mardi 16 décembre 2014

Projet Julie S 2 – phrases 15-16

Les perdonaron la vida aunque quedaron prisioneros y cada noche deben contar alguna genialidad del 10, sin inventar ni repetir.
En eso deben andar por estas horas, narrando jugadas, goles, tacos y hasta derrotas para poder estirar sus vidas un día más, una gambeta más.

Traduction temporaire :

Même s'ils les gardèrent prisonniers, ils leur laissèrent la vie sauve. Toutefois, chaque soir, ils sont obligés de leur raconter l'un des exploits du joueur numéro 10, sans inventer ni se répéter.
C'est à cela qu'ils occupent ces heures-là, à raconter des actions, des buts, des coups de crampons et même des défaites pour pouvoir prolonger leur vie d'un jour, d'un dribble.

12 commentaires:

Julie Sanchez a dit…

Ils leur laissèrent la vie sauve même s'ils les gardèrent prisonniers et chaque nuit, ils doivent raconter l'un des exploits du joueur numéro 10, sans inventer ni se répéter.
C'est à cela qu'ils doivent se dédier pendant les heures passées là-bas, à raconter des actions, des buts, des crampons et même des défaites pour pouvoir étirer leur vie un jour de plus, un dribble de plus.

Tradabordo a dit…

Ils leur laissèrent la vie sauve même s'ils les gardèrent prisonniers et [point ?] chaque nuit [« soir » ?], ils doivent [« leur » ?] raconter l'un des exploits du joueur numéro 10, sans inventer ni se répéter.
C'est à cela qu'ils doivent se dédier pendant les heures passées là-bas [pas très naturel], à raconter des actions, des buts, des crampons [ça se dit ?] et même des défaites pour pouvoir étirer [bof] leur vie un jour de plus, un dribble de plus.

Julie Sanchez a dit…

Ils leur laissèrent la vie sauve même s'ils les gardèrent prisonniers. Chaque soir, ils doivent leur raconter l'un des exploits du joueur numéro 10, sans inventer ni se répéter.
C'est à cela qu'ils doivent se dédier durant ces heures-là, à raconter des actions, des buts, des crampons [ça se dit ?] et même des défaites pour pouvoir prolonger leur vie d'un jour, d'un dribble de plus.

Par "crampons" je parlais des chaussures mais ça ne va pas ici en fait. Peut-être "coups de crampons"?

Tradabordo a dit…

Ils leur laissèrent la vie sauve même s'ils les gardèrent prisonniers [pas plus fluide en inversant tout la phrase ?]. Chaque soir, ils doivent leur raconter l'un des exploits du joueur numéro 10, sans inventer ni se répéter.
C'est à cela qu'ils doivent se dédier [hispanisme…] durant ces heures-là, à raconter des actions, des buts, des crampons [ça se dit ? OK pour la solution que tu proposes] et même des défaites pour pouvoir prolonger leur vie d'un jour, d'un dribble de plus.

Julie Sanchez a dit…

Même s'ils les gardèrent prisonniers, ils leur laissèrent la vie sauve. Chaque soir, ils sont obligés de leur raconter l'un des exploits du joueur numéro 10, sans inventer ni se répéter.
C'est à cela qu'ils doivent se consacrer durant ces heures-là, à raconter des actions, des buts, des coups de crampons et même des défaites pour pouvoir prolonger leur vie d'un jour, d'un dribble de plus.

Tradabordo a dit…

Même s'ils les gardèrent prisonniers, ils leur laissèrent la vie sauve. [pas une cheville ici, genre « Mais » / « Cependant » / « Toutefois »… ? J'hésite… Je te laisse regarder] Chaque soir, ils sont obligés de leur raconter l'un des exploits du joueur numéro 10, sans inventer ni se répéter.
C'est à cela qu'ils doivent se consacrer durant ces heures-là [réécris carrément ; en restant près de la V.O., ça manque trop de naturel], à raconter des actions, des buts, des coups de crampons et même des défaites pour pouvoir prolonger leur vie d'un jour, d'un dribble de plus.

Julie Sanchez a dit…

Même s'ils les gardèrent prisonniers, ils leur laissèrent la vie sauve. Toutefois, chaque soir, ils sont obligés de leur raconter l'un des exploits du joueur numéro 10, sans inventer ni se répéter.
C'est à cela qu'ils occupent ces heures-là, à raconter des actions, des buts, des coups de crampons et même des défaites pour pouvoir prolonger leur vie d'un jour, d'un dribble de plus.

Tradabordo a dit…

Même s'ils les gardèrent prisonniers, ils leur laissèrent la vie sauve. Toutefois, chaque soir, ils sont obligés de leur raconter l'un des exploits du joueur numéro 10, sans inventer ni se répéter.
C'est à cela qu'ils occupent ces heures-là, à raconter des actions, des buts, des coups de crampons et même des défaites pour pouvoir prolonger leur vie d'un jour, d'un dribble de plus [nécessaire ?].

Julie Sanchez a dit…

Même s'ils les gardèrent prisonniers, ils leur laissèrent la vie sauve. Toutefois, chaque soir, ils sont obligés de leur raconter l'un des exploits du joueur numéro 10, sans inventer ni se répéter.
C'est à cela qu'ils occupent ces heures-là, à raconter des actions, des buts, des coups de crampons et même des défaites pour pouvoir prolonger leur vie d'un jour, d'un dribble.

Tradabordo a dit…

Même s'ils les gardèrent prisonniers, ils leur laissèrent la vie sauve. Toutefois, chaque soir, ils sont obligés de leur raconter l'un des exploits du joueur numéro 10, sans inventer ni se répéter.
C'est à cela qu'ils occupent ces heures-là, à raconter des actions, des buts, des coups de crampons et même des défaites pour pouvoir prolonger leur vie d'un jour, d'un dribble.

OK.

Tradabordo a dit…

Même s'ils les gardèrent prisonniers, ils leur laissèrent la vie sauve. Toutefois, chaque soir, ils sont obligés de leur raconter l'un des exploits du joueur numéro 10, sans inventer ni se répéter.
C'est à cela qu'ils occupent ces heures-là, à raconter des actions, des buts, des coups de crampons et même des défaites pour pouvoir prolonger leur vie d'un jour, d'un dribble.

OK.

Tradabordo a dit…

Tu peux relire… Envoie quand c'est prêt.