mardi 16 décembre 2014

Projet Florian – phrases 81-83

Yo trato de abrir la portezuela para escapar de los ahorcados pero los caballos no paran y, además, fuera se distingue tan sólo la torre de Juana la Loca que profiere gritos desgarrados desde una saetera. Son gritos de amor y celos como los que yo hubiera hecho llegar a Mercedes una y mil veces en estos últimos años. Voy a cerrar la puerta espantado cuando el gordo me retira, saca la cabeza y agita el brazo gritando: “Dios te guarde, Doña Juana”.

Traduction temporaire :

J'essaie d'ouvrir la portière pour échapper aux pendus, mais les chevaux ne s'arrêtent pas. De surcroît, dehors, je ne distingue que la tour de Jeanne la Folle qui pousse des cris déchirants depuis une meurtrière. Des cris d'amour et de jalousie, comme ceux que j'aurais envoyés à mille reprises à Mercedes durant ces dernières années. Je m'apprête à fermer la porte, épouvanté, lorsque le gros m'écarte, ôte sa tête et agite le bras en criant : "Dieu te protège, Doña Jeanne".

13 commentaires:

Unknown a dit…

J'essaie d'ouvrir la protière pour échapper aux pendus, mais les chevaux ne s'arrêtent pas et, en plus de ça, dehors se dessine simplement la tour de Jeanne la Folle qui profère des cris déchirants depuis une meurtrière. Ce sont des cris d'amour et de jalousie comme ceux que j'aurais fait parvenir à milles reprises à Mercedes durant ces dernières années. Je vais fermer la porte, épouvanté lorsque le gros m'écarte, ôte sa tête et agite le bras en criant : "Que Dieu te sauve, Doña Jeanna".

Tradabordo a dit…

J'essaie d'ouvrir la protière [relisez-vous] pour échapper aux pendus, mais les chevaux ne s'arrêtent pas et, en plus de ça [« de surcroît » ?], dehors se dessine [pas ce qui est dit] simplement la tour de Jeanne la Folle qui profère [vérifiez qu'en français, on l'emploie bien pour des cris…] des cris déchirants depuis une meurtrière. Ce sont [nécessaire ?] des cris d'amour et de jalousie comme ceux que j'aurais fait parvenir à milles [????] reprises à Mercedes durant ces dernières années. Je vais [avec « s'apprêter » ?] fermer la porte, épouvanté lorsque le gros m'écarte, ôte sa tête et agite le bras en criant : "Que Dieu te sauve, Doña Jeanna [?]".

Unknown a dit…

J'essaie d'ouvrir la portière pour échapper aux pendus, mais les chevaux ne s'arrêtent pas et, de surcroît, dehors se distingue simplement la tour de Jeanne la Folle qui pousse des cris déchirants depuis une meurtrière. Des cris d'amour et de jalousie comme ceux que j'aurais fait parvenir à milles et unes reprises à Mercedes durant ces dernières années. Je m'apprête à fermer la porte, épouvanté lorsque le gros m'écarte, ôte sa tête et agite le bras en criant : "Que Dieu te sauve, Doña Jeanne".

Tradabordo a dit…

J'essaie d'ouvrir la portière pour échapper aux pendus, mais les chevaux ne s'arrêtent pas et, de surcroît, dehors [virgule] se distingue simplement [plus explicite avec « ne que… »] la tour de Jeanne la Folle qui pousse des cris déchirants depuis une meurtrière. Des cris d'amour et de jalousie [virgule] comme ceux que j'aurais fait parvenir à milles [GRAMMAIRE] et unes reprises à Mercedes durant ces dernières années. Je m'apprête à fermer la porte, épouvanté [virgule] lorsque le gros m'écarte, ôte sa tête et agite le bras en criant : "Que Dieu te sauve, Doña Jeanne".

Unknown a dit…

J'essaie d'ouvrir la portière pour échapper aux pendus, mais les chevaux ne s'arrêtent pas et, de surcroît, dehors, ne se distingue que la tour de Jeanne la Folle qui pousse des cris déchirants depuis une meurtrière. Des cris d'amour et de jalousie, comme ceux que j'aurais fait parvenir à mille reprises à Mercedes durant ces dernières années. Je m'apprête à fermer la porte, épouvanté, lorsque le gros m'écarte, ôte sa tête et agite le bras en criant : "Que Dieu te sauve, Doña Jeanne".

