lundi 22 décembre 2014

Projer Aurélie O 3 – titre + phrases 1-5

Silvia Plager (Argentina)

Lluvia de flores

La mujer que al amor no se asoma...”
Y Clorinda se asomaba, canturreando; la baranda de acero enfriándole el vientre caliente. En la mano lánguida, una flor.
Una vez el clavel rebotó en el sombrero, pero él siguió caminando. El ala ocultaba parte del rostro moreno que apuntaba hacia la esquina, lugar de billar y ginebra donde un hombre se hace más hombre.

Traduction temporaire :

Silvia Plager (Argentine)

Pluie de fleurs

« La femme qui ne se penche pas sur l’amour… »
Et Clorinda elle, elle se penchait sur lui, en chantonnant ; la rampe en fer rafraîchissait son ventre chaud. Dans sa main fragile, une fleur.
Un jour, l’œillet rebondit sur son chapeau, mais lui, il continua son chemin.

Le bord de son chapeau cachait une partie de son visage bronzé qui poignait vers le coin de la rue, un lieu où le billard et le gin font qu’un homme devient encore plus un homme.

14 commentaires:

Unknown a dit…

Silvia Plager (Argentine)

Pluie de fleurs

« La femme qui ne se montre pas à l’amour… »
Et Clorinda se montrait, chantonnant ; la rampe en fer lui refroidissant son ventre chaud. Dans sa main fragile, une fleur.
Une fois l’œillet rebondit dans son chapeau,[ je ne saisis pas exactement le sens ici] mais lui, il continua son chemin. Le bord de son chapeau cachait une partie de son visage bronzé qui poignait au coin de la rue, un lieu de billard et de gin où un homme devient encore plus un homme.

Tradabordo a dit…

Silvia Plager (Argentine)

Pluie de fleurs

« La femme qui ne se montre pas à l’amour [pas sûre qu'on rende la même chose/idée en français]… »
Et Clorinda [« , elle, elle » ? Voyez si l'ajout est bien…] se montrait, [« en » ?] chantonnant ; la rampe en fer lui refroidissant [bof] son ventre chaud. Dans sa main fragile, une fleur.
Une fois [mal dit] l’œillet rebondit dans [mal dit] son chapeau,[ je ne saisis pas exactement le sens ici // celui qui marche sous le balcon… l'amour, etc.] mais lui, il continua son chemin. Le bord de son chapeau cachait une partie de son visage bronzé qui poignait au coin de la rue, un lieu de billard et de gin où un homme devient encore plus un homme.

Unknown a dit…

Silvia Plager (Argentine)

Pluie de fleurs

« La femme qui fuyait l’amour… »
Et Clorinda elle, elle ne le fuyait pas, chantonnait ; la rampe en fer rafraîchissait son ventre chaud. Dans sa main fragile, une fleur.
Un jour l’œillet rebondit à l’intérieur de son chapeau, mais lui, il continua son chemin.
Le bord de son chapeau cachait une partie de son visage bronzé qui poignait au coin de la rue, un lieu de billard et de gin où un homme devient encore plus un homme.

Tradabordo a dit…

Silvia Plager (Argentine)

Pluie de fleurs

« La femme qui fuyait [CS ; votre première version avait le sens, mais manquait de clarté] l’amour… »
Et Clorinda elle, elle ne le fuyait [idem] pas, chantonnait ;

Du coup; reprenez le début.

la rampe en fer rafraîchissait son ventre chaud. Dans sa main fragile, une fleur.
Un jour l’œillet rebondit à l’intérieur de son chapeau, mais lui, il continua son chemin.
Le bord de son chapeau cachait une partie de son visage bronzé qui poignait au coin de la rue, un lieu de billard et de gin où un homme devient encore plus un homme.

Unknown a dit…

Silvia Plager (Argentine)

Pluie de fleurs

« La femme qui ne se donnait pas à l’amour… »
Et Clorinda elle, elle s’y donnait, en chantonnant ; la rampe en fer rafraîchissait son ventre chaud. Dans sa main fragile, une fleur.
Un jour l’œillet rebondit à l’intérieur de son chapeau, mais lui, il continua son chemin.
Le bord de son chapeau cachait une partie de son visage bronzé qui poignait au coin de la rue, un lieu de billard et de gin où un homme devient encore plus un homme.

Tradabordo a dit…

Silvia Plager (Argentine)

Pluie de fleurs

« La femme qui ne se donnait [temps + rendre davantage l'idée qu'on a quand on s'avance vers / se plante devant ; exactement ce que l'on dit quand on parle de asomarse a la ventana] pas à l’amour… »
Et Clorinda elle, elle s’y donnait, en chantonnant ; la rampe en fer rafraîchissait son ventre chaud. Dans sa main fragile, une fleur.
Un jour l’œillet rebondit à l’intérieur de son chapeau, mais lui, il continua son chemin.
Le bord de son chapeau cachait une partie de son visage bronzé qui poignait au coin de la rue, un lieu de billard et de gin où un homme devient encore plus un homme.

