samedi 27 décembre 2014

Projet Hélène 2 – phrases 173-175

4

Somos mi padre y yo, un verano hace cuarenta y cinco años. Lo veo otra vez hacia arriba y es el mismo vaquero alto de camisa a cuadros y pantalón crema que enterré dos semanas atrás, menos alto, menos vaquero. Sus cabellos no son grises sino negros como la montura de sus anteojos, y, cuando habla, el motor de la lancha tritura sus palabras; pero sé que dice algo sobre la isla, porque señala con su dedo, y el otro asiente, asiente un hombre seco por el sol, João Guiraldes, siempre Capitán Nemo.

Traduction temporaire :

4

Mon père et moi, un été, il y a quarante-cinq ans. Je le revois au sommet : le même cow-boy que j’ai enterré il y a deux semaines – grand, avec une chemise à carreaux, et un pantalon crème – quoique moins grand, moins cow-boy. Ses cheveux ne sont pas gris, mais noirs, comme la monture de ses lunettes, et quand il parle, le moteur de la barque broie ses paroles. Cependant, je sais qu’il fait référence à l’île, car il la désigne du doigt et l’autre acquiesce – un homme brûlé par le soleil, João Guiraldes, immuable Capitaine Némo.

10 commentaires:

Hélène a dit…

Un été, quarante-cinq ans en arrière, il y a mon père et moi. Je le vois encore au sommet : un cow-boy, grand, chemise à carreaux, et pantalon crème, comme celui que j’ai enterré il y a deux semaines, bien que moins grand, moins cow-boy. Ses cheveux ne sont pas gris, mais noirs, comme la monture de ses lunettes et, quand il parle, le moteur de la barque triture ses paroles. Cependant, je sais qu’il parle de l’île, car il la montre du doigt, et l’autre acquiesce. L’homme qui acquiesce est brûlé par le soleil, João Guiraldes, depuis toujours Capitaine Némo.

Tradabordo a dit…

[Le 4]

Un été, quarante-cinq ans en arrière [« il y a » pour avoir quelque chose de plus neutre, vu que c'est un ajout ?], il y a [supprime et remets ça devant… comme en V.O.] mon père et moi. Je le vois encore [pas exactement dans ce sens, je pense…] au sommet : un cow-boy, grand, [« avec » ou inutile ?] chemise à carreaux, et [« un » ?] pantalon crème [ou : « beige » ? Je te laisse trancher], comme celui [pas dit comme ça en V.O.… d'autant que là, on a l'impression qu'il a enterré le pantalon // tu te remets à beaucoup changer, vilaine ;-)] que j’ai enterré il y a deux semaines,

Faisons déjà ça…

bien que moins grand, moins cow-boy. Ses cheveux ne sont pas gris, mais noirs, comme la monture de ses lunettes et, quand il parle, le moteur de la barque triture ses paroles. Cependant, je sais qu’il parle de l’île, car il la montre du doigt, et l’autre acquiesce. L’homme qui acquiesce est brûlé par le soleil, João Guiraldes, depuis toujours Capitaine Némo.

Hélène a dit…

4

Mon père et moi, un été, il y a quarante cinq ans. Je le revois au sommet : le même cow-boy que j’ai enterré il y a deux semaines – grand, avec une chemise à carreaux, et un pantalon crème –

Tradabordo a dit…

4

Mon père et moi, un été, il y a quarante cinq ans. Je le revois au sommet : le même cow-boy que j’ai enterré il y a deux semaines – grand, avec une chemise à carreaux, et un pantalon crème –

OK… tu peux mettre la suite.

Hélène a dit…

4

Mon père et moi, un été, il y a quarante-cinq ans. Je le revois au sommet : le même cow-boy que j’ai enterré il y a deux semaines – grand, avec une chemise à carreaux, et un pantalon crème – quoique moins grand, moins cow-boy. Ses cheveux ne sont pas gris, mais noirs, comme la monture de ses lunettes, et quand il parle, le moteur de la barque triture ses paroles. Cependant, je sais qu’il fait référence à l’île, car il la montre du doigt et l’autre acquiesce. L’homme qui acquiesce est brûlé par le soleil, João Guiraldes, depuis toujours Capitaine Némo.

Tradabordo a dit…

4

Mon père et moi, un été, il y a quarante-cinq ans. Je le revois au sommet : le même cow-boy que j’ai enterré il y a deux semaines – grand, avec une chemise à carreaux, et un pantalon crème – quoique moins grand, moins cow-boy. Ses cheveux ne sont pas gris, mais noirs, comme la monture de ses lunettes, et quand il parle, le moteur de la barque triture [« broie » ? Comme tu veux…] ses paroles. Cependant, je sais qu’il fait référence à l’île, car il la montre [« désigne »] du doigt et l’autre acquiesce. L’homme qui acquiesce [supprime la répétition et procède avec un simple tiret] est brûlé par le soleil, João Guiraldes, depuis toujours Capitaine Némo.

Hélène a dit…

4

Mon père et moi, un été, il y a quarante-cinq ans. Je le revois au sommet : le même cow-boy que j’ai enterré il y a deux semaines – grand, avec une chemise à carreaux, et un pantalon crème – quoique moins grand, moins cow-boy. Ses cheveux ne sont pas gris, mais noirs, comme la monture de ses lunettes, et quand il parle, le moteur de la barque broie ses paroles. Cependant, je sais qu’il fait référence à l’île, car il la désigne du doigt et l’autre acquiesce – un homme brûlé par le soleil, João Guiraldes, depuis toujours Capitaine Némo.

Tradabordo a dit…

4

Mon père et moi, un été, il y a quarante-cinq ans. Je le revois au sommet : le même cow-boy que j’ai enterré il y a deux semaines – grand, avec une chemise à carreaux, et un pantalon crème – quoique moins grand, moins cow-boy. Ses cheveux ne sont pas gris, mais noirs, comme la monture de ses lunettes, et quand il parle, le moteur de la barque broie ses paroles. Cependant, je sais qu’il fait référence à l’île, car il la désigne du doigt et l’autre acquiesce – un homme brûlé par le soleil, João Guiraldes, depuis toujours [« immuable »] Capitaine Némo.

Hélène a dit…

4

Mon père et moi, un été, il y a quarante-cinq ans. Je le revois au sommet : le même cow-boy que j’ai enterré il y a deux semaines – grand, avec une chemise à carreaux, et un pantalon crème – quoique moins grand, moins cow-boy. Ses cheveux ne sont pas gris, mais noirs, comme la monture de ses lunettes, et quand il parle, le moteur de la barque broie ses paroles. Cependant, je sais qu’il fait référence à l’île, car il la désigne du doigt et l’autre acquiesce – un homme brûlé par le soleil, João Guiraldes, immuable Capitaine Némo.

Tradabordo a dit…

4

Mon père et moi, un été, il y a quarante-cinq ans. Je le revois au sommet : le même cow-boy que j’ai enterré il y a deux semaines – grand, avec une chemise à carreaux, et un pantalon crème – quoique moins grand, moins cow-boy. Ses cheveux ne sont pas gris, mais noirs, comme la monture de ses lunettes, et quand il parle, le moteur de la barque broie ses paroles. Cependant, je sais qu’il fait référence à l’île, car il la désigne du doigt et l’autre acquiesce – un homme brûlé par le soleil, João Guiraldes, immuable Capitaine Némo.

OK.