Tradabordo a dit…

J'essaie d'ouvrir la portière pour échapper aux pendus, mais les chevaux ne s'arrêtent pas et, de surcroît, dehors, [« je »] ne se distingue que la tour de Jeanne la Folle qui pousse des cris déchirants depuis une meurtrière. Des cris d'amour et de jalousie, comme ceux que j'aurais fait parvenir [ou simplement : « envoyés » ?] à mille reprises à Mercedes durant ces dernières années. Je m'apprête à fermer la porte, épouvanté, lorsque le gros m'écarte, ôte sa tête et agite le bras en criant : "Que Dieu te sauve, Doña Jeanne".

Tradabordo a dit…

J'essaie d'ouvrir la portière pour échapper aux pendus, mais les chevaux ne s'arrêtent pas et, de surcroît, dehors, [« je »] ne se distingue que la tour de Jeanne la Folle qui pousse des cris déchirants depuis une meurtrière. Des cris d'amour et de jalousie, comme ceux que j'aurais fait parvenir [ou simplement : « envoyés » ?] à mille reprises à Mercedes durant ces dernières années. Je m'apprête à fermer la porte, épouvanté, lorsque le gros m'écarte, ôte sa tête et agite le bras en criant : "Que Dieu te sauve, Doña Jeanne".

Unknown a dit…

J'essaie d'ouvrir la portière pour échapper aux pendus, mais les chevaux ne s'arrêtent pas et, de surcroît, dehors, je ne distingue que la tour de Jeanne la Folle qui pousse des cris déchirants depuis une meurtrière. Des cris d'amour et de jalousie, comme ceux que j'aurais simplement envoyés à mille reprises à Mercedes durant ces dernières années. Je m'apprête à fermer la porte, épouvanté, lorsque le gros m'écarte, ôte sa tête et agite le bras en criant : "Que Dieu te sauve, Doña Jeanne".

Tradabordo a dit…

J'essaie d'ouvrir la portière pour échapper aux pendus, mais les chevaux ne s'arrêtent pas et, [point tout court] de surcroît, dehors, je ne distingue que la tour de Jeanne la Folle qui pousse des cris déchirants depuis une meurtrière. Des cris d'amour et de jalousie, comme ceux que j'aurais simplement envoyés à mille reprises à Mercedes durant ces dernières années. Je m'apprête à fermer la porte, épouvanté, lorsque le gros m'écarte, ôte sa tête et agite le bras en criant : "Que Dieu te sauve [mal dit, au fait // trad littérale nécessaire], Doña Jeanne".

Unknown a dit…

J'essaie d'ouvrir la portière pour échapper aux pendus, mais les chevaux ne s'arrêtent pas. De surcroît, dehors, je ne distingue que la tour de Jeanne la Folle qui pousse des cris déchirants depuis une meurtrière. Des cris d'amour et de jalousie, comme ceux que j'aurais simplement envoyés à mille reprises à Mercedes durant ces dernières années. Je m'apprête à fermer la porte, épouvanté, lorsque le gros m'écarte, ôte sa tête et agite le bras en criant : "Dieu te protège, Doña Jeanne".

Tradabordo a dit…

J'essaie d'ouvrir la portière pour échapper aux pendus, mais les chevaux ne s'arrêtent pas. De surcroît, dehors, je ne distingue que la tour de Jeanne la Folle qui pousse des cris déchirants depuis une meurtrière. Des cris d'amour et de jalousie, comme ceux que j'aurais simplement [pourquoi cet ajout ?] envoyés à mille reprises à Mercedes durant ces dernières années. Je m'apprête à fermer la porte, épouvanté, lorsque le gros m'écarte, ôte sa tête et agite le bras en criant : "Dieu te protège, Doña Jeanne".

Unknown a dit…

J'essaie d'ouvrir la portière pour échapper aux pendus, mais les chevaux ne s'arrêtent pas. De surcroît, dehors, je ne distingue que la tour de Jeanne la Folle qui pousse des cris déchirants depuis une meurtrière. Des cris d'amour et de jalousie, comme ceux que j'aurais envoyés à mille reprises à Mercedes durant ces dernières années. Je m'apprête à fermer la porte, épouvanté, lorsque le gros m'écarte, ôte sa tête et agite le bras en criant : "Dieu te protège, Doña Jeanne".

Tradabordo a dit…

J'essaie d'ouvrir la portière pour échapper aux pendus, mais les chevaux ne s'arrêtent pas. De surcroît, dehors, je ne distingue que la tour de Jeanne la Folle qui pousse des cris déchirants depuis une meurtrière. Des cris d'amour et de jalousie, comme ceux que j'aurais envoyés à mille reprises à Mercedes durant ces dernières années. Je m'apprête à fermer la porte, épouvanté, lorsque le gros m'écarte, ôte sa tête et agite le bras en criant : "Dieu te protège, Doña Jeanne".

OK.