné de tanks, de médecins et de deux hélicoptères, qui ont fait un vol de reconnaissance, sans trouver qui que ce soit sur les chemins, sans localiser la moindre trace des guérilleros. Ils nous ont pris par surprise, père, et, pardonnez-moi l’expression, ils nous ont baisés.

13 commentaires:

Sonita a dit…

Il venait avec des tanks, des médecins, avec deux hélicoptères qui ont fait vol de reconnaissance sans trouver qui que ce soit sur les chemins, sans localiser une seule piste des guerrilleros. Ils nous ont pris par surprise, père, ils nous ont baisés.

Tradabordo a dit…

Il venait avec des tanks, des médecins, avec [nécessaire ?] deux hélicoptères qui ont fait [manque quelque chose ; relis-toi… ça nous fait perdre du temps] vol de reconnaissance [virgule] sans trouver qui que ce soit sur les chemins [ou « routes » ici. J'hésite. Je te laisse choisir], sans localiser une seule piste [FS] des guerrilleros [je te l'ai déjà corrigé dans une phrase précédente. Regarde comment on l'écrit en français]. Ils nous ont pris par surprise, père, ils nous ont baisés.

Sonita a dit…

Il venait avec des tanks, des médecins, deux hélicoptères qui ont fait un vol de reconnaissance, sans trouver qui que ce soit sur les chemins, sans localiser une seule trace des guérrilleros. Ils nous ont pris par surprise, père, ils nous ont baisés.

***
Je pense, qu'étant donné notre contexte, un petit village dans l'état très pauvre de Guerrero, il s'agit plutôt de "chemins" car ils ne sont pas cimentés.

Tradabordo a dit…

Il venait [ou par « accompagné » ?] avec des tanks, des médecins, [« et » ?] deux hélicoptères qui ont fait un vol de reconnaissance, sans trouver qui que ce soit sur les chemins, sans localiser une seule trace des guérrilleros [orthographe]. Ils nous ont pris par surprise, père, ils nous ont baisés.

Sonita a dit…

Accompagné de tanks, de médecins et de deux hélicoptères qui ont fait un vol de reconnaissance, sans trouver qui que ce soit sur les chemins, sans localiser une seule trace des guérilleros. Ils nous ont pris par surprise, père, ils nous ont baisés.

Tradabordo a dit…

[cheville : « Il était » ?] Accompagné de tanks, de médecins et de deux hélicoptères [virgule] qui ont fait un vol de reconnaissance, sans trouver qui que ce soit sur les chemins, sans localiser une seule [« la moindre »] trace des guérilleros. Ils nous ont pris par surprise, père, ils nous ont baisés.

Sonita a dit…

Il était accompagné de tanks, de médecins et de deux hélicoptères, qui ont fait un vol de reconnaissance, sans trouver qui que ce soit sur les chemins, sans localiser la moindre trace des guérilleros. Ils nous ont pris par surprise, père, ils nous ont baisés.

Tradabordo a dit…

Il était accompagné de tanks, de médecins et de deux hélicoptères, qui ont fait un vol de reconnaissance, sans trouver qui que ce soit sur les chemins, sans localiser la moindre trace des guérilleros. Ils nous ont pris par surprise, père, ils nous ont baisés.

OK.

Céline ?

Unknown a dit…

On ne traduit pas « con su perdón» ?

Il était accompagné de tanks, de médecins et de deux hélicoptères, qui ont fait un vol de reconnaissance, sans trouver qui que ce soit sur les chemins, sans localiser la moindre trace des guérilleros. Ils nous ont pris par surprise, père, et – pardonnez-moi l’expression – ils nous ont baisés.

Tradabordo a dit…

Il était accompagné de tanks, de médecins et de deux hélicoptères, qui ont fait un vol de reconnaissance, sans trouver qui que ce soit sur les chemins, sans localiser la moindre trace des guérilleros. Ils nous ont pris par surprise, père, et – pardonnez-moi l’expression – ils nous ont baisés.

Oui… Bien vu, Céline. Attention de ne pas traduire trop vite.
Mais pour dans un dialogue, pas entre tirets. Remets des virgules.

Unknown a dit…

Il était accompagné de tanks, de médecins et de deux hélicoptères, qui ont fait un vol de reconnaissance, sans trouver qui que ce soit sur les chemins, sans localiser la moindre trace des guérilleros. Ils nous ont pris par surprise, père, et, pardonnez-moi l’expression, ils nous ont baisés.

Tradabordo a dit…

Il était accompagné de tanks, de médecins et de deux hélicoptères, qui ont fait un vol de reconnaissance, sans trouver qui que ce soit sur les chemins, sans localiser la moindre trace des guérilleros. Ils nous ont pris par surprise, père, et, pardonnez-moi l’expression, ils nous ont baisés.

OK.

Sonita a dit…

Oups, il m'a échappé ce "con perdón"...! Désolée !


Il était accompagné de tanks, de médecins et de deux hélicoptères, qui ont fait un vol de reconnaissance, sans trouver qui que ce soit sur les chemins, sans localiser la moindre trace des guérilleros. Ils nous ont pris par surprise, père, et, pardonnez-moi l’expression, ils nous ont baisés.

OK.