mardi 20 août 2013

Projet Kévin – phrase 71

Sí, es posible que esta historia degollada de Chile sea providencialmente simbólica, quizás si diabólicamente imaginada por alguna clase todavía no controlada de resistencia, porque donde termina la historia comienza el caos, donde comienza el caos solo el caos lo reemplaza y propaga el desierto a todos los niveles de la soledad abismal.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

14 commentaires:

Unknown a dit…

Oui, il est possible que cette histoire massacrée du Chili soit providentiellement symbolique ; peut-être, dans la mesure où elle est diaboliquement imaginée par une quelconque classe de résistance toujours pas contrôlée, parce que là où l'histoire se termine, le chaos commence, là où le chaos commence, seul le chaos le remplace et étend le désert à tous les niveaux de la solitude abyssale.

Tradabordo a dit…

Oui, il est possible que cette histoire massacrée [inexact] du Chili soit providentiellement symbolique ; peut-être, dans la mesure où elle est diaboliquement imaginée par une quelconque classe de résistance [bizarre « classe de résistance »…] toujours pas contrôlée,


parce que là où l'histoire se termine, le chaos commence, là où le chaos commence, seul le chaos le remplace et étend le désert à tous les niveaux de la solitude abyssale.

Unknown a dit…

Oui, il est possible que cette histoire ruinée du Chili soit providentiellement symbolique ; peut-être, dans la mesure où elle est diaboliquement imaginée par un quelconque genre de résistance toujours pas contrôlé, parce que là où l'histoire se termine, le chaos commence, là où le chaos commence, seul le chaos le remplace et étend le désert à tous les niveaux de la solitude abyssale.

Tradabordo a dit…

Oui, il est possible que cette histoire ruinée [pas sûre que là, il ne faille pas traduire littéralement…] du Chili soit providentiellement symbolique ; peut-être, dans la mesure où elle est diaboliquement imaginée par un quelconque genre de résistance toujours pas contrôlé, parce que là où l'histoire se termine, le chaos commence, là où le chaos commence, seul le chaos le remplace et étend le désert à tous les niveaux de la solitude abyssale.

Unknown a dit…

Oui, il est possible que cette histoire égorgée du Chili soit providentiellement symbolique ; peut-être, dans la mesure où elle est diaboliquement imaginée par un quelconque genre de résistance toujours pas contrôlé, parce que là où l'histoire se termine, le chaos commence, là où le chaos commence, seul le chaos le remplace et étend le désert à tous les niveaux de la solitude abyssale.

Tradabordo a dit…

Oui, il est possible que cette histoire égorgée du Chili soit providentiellement symbolique ; peut-être, dans la mesure où elle est diaboliquement imaginée par un quelconque [FS] genre de résistance toujours pas contrôlé, parce que là où l'histoire se termine, le chaos commence, là où le chaos commence, seul le chaos le remplace et étend le désert à tous les niveaux de la solitude abyssale.

Unknown a dit…

Oui, il est possible que cette histoire égorgée du Chili soit providentiellement symbolique ; peut-être, dans la mesure où elle est diaboliquement imaginée par quelque genre de résistance toujours pas contrôlé, parce que là où l'histoire se termine, le chaos commence, là où le chaos commence, seul le chaos le remplace et étend le désert à tous les niveaux de la solitude abyssale.

Tradabordo a dit…

Oui, il est possible que cette histoire égorgée du Chili soit providentiellement symbolique ; peut-être [j'ai quand même un doute / demande à Elena son avis sur cette histoire de « quizás si »], dans la mesure où elle est diaboliquement imaginée par quelque genre de résistance toujours pas contrôlé, parce que là où l'histoire se termine, le chaos commence, là où le chaos commence, seul le chaos le remplace et étend le désert à tous les niveaux de la solitude abyssale.

Unknown a dit…

Elena reconnaît que la phrase est un peu rocambolesque. Elle propose "peut-être que / il se peut que, diaboliquement imaginée..." mais je trouve que ça ne colle pas avec la suite.
Est-ce qu'on va trop loin si on se débarrasse du "quizás si" qui ne fait finalement qu'alourdir ce passage et qui est dispensable en français ? Ça donnerait ceci :

Oui, il est possible que cette histoire égorgée du Chili soit providentiellement symbolique, diaboliquement imaginée par quelque genre de résistance toujours pas contrôlé, parce que là où l'histoire se termine, le chaos commence, là où le chaos commence, seul le chaos le remplace et étend le désert à tous les niveaux de la solitude abyssale.

Unknown a dit…

J'attends votre avis.

Tradabordo a dit…

Oui, il est possible que cette histoire égorgée du Chili soit providentiellement symbolique, [cheville « ô combien » ?] diaboliquement imaginée par quelque genre de résistance toujours pas contrôlé, parce que là où l'histoire se termine, le chaos commence, là où le chaos commence, seul le chaos le remplace et étend le désert à tous les niveaux de la solitude abyssale.

Unknown a dit…

Oui, il est possible que cette histoire égorgée du Chili soit providentiellement symbolique, diaboliquement imaginée par quelque genre de résistance toujours pas contrôlé, parce que là où l'histoire se termine, le chaos commence, là où le chaos commence, seul le chaos le remplace et étend le désert à tous les niveaux de la solitude abyssale.

Tradabordo a dit…

Oui, il est possible que cette histoire égorgée du Chili soit providentiellement symbolique, diaboliquement imaginée par quelque genre de résistance toujours pas contrôlé [ou « sous contrôle » ?], parce que là où l'histoire se termine, le chaos commence, là où le chaos commence, seul le chaos le remplace et étend le désert à tous les niveaux de la solitude abyssale.

Unknown a dit…

Oui, il est possible que cette histoire égorgée du Chili soit providentiellement symbolique, diaboliquement imaginée par quelque genre de résistance toujours pas sous contrôle, parce que là où l'histoire se termine, le chaos commence, là où le chaos commence, seul le chaos le remplace et étend le désert à tous les niveaux de la solitude abyssale.