Unknown a dit…

Silvia Plager (Argentine)

Pluie de fleurs

« La femme qui ne va pas vers l’amour… »
Et Clorinda elle, elle allait vers lui, en chantonnant ; la rampe en fer lui rafraîchissait son ventre chaud. Dans sa main fragile, une fleur.
Un jour l’œillet rebondit à l’intérieur de son chapeau, mais lui, il continua son chemin.
Le bord de son chapeau cachait une partie de son visage bronzé qui poignait au coin de la rue, un lieu de billard et de gin où un homme devient encore plus un homme.

Tradabordo a dit…

Silvia Plager (Argentine)

Pluie de fleurs

« La femme qui ne va pas vers [« se pencher sur » ? Dites-moi ce que vous en pensez et, le cas échéant, on adaptera le reste en fonction…] l’amour… »
Et Clorinda elle, elle allait vers lui, en chantonnant ; la rampe en fer lui rafraîchissait son ventre chaud. Dans sa main fragile, une fleur.
Un jour l’œillet rebondit à l’intérieur de son chapeau, mais lui, il continua son chemin.
Le bord de son chapeau cachait une partie de son visage bronzé qui poignait au coin de la rue, un lieu de billard et de gin où un homme devient encore plus un homme.

Unknown a dit…

Silvia Plager (Argentine)

Pluie de fleurs

« La femme qui ne se penche pas sur l’amour… »
Et Clorinda elle, elle se penchait vers lui, en chantonnant ; la rampe en fer lui rafraîchissait son ventre chaud. Dans sa main fragile, une fleur.
Un jour l’œillet rebondit à l’intérieur de son chapeau, mais lui, il continua son chemin.
Le bord de son chapeau cachait une partie de son visage bronzé qui poignait au coin de la rue, un lieu de billard et de gin où un homme devient encore plus un homme.

Tradabordo a dit…

Silvia Plager (Argentine)

Pluie de fleurs

« La femme qui ne se penche pas sur l’amour… »
Et Clorinda elle, elle se penchait vers [pourquoi changer ?] lui, en chantonnant ; la rampe en fer lui rafraîchissait son [mal dit] ventre chaud. Dans sa main fragile, une fleur.
Un jour [VIRGULE chaque fois que vous ne commencez pas par le sujet // dit plusieurs fois en cours… À RETENIR !!!!] l’œillet rebondit à l’intérieur [???? Pensez qu'elle est en hauteur… « se pencher sur » du début] de son chapeau, mais lui, il continua son chemin.
Le bord de son chapeau cachait une partie de son visage bronzé qui poignait au [en espagnol il y a « hacia » ; et cela change sans soude l'interprétatiion que vous faites du verbe…] coin de la rue, un lieu de billard et de gin où un homme devient encore plus un homme.

Unknown a dit…

Silvia Plager (Argentine)

Pluie de fleurs

« La femme qui ne se penche pas sur l’amour… »
Et Clorinda elle, elle se penchait sur lui, en chantonnant ; la rampe en fer rafraîchissait son ventre chaud. Dans sa main fragile, une fleur.
Un jour, l’œillet rebondit sur son chapeau, mais lui, il continua son chemin.
Le bord de son chapeau cachait une partie de son visage bronzé qui poignait vers le coin de la rue, un lieu de billard et de gin où un homme devient encore plus un homme.

Tradabordo a dit…

Silvia Plager (Argentine)

Pluie de fleurs

« La femme qui ne se penche pas sur l’amour… »
Et Clorinda elle, elle se penchait sur lui, en chantonnant ; la rampe en fer rafraîchissait son ventre chaud. Dans sa main fragile, une fleur.
Un jour, l’œillet rebondit sur son chapeau, mais lui, il continua son chemin.
Le bord de son chapeau cachait une partie de son visage bronzé qui poignait vers le coin de la rue, un lieu de billard et de gin [juste un petit doute ; est-ce qu'on construirait ça spontanément ainsi en français ? Pas besoin de chevilles… Je vous laisse regarder et me dire] où un homme devient encore plus un homme.

Unknown a dit…

Silvia Plager (Argentine)

Pluie de fleurs

« La femme qui ne se penche pas sur l’amour… »
Et Clorinda elle, elle se penchait sur lui, en chantonnant ; la rampe en fer rafraîchissait son ventre chaud. Dans sa main fragile, une fleur.
Un jour, l’œillet rebondit sur son chapeau, mais lui, il continua son chemin.
Le bord de son chapeau cachait une partie de son visage bronzé qui poignait vers le coin de la rue, un lieu où le billard et le gin font qu’un homme devient encore plus un homme.

Tradabordo a dit…

Silvia Plager (Argentine)

Pluie de fleurs

« La femme qui ne se penche pas sur l’amour… »
Et Clorinda elle, elle se penchait sur lui, en chantonnant ; la rampe en fer rafraîchissait son ventre chaud. Dans sa main fragile, une fleur.
Un jour, l’œillet rebondit sur son chapeau, mais lui, il continua son chemin.
Le bord de son chapeau cachait une partie de son visage bronzé qui poignait vers le coin de la rue, un lieu où le billard et le gin font qu’un homme devient encore plus un homme.

OK.